28/02/2024

GREVE DU PERSONNEL DE CABINE DE BRUSSELS AIRLINES du 28 FEVRIER AU 1ER MARS 2024

L'un des syndicats du personnel de cabine de Brussels Airlines a appelé ses membres à faire grève du mercredi 28 février au vendredi 1er mars 2024.

Malgré cette grève, près de 80 % des vols de Brussels Airlines au départ et à destination de Bruxelles sont assurés mercredi 28 février 2024.

Les voyageurs sont invités à vérifier le statut de leur vol avant de se rendre à l'aéroport.

Politique de Lufthansa Group en cas de changement de réservation / réémission / remboursement des vols annulés :

Les clients concernés par une annulation de vol peuvent effectuer une fois, une nouvelle réservation sans frais ou se faire rembourser leur billet

La politique de changement d'horaire/irrégularité s'applique uniquement aux vols qui ont déjà été annulés ou qui ont été automatiquement modifiés par la compagnie aérienne.

Brussels Airlines regrette les désagréments causés aux passagers et fera tout son possible pour en minimiser l'impact.

Souce : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Éléments similaires (par tag)

  • NOUVELLES FORMALITES D'ENTREE EN INDONESIE DEPUIS LE 1ER SEPTEMBRE 2025
    Dans Blog

    Depuis le 1er septembre 2025, tous les voyageurs doivent remplir en ligne une Arrival Card digitale "All Indonesia" avant leur arrivée en Indonésie.

     

    La démarche est gratuite, en anglais uniquement, et doit être effectuée dans les 48h avant l’arrivée sur le site officiel : https://allindonesia.imigrasi.go.id/

     

    Un QR code sera généré et devra être présenté à l’arrivée.

    Ce qui change :

    Cette nouvelle carte remplace la déclaration de santé Satusehat et la déclaration de douane e-CD.

    Pour Bali, la taxe touristique de 9 € reste à payer en ligne sur le site Love Bali.

     

    Source : La lettre hebdonadaire Emirates

  • IATA CONFIRME L’IRRESISTIBLE ENVOLEE DES CLASSES PREMIUM EN AVION
    Dans Blog

    L'Association du transport aérien international (IATA) a publié l'édition 2024 du World Air Transport Statistics (WATS). Cette référence dans le monde du transport aérien propose des données statistiques complètes pour l’année 2024. Et met en exergue une tendance de fond de la branche: l'envolée des classes Premium. 

    Mis à jour chaque année avec les données de plus de 240 compagnies aériennes internationales, le rapport WATS de l’association internationale du transport aérien IATA permet de mieux appréhender l’évolution du transport aérien. IATA analyse des éléments géographiques, l’offre et la demande, les mouvements d’avions mais aussi les tendances produits.

    Le rapport comprend ainsi une ventilation détaillée du trafic passagers, des capacités disponibles, un aperçu de la flotte mondiale et des principales liaisons aéroportuaires.

    Forte croissance des classes premium

    Une des principales conclusions du rapport de cette année est la croissance des voyages internationaux en classes premium — classe affaires et première classe. La fréquentation de ces classes a de fait augmenté de 11,8 %. Elle dépasse ainsi la croissance du trafic en classe économique, qui s’établit à 11,5 %.

    Le nombre total de passagers internationaux voyageant en classe premium en 2024 s’est élevé à 116,9 millions, soit 6 % du total des passagers internationaux.

    La région Asie-Pacifique a enregistré la plus forte croissance en pourcentage avec une hausse de 22,8 % des passagers premium. Soit un total de 21 millions. Cependant, ce chiffre a été dépassé par la croissance du nombre de passagers en classe économique. Les classes économiques en Asie affichent en effet une hausse de 28,6 % à 500,8 millions.

    La croissance des voyages en classe premium a dépassé celle des classes économiques en Europe, en Amérique latine, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord. L’Europe reste le plus grand marché de voyages internationaux en classe premium avec 39,3 millions de passagers. Cependant, c’est au Moyen-Orient que la proportion de voyageurs premium est la plus élevée, représentant 14,7 % de l’ensemble des passagers.

     

     IATA 1

    Principales liaisons aériennes et avions utilisés

    La région Asie-Pacifique écrase le classement des routes aériennes les plus fréquentées au monde. Jeju–Séoul Kimpo (CJU–GMP) se classe en tête, comptant 13,2 millions de passagers en 2024. Parmi les 10 premières, seule la liaison Djeddah–Riyad (JED–RUH) ne se situe pas en Asie-Pacifique.

    La route Bogota–Medellin (BOG–MDE) a été la plus fréquentée d’Amérique latine avec 3,8 millions de passagers. Il faut chercher en Afrique du Sud la ligne la plus importante du continent: Le Cap–Johannesburg (JNB–CPT) a enregistré 3,3 millions de passagers en 2024.

    En Amérique du Nord, c’est sans surprise New York JFK–Los Angeles (JFK–LAX) qui affiche la plus forte fréquentation avec 2,2 millions de passagers. Tandis qu’en EuropeBarcelone–Palma de Majorque (BCN–PMI) est numéro 1 avec 2 millions de voyageurs

    Les avions mono-couloirs de Boeing et Airbus ont été les plus utilisés en 2024. Les différents modèles de Boeing 737 ont effectué 10 millions de vols, représentant 2,4 milliards de sièges-kilomètres disponibles (ASK). Ils sont suivis par l’Airbus A320 avec 7,9 millions de vols et 1,7 billion d’ASK. Arrive en troisième position l’Airbus A321 avec 3,4 millions de vols et 1,1 billion d’ASK.

    Pays avec le plus grand nombre de passagers

    Les États-Unis restent le plus grand marché aérien mondial avec 876 millions de passagers en 2024, soutenus par un marché domestique robuste ayant connu une croissance de 5,2 % sur un an. La Chine arrive en deuxième position avec 741 millions de passagers, en hausse de 18,7 % par rapport à 2023. Vient loin derrière en troisième position le Royaume-Uni avec 261 millions de voyageurs aériens, en hausse de 7,3%.

     

    IATA 2

     

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

     

     

  • CORRESPONDANCES RENFORCEES A PARIS-CDG
    Dans Blog

    Connect France : Air France-KLM et le Groupe ADP unissent leurs forces pour faciliter les correspondances au sein du hub d’Air France à l’aéroport Paris-Charles de Gaulle

    À l’occasion de la 55e édition du Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace (SIAE) en juin dernier, Air France-KLM et le Groupe ADP ont annoncé un partenariat renforcé, baptisé Connect France, visant à améliorer l’expérience des passagers à Paris-Charles de Gaulle. Dès cet été, une première initiative concrète voit le jour : un dispositif de priorisation des clients en transit à Paris en fonction du temps dont ils disposent pour effectuer leur correspondance.

    Chaque jour, Air France transporte jusqu’à 140 000 clients, dont près de la moitié sont en correspondance via son hub de Paris-Charles de Gaulle. Pour faciliter leur transit au sein de l’aéroport, un parcours dédié a été mis en place par le Groupe ADP, récemment doté d’une signalétique multilingue entièrement repensée.

    Le programme de vols d’Air France est optimisé pour permettre aux clients et leurs bagages de réussir leur correspondance entre deux vols. Toutefois, certains aléas peuvent réduire le temps dont les clients disposent pour changer d’avion.

    Désormais, lorsqu’un temps de correspondance passe sous un certain seuil (par exemple 45 min pour une correspondance entre Toulouse et New York, avec une arrivée au terminal 2F et un départ du terminal 2E Hall K), un traitement prioritaire est automatiquement déclenché pour les clients concernés, sans que ceux-ci n’aient à en faire la demande.

    Concrètement, dans le cadre de ce dispositif :

    Au plus tard à l’arrivée du vol d’apport à Paris-Charles de Gaulle, les clients reçoivent un SMS et un email leur indiquant qu’en raison du délai réduit dont ils disposent pour rejoindre la porte d’embarquement de leur prochain vol, ils sont éligibles à un accès prioritaire aux contrôles de sécurité et à la police aux frontières. Ce message leur sera prochainement également transmis par une notification dans l’application mobile Air France et un message Whatsapp.
    Lorsque les clients se présentent aux contrôles de sécurité et à la police aux frontières, leurs cartes d’embarquements sont vérifiées et le prestataire d’accueil du Groupe ADP est automatiquement notifié de la correspondance courte. Il leur propose alors un accès prioritaire.
    L’objectif : réduire au maximum leur temps de passage et leur permettre de rejoindre leur porte d’embarquement dans les délais impartis.

    Ce dispositif repose sur un échange d’informations en temps réel entre Air France, le Groupe ADP et son prestataire d’accueil. Ces données incluent notamment :

    le temps estimé de parcours dans l’aéroport,
    le temps nécessaire pour réaliser les contrôles de sécurité et les formalités de police aux frontières ainsi que le temps d’attente à ces contrôles,
    l’horaire de départ actualisé du vol suivant.
    Ce dispositif baptisé « Short Connection Pass » est la première réalisation concrète de Connect France.

    « Un mois après la signature de Connect France, ce dispositif illustre pleinement notre volonté commune, avec Air France-KLM, de fluidifier les parcours passagers et de faire de Paris-Charles de Gaulle un hub toujours plus performant et attractif. Le Short Connection Pass, simple pour le passager et efficace opérationnellement, est une avancée concrète au service de l’expérience de nos passagers », a souligné Regis Lacote, Directeur de Paris-Charles de Gaulle.

    « Accompagner nos clients et faciliter leur parcours est une priorité. Le hub d’Air France à Paris-Charles de Gaulle est déjà le plus puissant d’Europe par le nombre d'opportunités de correspondances proposées. Grâce à cette initiative conjointe avec Groupe ADP, nous nous donnons les moyens de renforcer son attractivité et réaffirmons notre volonté de hisser Paris-Charles de Gaulle au rang des plus grands hubs mondiaux. », a déclaré Alain-Hervé Bernard, Directeur général opérations et cargo d’Air France.

    Source : https://www.airfranceklm.com/

  • LES LOUEURS VEULENT CONDUIRE LES ENTREPRISES VERS LES VEHICULES ELECTRIQUES
    Dans Blog

    Confrontés à une faible demande pour les véhicules électriques, les loueurs espèrent inverser la tendance grâce aux entreprises, qui peuvent désormais intégrer leur utilisation dans le parcours de verdissement de leurs flottes.

    Si le marché de la location courte durée a repris de belles couleurs depuis la sortie du Covid, celui-ci connait encore des ratés pour les véhicules 100% électriques, loin d’être demandés par les clients, affaires comme loisir. La faute à des peurs concernant l’autonomie, la durée et les tarifs de recharge… Les véhicules thermiques demeurent ainsi plébiscité pour les longues distances. « La demande n’est pas au rendez-vous par rapport au pourcentage d’électrification de nos flottes qui avoisine les 3% actuellement. Ce chiffre était précédemment supérieur, mais nous avons réduit nos achats en 2024 », confie Guirec Grand Clément, le président de la branche mobilité partagée de Mobilians et DG d’Enterprise Mobility France. Et de rappeler que les loueurs sont soumis depuis 2019 à la loi d’orientation des mobilités (LOM) qui impose une trajectoire de verdissement des flottes aux entreprises disposant de plus de 100 véhicules.

    « Le taux d’utilisation d’un véhicule thermique s’élève à 75% alors qu’il tombe à 47,5% pour un véhicule électrique, ce qui n’est pas viable économiquement pour les loueurs» , pointe-t-il. Il est à noter que les véhicules Tesla sont encore les plus faciles à mettre sur les routes. « Ses locataires sont à l’aise avec ce véhicule, car ils possèdent souvent une Tesla dans leur garage », justifie Agnès Parmentier, vice-présidente de la branche mobilité partagée et DG de Leriche Location.

    Pour ces professionnels, la moindre utilisation des véhicules électriques est proche de la double peine puisqu’ils restent plus chers à l’achat et affichent une valeur résiduelle inférieure comparé aux modèles thermiques lorsqu’ils sont revendus, au bout de neuf mois environ. Ce sujet, comme la nécessité de stimuler la demande de véhicules électriques auprès des locataires, furent donc au cœur des Rencontres de la Mobilité Partagée qui se sont déroulées le 25 mars au Pavillon Royal à Paris.

    Encourager les sociétés à utiliser plus de véhicules électriques

    Le projet de loi de finances 2025 devrait toutefois apporter un sérieux coup de pouce aux agences de location hexagonales. En effet, celui-ci prévoit que, depuis le 1er mars, la location courte durée de véhicules électriques (et d’hybrides rechargeables) peut désormais être comptabilisée dans le reporting annuel des entreprises en matière de verdissement de leur flotte. « C’était un combat de Mobilians et nous considérons cet amendement comme une petite victoire, se félicite Guirec Grand Clément. La location courte durée de véhicules électriques devient ainsi un levier pour permettre aux entreprises soumises à la taxe incitative d’accélérer le verdissement de leur flotte ».

    Dans les faits, cette comptabilisation au même titre que les véhicules électriques présents dans leur flotte ou utilisés lors de locations longues durées pourra en effet leur éviter une amende de 2000€ par an pour chaque véhicule vert manquant dans leur trajectoire de verdissement, pénalité qui devait grimper à 4000 puis 5000€ dans les années à venir. « Cela n’est pas anodin pour de grands groupes aux parcs conséquents. Ce point est surveillé de près par le gestionnaire de la flotte », assure Guirec Grand Clément.

    Promouvoir les véhicules électriques auprès des entreprises

    Alors que les entreprises représentent 50% de la clientèle des loueurs, ces derniers entendent tout faire pour accroître l’utilisation de leurs voitures électriques. « Nous investissons dans la promotion marketing, l’équipement en bornes de recharge dans nos agences, la formation de nos collaborateurs… », détaille Jehan de Thé, vice-président de la branche mobilité partagée de Mobilians et directeur des Affaires publiques du groupe Europcar. Et d’ajouter : « Nous devons faire de la pédagogie auprès des entreprises et communiquer sur ces nouvelles règles via nos équipes et commerciaux. D’autant qu’il n’est pas rare que le responsable du business travel n’échange pas avec le responsable de la flotte au sein des sociétés, ce qui n’est pas fait pour nous aider ».

    L’enjeu est d’autant plus important pour les loueurs qu’un voyageur d’affaires peut se faire imposer par son entreprise le choix d’un véhicule électrique dans le cadre de sa politique voyage, alors que cela n’est pas le cas pour un locataire loisir. « Heureusement, nous avons des entreprises très volontaires pour verdir leurs déplacements. Cette politique est directement impulsée par le management  », se rassure-t-il. En travaillant également le segment loisir, les membres de la branche mobilité partagée de Mobilians espèrent ainsi atteindre un taux d’utilisation de ces véhicules de 60 à 65%.

    D’autres éléments devraient par ailleurs améliorer le bilan avec des prix des véhicules en baisse et des temps de recharge optimisés. Pour que le marché redécolle, il faut également que davantage de visibilité et de transparence soient apportés dans les tarifs de recharge et plus particulièrement sur les autoroutes. Tarifs qui peuvent, de plus, varier en fonction des vitesses de recharge.

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

  • POLITIQUES VOYAGES ET RSE : LA FRANCE MONTRE L’EXEMPLE, L’ALLEMAGNE A LA TRAINE
    Dans Blog

    Les politiques voyages mises en place au sein des entreprises françaises sont parmi les plus strictes en matière d’éco-responsabilité en Europe, selon AirPlus.

    La nouvelle étude dévoilée par AirPlus a sondé par moins de 529 voyageurs d’affaires dans neuf pays européens. Outre la France, le spécialiste des moyens de paiement a scruté l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Suisse. Objectif : mesurer la place accordée au développement durable dans les politiques voyages. Et à en croire les chiffres dévoilés par AirPlus, quatre entreprises européennes sur dix (41%) ont mis en place des directives en matière de développement durable pour encadrer les voyages d’affaires.

    AirPlus Business Travel Index : dépenses en hausse, vols domestiques en baisse
     

    Mais cette moyenne européenne cache des disparités majeures – et parfois surprenantes – d’un marché à l’autre. A commencer par l’Allemagne, qui accuse un retard conséquent vis-à-vis de ses voisins. Seules 20 % des entreprises allemandes auraient ainsi adopté des directives en matière de développement durable dans leurs politiques voyages. De l’autre côté du palmarès dévoilé par AirPlus, la France fait figure d’exemple (48%), avec l’Italie (42%) et surtout le Royaume-Uni. L’écart entre les marchés européens demeure donc problématique… tout comme celui entre les intentions et les actes. En effet, selon AirPlus, 63 % des sondés veulent réduire l’impact environnemental de leurs voyages d’affaires.

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

     

Afin d'améliorer votre expérience, nous utilisons des cookies pour conserver les informations de connexion et collecter les statistiques en vue d'optimiser les fonctionnalités du site. Cliquez sur "Accepter et continuer" pour accepter les cookies et poursuivre directement sur le site ou cliquez sur "En savoir plus" pour consulter en détail les descriptions des types de cookies. En savoir plus