La loi de finances pour 2025 a été publiée le 15 février 2025. Elle établit une augmentation du barème de la taxe de solidarité sur les billets d’avion (TSBA) applicable à tous les voyages au départ de France (intérieurs ou vers des pays tiers), pour les départs à compter du 1er mars 2025. Ce nouveau barème est d’ores et déjà applicable pour toutes les réservations de vols opérés par Air France, KLM, Transavia (TO et HV), Delta Air Lines et Virgin Atlantic.
Ce nouveau barème est applicable pour toutes les compagnies car il est à jour dans la TTBS (tickect tax box service) de IATA/ATPCO depuis le 15 février.
Cette TSBA (composantes O4 + IZ) s'applique par branche tarifaire, et augmente :
• de 2,63€ à 7,40€ en cabine Economy et de 20,27€ à 30€ en cabine Business pour les vols domestiques métropole et DOM, les vols intra-UE et au sein de l’EEA ou pays à moins de 1000km.
• de 7,51€ à 15€ en cabines Economy et Premium et de 63,07€ à 80€ en cabines Business et La Première pour les vols de moins de 5500 km en dehors du périmètre précédent,
• de 7,51€ à 40€ en cabines Economy et Premium et de 63,07€ à 120 € en cabines Business et La Première pour les vols au-delà de 5500 km.
Ces nouveaux montants sont applicables pour tous les vols au départ de France à partir du 1er mars 2025, y compris pour les réservations déjà réalisées.
Par exemple: pour un vol aller retour intra-France : ces taxes s'appliquent sur l'aller et sur le retour.
Les distances s’entendent de CDG ou des aéroports DOM de référence à la capitale du pays tiers.
Source : https://www.afkl.biz/ et AIR FRANCE SALES REPRESENTATIVE French Market JH.CW
Le syndicat ver.di a appelé les employés des services publics et le personnel au sol de l'aéroport de Munich à entamer une grève de deux jours, du jeudi 27 février 2025 à 00h00 au vendredi 28 février 2025 à 23h59 (CET).
Les passagers concernés par une irrégularité de vol et dont la nouvelle réservation a déjà été traitée ont été informés en conséquence (à condition que les coordonnées aient été enregistrées dans la réservation).
Pour les voyageurs à destination et en provenance de Munich dont les vols n'ont pas été annulés, une mesure commerciale Goodwill Policy (TWP 2504) est en application.
Nous nous excusons pour la gêne occasionnée par ce préavis de grève du syndicat ver.di. Lufthansa Group n'est pas un partenaire de négociation dans ce conflit, mais - comme de nombreuses autres compagnies aériennes – nous en subissons les conséquences
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Davantage de liaisons et d’options : avec ITA Airways et les compagnies de Lufthansa Group
Bonne nouvelle : grâce au nouvel accord de partage de code entre ITA Airways et Lufthansa, SWISS, Austrian Airlines, Brussels Airlines et Air Dolomiti, les voyageurs vont bénéficier d’un choix de vols encore plus étendu en Europe avec davantage de flexibilité.
Il est désormais possible de réserver de nombreux vols ITA Airways vers/depuis Rome (Fiumicino) et Milan (Linate) sous un numéro de vol marketing Lufthansa Group (LH/LX/OS/SN/EN), pour des voyages à partir du 30 mars 2025. Par ailleurs, certains vols de Lufthansa Group peuvent également être réservés sous un numéro de vol marketing ITA Airways.
Source : Equipe Experts France Lufthansa Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Publié le 20 février 2025 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Vous comptez voyager en avion ? Des hausses de la taxe de solidarité pourraient s'appliquer pour certains vols. Comment ces hausses de taxes vont se matérialiser pour les consommateurs ? Service-Public.fr vous explique.
La taxe de solidarité sur les billets d'avion (TSBA), aussi appelée taxe Chirac, est une taxe internationale prélevée sur le prix des billets d'avion. La loi de finances 2025 vient d'être adoptée et avec elle une hausse du barème de la TSBA à partir du 1er mars 2025.
Les nouvelles hausses prévues dans l'article 30 de la loi de finances 2025 sont les suivantes :
Source : https://www.service-public.fr/
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/article_jo/JORFARTI000051168550 : Loi n°2025-127 du 14 février 2025 de finances pour 2025
Le petit plus info UVET France :
Pour les départs frontaliers tels que Bruxelles, Luxembourg, Genève et Bâle, l’augmentation ne s’applique pas.
En revanche, les départs côté français depuis Mulhouse seront taxés.
Un nouveau mouvement de grève débute en Belgique, et perturbera notamment les déplacements en train, pendant neuf jours.
Début d’année chaotique pour les déplacements en Belgique. Le 13 février dernier, un vaste mouvement de grève avait contraint les autorités à fermer l’espace aérien, paralysant de fait tous les aéroports du pays. Dès le vendredi 21 février au soir, le secteur ferroviaire sera à son tour perturbé par les troubles sociaux, dans la foulée d’une vaste manifestation prévue dans la journée à Bruxelles. Cette dernière affectera d’ailleurs les transports en commun dans la capitale.
La grève des cheminots débute à 22h ce vendredi à l’appel des syndicats SIC et SACT. Elle doit durer jusqu’au 2 mars au soir (22h). Toutes les destinations affaires du pays seront affectées, non seulement pour les déplacements en train mais aussi dans les transports en commun.
La SNCB espère pouvoir mettre en place un service alternatif : « Nous élaborerons, en fonction de la présence du personnel, un service de trains alternatif, afin de pouvoir vous amener à destination ». La compagnie ferroviaire précise toutefois que l’impact de la grève sera différent d’un jour à l’autre – et sera plus important en semaine que le week-end. Pour ce samedi 22 février par exemple, la SNCB prévoit 3 trains IC sur 5, et 3 trains S et L sur 5 en circulation.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Qatar Airways suspendra sa liaison entre Lyon et Doha à partir du 1er mai 2025. L’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry, confirme une potentielle reprise en 2026.
La ligne Lyon-Doha sera temporairement suspendue à compter du 1er mai. Contacté par la rédaction, l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry nous confirme que cela fait suite à un manque de disponibilité d’appareil du côté de Qatar. Pour l’heure, aucune liaison assurée par une autre compagnie depuis Lyon vers Doha (l’un des principaux aéroports internationaux) n’est prévue en remplacement. L’aéroport nous assure néanmoins qu’il travaille déjà avec la compagnie pour assurer une reprise des vols dès 2026, à compter de la réception des nouveaux.
Source : https://www.deplacementspros.com/
En 2024, l’Aéroport a accueilli environ 8,9 millions de passagers. Ce chiffre représente une augmentation de 10,2% par rapport à 2023 et correspond à 98 % de celui de 2019. Le DAS Fret se stabilise à un niveau proche de celui de l’avant-crise. Le DAS Industrie tient le cap.
Fin 2024, la plateforme comptait 6500 emplois, dont 428 se situent directement au sein de l’Etablissement public « Aéroport de Bâle-Mulhouse », avec un nombre record d’apprentis. L’aéroport reste l’un des plus importants sites industriels pourvoyeurs d’emplois dans la région trinationale. La reprise du trafic a également permis de renouer avec un niveau d’investissements plus important, notamment dans les infrastructures aéroportuaires (travaux d'entretien et de réfection).
En 2024, l’EuroAirport a accueilli 8,9 millions de passagers, ce qui représente une augmentation de 10,2% par rapport à l’année précédente. Ce volume de passagers correspond à 98 % de celui de 2019, année record.
Le trafic aérien européen a été marqué par d’importants retards en 2024. Cela est entre autre dû aux capacités réduites au sein des organismes de contrôle du trafic aérien et aux conditions météorologiques peu favorables. Les opérations à l’EuroAirport se sont toutefois déroulées de manière satisfaisante, principalement grâce à l’introduction de deux nouveaux dispositifs : la coordination horaire de niveau 2 et l'échange de données en temps réel avec Eurocontrol.
Le nombre total de mouvements aériens s’est élevé à 94 124 (+6,6%/2023 et -5,2%/2019), dont 73 924 (+7,2%/2023 et -9,2%/2019) sont des vols commerciaux.
En 2024, environ 30 compagnies aériennes ont proposé des vols vers 100 destinations, et ce, principalement vers l’Europe et le bassin méditerranéen. En 2024, ce portefeuille de destinations diversifié et attractif a été enrichi par Oslo et Dubaï.
En matière de trafic de fret, l’Aéroport de Bâle-Mulhouse joue un rôle stratégique dans le cluster logistique trinational.
Le volume du fret avait augmenté pendant la crise COVID. En 2024, bien qu’en léger recul par rapport à l’année précédente, le fret se stabilise à un niveau proche de celui de l’avant-crise : le volume total de fret (104 800 tonnes) correspond à 99% de celui de 2019 (106 075 tonnes).
Le troisième DAS de l’EuroAirport, l’Industrie, spécialisé dans la maintenance (MRO = Maintenance, Repair and Overhaul) et l’aménagement intérieur d’avions VVIP, a de nouveau fait preuve de robustesse en 2024. Le secteur MRO bénéficie d’une croissance mondiale qui profite également au site de Bâle-Mulhouse.
Le centre de compétence industrielle de l’EuroAirport est d’envergure mondiale et génère un tiers des emplois de la plateforme aéroportuaire. Il comprend cinq sociétés : Jet Aviation, AMAC Aerospace, Air Service Basel, Nomad Technics AG et Pilatus.
Jet Aviation et Amac Aérospace projettent tous deux pour les prochaines années des investissements substantiels (halls industriels et bâtiments commerciaux). Le nombre d’emplois est également en progression dans les deux entreprises.
Dans toutes les décisions de l’Aéroport, les trois piliers du développement durable - économique, social et environnemental - sont pris en compte. Conformément à la stratégie EAP 23, l’accent est mis, d’une part, sur l’amélioration de la qualité de service et, d’autre part, sur les questions environnementales, avec deux axes majeurs, à savoir la réduction de l’empreinte sonore et de l’empreinte carbone.
L’Aéroport a décidé de mettre en œuvre le projet « EMT » (Évolution Modulaire du Terminal). Celui-ci a pour objectif d’agrandir et de moderniser l’infrastructure terminale de l’EuroAirport. Le projet est découpé en modules dissociables, permettant une mise en œuvre progressive. Le premier module, « Landside », comprend un nouveau bâtiment d’environ 14 000 m² sur la façade est du terminal ainsi que la rénovation de 15 000 m² de surfaces dans le terminal existant. Le début des travaux est prévu pour 2027 et l’achèvement du nouveau bâtiment pour 2030/31.
En attendant la réalisation du projet EMT, l’Aéroport met en œuvre un plan d’action ayant pour but l’amélioration de la qualité de service par des mesures ciblées qui seront mises en œuvre d’ici 2026. Certains projets sont déjà terminés (rénovation des niveaux Arrivée), d’autres sont en cours de réalisation (réaménagement des zones de restauration) ou en cours de planification (rénovation des sanitaires, signalétique, amélioration des zones d’embarquement, etc.).
La stratégie de l’EuroAirport en matière de gestion du bruit a pour objectif principal la réduction des émissions sonores nocturnes (entre 22h00 et 06h00), en particulier par la mise en œuvre des nouvelles mesures prévues dans le Plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement (PPBE) 2024-2028 approuvé par Arrêté préfectoral du 12 décembre 2024.
Des progrès ont à nouveau été accomplis en 2024 en ce qui concerne la réduction des nuisances sonores sur la période nocturne. Le bruit a pu être considérablement réduit après 23 heures, surtout au nord de l’aéroport (réduction de plus de 6 dbB(A) entre 23 heures et minuit depuis 2019). Ceci a notamment été possible grâce à la mise en œuvre de la mesure en vigueur depuis février 2022 (arrêté du 6 août 2021 : interdiction des départs programmés après 23h00). Des améliorations doivent encore être apportées au sud ; la situation en matière de bruit ne s’est que légèrement améliorée depuis 2019.
En tant que mesure corrective supplémentaire, la différenciation des redevances bruit a encore été renforcée depuis janvier 2025 et le dialogue avec les compagnies aériennes concernant l’avancement des départs a été poursuivi.
En tant que troisième aéroport national suisse, l’EuroAirport est tenu de fournir périodiquement un rapport sur l’exposition au bruit au-dessus du territoire suisse. Selon le PSIA (Plan sectoriel des transports, Partie Infrastructure aéronautique), un rapport sur l’exposition au bruit doit être établi tous les trois ans. Le rapport pour l’année 2019 a, pour la première fois, mis en lumière un dépassement des valeurs limites d’immission (VLI) sur le territoire suisse telles que définies dans l’ordonnance sur la protection contre le bruit. Dès lors, l’EuroAirport s’est volontairement engagé à documenter annuellement les données liées aux nuisances sonores du trafic aérien enregistrées sur la plateforme, en plus de l’obligation réglementaire définie dans le PSIA.
En raison du fort recul du trafic aérien lié à la pandémie, les nuisances sonores ont diminué dans les années 2020 et 2021 et les exigences de l’ordonnance sur la protection contre le bruit ont à nouveau été respectées. Les valeurs limites d’immission (VLI) ont à nouveau été dépassées en 2022 au-dessus du territoire suisse.
Le dernier rapport sur l’exposition au bruit porte sur l’année 2023. Les valeurs limites d’immission (VLI) ont à nouveau été dépassées sur les plages horaires 22h00-23h00 et 23h00-minuit. Le rapport complet est disponible ici.
Les mesures déjà prises (dialogue avec les compagnies aériennes concernant l’avancement des départs, nouvelles redevances bruit, sanctions de l’ACNUSA, mesures du plan de Prévention du Bruit dans l’Environnement 2024-2028) doivent ramener à moyen terme les immissions entre 23h00 et 24h00 sous les valeurs limites en Suisse. En outre, l’accent est mis sur la première heure de la nuit entre 22h00 à 23h00, afin d’analyser le besoin de mesures correctives.
Le taux d’atterrissages par le sud (atterrissages ILS 33, Instrument Landing System) s’élève à 11,8 % pour l’année 2024 (année précédente : 13,9 %). Ainsi, la valeur 2024 est nettement supérieure au taux d’utilisation de 10% défini dans l’accord du 10 février 2006. Sur un total de 38 019 atterrissages IFR (année précédente : 34 953), 4479 (année précédente : 4847) ont eu lieu sur la piste 33 depuis le sud (IFR : régime de vol aux instruments). Comme les années précédentes, c’est surtout au printemps et en été que les valeurs les plus élevées ont été enregistrées.
L’Aéroport agit à deux niveaux dans ce domaine : d’une part, il s’engage à réduire ses propres émissions de CO2 (scopes 1 et 2). D’autre part, il vise à réduire les émissions de l’ensemble de la plateforme aéroportuaire en coopération avec l’ensemble des partenaires concernés (scope 3).
En ce qui concerne les émissions de CO2 dont l’Aéroport est directement responsable, ce dernier s’est fixé, à l’automne 2021, l’objectif volontariste d’atteindre un niveau « net zéro carbone » d’ici 2030 au plus tard. Les mesures permettant d’atteindre cet objectif ambitieux ont été poursuivies en 2024, notamment les préparations pour la nouvelle centrale de chauffage biomasse qui sera construite sur l’emprise de l’Aéroport.
Concernant les émissions totales de CO2 de l’ensemble de la plateforme aéroportuaire, différentes mesures seront mises en œuvre en collaboration avec les acteurs concernés. La démarche engagée comprend notamment la mise en place d’un concept global de mobilité impliquant tous les partenaires de l’aéroport afin de permettre une accessibilité terrestre à l’aéroport la plus décarbonée possible. Une illustration concrète de ce concept global est l’inauguration de la nouvelle ligne de bus EuroAirport-Lörrach en décembre 2024. La démarche de réduction des émissions de CO2 prévoit également d’inciter de manière ciblée les compagnies aériennes à utiliser les aéronefs les plus modernes sur l’EuroAirport.
L’EuroAirport a le plaisir d’accueillir dans les tous prochains mois une nouvelle équipe de Direction Générale. Tobias Markert prendra ses fonctions de Directeur Général le 1er avril. Renaud Paubelle prendra quant à lui ses fonctions de Directeur Général Adjoint le 1er juillet. Tous deux apportent leur longue expérience dans le secteur aéroportuaire et l’Aéroport leur souhaite d’ores et déjà la bienvenue.
Avec 9,2 millions de passagers budgétés pour l’année 2025, les chiffres d’avant-crise seront dépassés. La reprise des investissements se poursuit, avec un programme d’investissement de 44 millions d’euros, principalement dans les domaines de la qualité de service et de l'environnement (p. ex. installation de panneaux photovoltaïques).
Les mesures visant à améliorer la qualité de service restent au cœur des priorités. Une des mesures phare, le réaménagement des zones de restauration de l’aéroport, sera achevée en 2025. Les nouveaux points de restauration seront tous ouverts d’ici avril 2025, ce qui permettra de proposer une offre de restauration totalement renouvelée.
En ce qui concerne le DAS Fret, l’EuroAirport ne s’attend pas à une évolution notable par rapport à l’année 2024. L’année 2025 sera toutefois une année particulière pour l’activité de fret général, car le Cargo Terminal fêtera ses 10 ans. Ce bâtiment moderne et performant garantit des processus de traitement et de stockage répondant aux normes exigées par l’industrie pharmaceutique, en particulier un contrôle continu de la température dans une plage de 15 à 25 °C à l’intérieur de la halle de fret.
Le DAS Industrie devrait continuer à bénéficier d’une activité soutenue et les grands projets d’investissement prévus seront poursuivis.
La préparation du lancement des deux projets d’investissement majeurs de l’Aéroport, l’évolution modulaire du terminal prévue à partir de 2027 et la réfection partielle de la piste principale, programmée pour 2026, sera poursuivie en 2025. S’agissant du projet de raccordement ferroviaire (projet NLF EAP), l’Aéroport participera aux prochaines phases d’élaboration des études.
L’EuroAirport se réjouit d’ores et déjà de servir de porte d’entrée pour accueillir les événements majeurs que sont le Concours Eurovision de la chanson et l’UEFA Women’s EURO qui se dérouleront à Bâle en 2025, et d’apporter ainsi sa contribution au rayonnement du territoire trinational.
Source : https://www.euroairport.com/
FranceTGV Lyria dévoile ses trois nouvelles classes de voyage, dont la Première Signature !
Depuis le 5 février, TGV Lyria propose trois nouvelles classes de voyage : la Standard, la Première, et la Première Signature, chacune offrant une expérience unique et reconnaissable.
Chaque classe de confort a été conçue pour répondre aux besoins spécifiques de chaque voyageur, tout en préservant la qualité et le service qui font la renommée de TGV Lyria.
La Standard reste le meilleur compromis pour les petits budgets qui souhaitent voyager confortablement entre la France et la Suisse.
La Première option idéale pour les voyageurs qui recherchent un cadre plus calme, plus intime et un niveau de confort plus élevé pendant leur trajet.
La Première Signature, anciennement Business Première, est la nouvelle référence du voyage premium, spécialement pensée pour les voyageurs d'affaires et les passionnés de confort. Elle offre des services haut de gamme, tels que l'accès aux lounges SNCF et CFF (Paris Gare de Lyon et Genève), un hôte dédié à bord, des repas gastronomiques signés par des chefs, un embarquement prioritaire, des espaces de coworking et bien plus encore.
Source : https://www.feria.sncf.com/
Les 7, 8, 9, 14 et 15 juin 2025, en raison de travaux sur les voies, plus aucun train TGV ne desservira la gare de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle.
Les ventes du produit Train + Air en connexion à l'aéroport sont donc suspendues sur ces dates.
Avec l'offre Train + Air , Emirates propose aux voyageurs la possibilité de réserver leur billet d'avion et leur trajet en train, le tout dans un seul et même billet . Cette offre facilite ainsi leurs déplacements au départ et vers de nombreuses villes en France.
Offre Train + Air !
Démultipliez les possiblités au départ de France pour vos clients
Pour des départs dès le 7 aout, Emirates propose vos voyageurs la possibilité de réserver leur billet d'avion et leur trajet en train, le tout dans un seul et même billet. Cette offre facilite ainsi leurs déplacements au départ et vers de nombreuses villes en France.
Les passagers pourront retirer leur e-billet 72 heures avant le départ sur la plateforme Access Rail et pourront ensuite s'enregistrer librement sur nos vols 48h avant le départ.
Mise à jour des coordonnées des passagers dans les dossiers
Nous vous rappelons qu'il est essentiel d'inclure les coordonnées des passagers , email et/ou portable, dans leur dossier aérien.
Ces informations, permettent à EMIRATES de notifier les voyageurs en cas d'irrégularité de vol et de gérer les situations exceptionnelles de manière plus fluide et réactive.
Source : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Selon les statistiques provisoires de la Direction Générale de l'Aviation Civile (DGAC), le trafic aérien domestique en France métropolitaine a encore reculé en 2024. Soit un peu plus de 20 millions de passagers l'an dernier.
79,4% du total passagers de 2019 en 2023; un chiffre tombé à 75,4% en 2024. Les statistiques de la DGAC le prouvent. Le trafic des lignes intérieures en France s’effondre année après année. Avec une accélération certaine depuis la période de Covid. L’an passé, 20,2 millions de passagers ont utilisé un vol sur les lignes intérieures. Ils étaient encore 21,2 millions en 2023 et 26,7 millions en 2019 – qui marquait pourtant déjà une baisse de 2,1% par rapport à 2018.
Les lignes radiales, qui relient Paris au reste de la France, sont celles qui accusent la plus forte chute du nombre de passagers. L’an dernier, elles ont accueilli 11,7 millions de passagers contre 16,3 millions en 2019. De fait, le nombre total de passagers était en 2024 inférieur de 29,5% aux chiffres de 2019.
Avec l'annonce d'Air France de se retirer totalement d'Orly pour laisser le terrain libre à sa filiale Transavia dans l'exploitation de lignes, on peut se demander quel est encore le poids actuel de la compagnie française sur l'aéroport du sud de Paris.
Orly est actuellement l’aéroport le plus dynamique sur Paris. L’aéroport a en effet enregistré 24,72 millions de passagers sur les trois premiers trimestres de 2023. Ce qui représente une hausse de 14,5% sur un an. Mais surtout cela représente une hausse – certes modeste – de 0,3% comparée aux mêmes 9 mois de 2019, dernière année avant l’épidémie de covid.
En septembre, le trafic total passagers à Orly était ainsi de 12,9% supérieur à celui de septembre 2019. Pour comparaison, Roissy CDG reste encore en retrait de plus de 12% par rapport aux chiffres de 2019…
Cette performance pourrait-elle cependant être mise à mal par l’annonce du retrait d’Air France d’ici 2026 ? Pas si sûr, si l’on se réfère aux chiffres actuels de trafic. La compagnie nationale assure une présence à Orly vers 14 destinations sur un total de quelques 130 villes. Outre les trois navettes sur Marseille, Nice et Toulouse, la compagnie dessert la Corse (quatre destinations : Ajaccio, Bastia, Calvi et Figari), Cayenne, Fort-de-France, Pointe-à-Pitre, Saint-Denis de la Réunion, mais aussi les trois capitales du Maghreb : Alger, Casablanca et Tunis.
Au fur et à mesure des années, la compagnie a cédé en fait une grande partie de son réseau domestique à Transavia. Le transporteur low-cost a ainsi récupéré les lignes Air France sur Biarritz, Montpellier, Pau, Perpignan ou Toulon. Ainsi que des liaisons sur plusieurs destinations loisirs dans le bassin méditerranéen.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
La compagnie ferroviaire qui a fusionné avec Thalys aura transporté 19,5 millions de passagers l'an dernier, en hausse de 5% sur un an.
La reprise dans le ferroviaire s’est confirmée en 2024. Dernier résultat en date, celui d’Eurostar qui a fusionné fin 2023 avec Thalys sous l’égide de la SNCF qui était l’actionnaire très majoritaire des deux transporteurs à grande vitesse européens. Le nouvel ensemble a ainsi fait voyager 19,5 millions de passagers l’an dernier soit une progression de 5% comparé à 2023 (après +22% en 2023, année de rattrapage d’après-Covid). « C’est le résultat le plus élevé jamais atteint par Eurostar » , se félicite la compagnie dans un communiqué. Les trafics ont notamment été soutenus de juillet à septembre par les Jeux olympiques et paralympiques pour lesquels avaient ajouté des rotations et fait rouler une rame aux couleurs de l’évènement sportif.
2024 fut une année importante dans ce calendrier de la fusion. Le nouvel Eurostar a en effet harmonisé l’an dernier ses trois classes de voyage entre ses différentes routes, vers la Grande-Bretagne et l’Europe continentale, avec Eurostar Standard, Eurostar Plus et Eurostar Premier très utilisée par la clientèle professionnelle. Le second chantier est de faire rouler plus vert son parc de 51 trains en décidant de recourir à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2030. Le troisième, le plus coûteux pour la compagnie ferroviaire, consista en la commande de 50 trains à grande vitesse afin de proposer un design et un confort unifiés à bord et d’utiliser des trains adaptés électriquement et technologiquement à la desserte des cinq pays traversés actuellement (France, Royaume-Uni, Belgique, Pays-Bas et Allemagne) voire sur de nouvelles routes. Fort d’une livraison des premières rames à partir de 2030, Eurostar anticipait ainsi surtout une augmentation continue de son trafic avec un objectif de transporter 30 millions de passagers par an à cet horizon
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
L'Orlybus vit ses dernières semaines. Le prolongement de la ligne 14 jusqu’à l’aéroport aura rapidement scellé le sort de la ligne, désertée par les passagers.
Comme l’on pouvait s’en douter, l’arrivée de la ligne 14 à Orly en juin dernier s’est rapidement imposée comme l’option la plus pratique pour de nombreux voyageurs d’affaires ou loisirs. Et l’Orlybus est victime du succès du métro. Île-de-France Mobilités (IDFM) vient donc d’acter la fermeture de la ligne, fixée au 3 mars prochain.
« Le succès du prolongement de la ligne 14 jusqu’à Orly (plus de 25 000 voyageurs quotidiens) a entrainé une baisse de la fréquentation de 80 % d’Orlybus, qui reliait la place Denfert Rochereau dans le 15ᵉ arrondissements de Paris à l’aéroport » indique IDFM. « Face à cette baisse et des bus, circulant parfois complètement à vide, la ligne fermera officiellement ses portes aux voyageurs, le 3 mars 2025 » est-il précisé.
Ligne 14 : la tarification fixée à 11,50€ pour rejoindre l’aéroport d’Orly
La fin de l’Orlybus – qui doit permettre de générer des économies – s’explique aussi par la fiabilité de la ligne 14. Celle-ci relie désormais Châtelet-Les-Halles à Orly en 25 minutes à peine, contre 45 minutes pour le trajet en Orlybus. En outre, la fréquence des deux modes de transport plaide aussi largement en faveur de la ligne 14 : un métro toutes les 95 secondes, contre un Orlybus toutes les 10 à 20 minutes. La ligne revendique aussi un taux de ponctualité de 100%. En outre, IDFM souligne que la ligne est 100 % accessible pour les voyageurs en situation de handicap et à mobilité réduite.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/