Avant de prendre l'avion pour une destination assez lointaine, organisez-vous de façon à atténuer ou écourter les effets gênants du décalage horaire.
Choisissez si possible un vol de jour, ce qui permet de limiter la dette de sommeil.
En cas d’évènement important à destination (compétition sportive, conférence, etc.), prenez si possible un vol qui permette d’arriver quelques jours avant pour que l’organisme ait pu s’adapter et ne soit plus affecté par le décalage horaire.
Essayez de modifier progressivement quelques jours avant le départ vos heures de coucher, de lever et des repas, pour anticiper le rythme local. Par exemple, décalez votre heure de coucher d’une heure par jour dans le même sens que celle de la destination d’arrivée.
Calez-vous le plus possible sur le nouveau rythme horaire (repas, lever, coucher, etc.).
Pendant le voyage en avion, mettez votre montre à l’heure du pays de destination et essayez de respecter les horaires veille / sommeil du pays de destination et profitez du vol pour vous reposer.
Hydratez-vous régulièrement, évitez l’alcool et tous les excitants comme le café ou le thé.
Si un repas est servi à bord, essayez de manger en vous calant sur l’horaire de destination.
Une fois dans le pays de destination, faites une courte sieste (20-30 minutes) si besoin et réglez votre rythme de sommeil le plus rapidement possible sur l’heure locale.
Prenez vos repas aux heures locales.
Selon le lieu d’arrivée, choisissez vos moments d’exposition en extérieur à la lumière naturelle et portez des lunettes de soleil pour réduire l’exposition à d’autres moments. Ainsi :
Évitez toute activité physique importante et toute activité potentiellement stressante (jeux vidéo par exemple) dans les heures précédant le coucher.
Dans ce cas conservez le rythme de votre pays d’origine. C’est ce que font les personnes de bord dans les avions.
Source : ameli.fr
Après le mouvement de grève de la semaine dernière, masqué par la direction grâce au recours à des cadres volontaires, les syndicats veulent obtenir gain de cause sur les primes et les conditions de travail avec ces nouveaux appels à des débrayages de cheminots.
Très remontés, les cheminots grévistes de la SNCF maintiennent la pression. Après le mouvement lancé la semaine dernière englobant le pont du 8 mai, la CGT-Cheminots a appelé à nouveau à la grève les 4, 5 et 11 juin. La principale organisation syndicale de la compagnie ferroviaire espère ainsi obtenir gain de cause sur l’organisation des plannings, les primes et augmentations de salaires mais aussi désormais sur les embauches et la formation.
Les conducteurs seront les premiers à ouvrir le bal le mercredi 4 juin à l’occasion d’une négociation sur les primes dont bénéficient cette catégorie de cheminots. Le jeudi 5 juin, la CGT espère mobiliser dans toutes les branches de l’entreprise en invitant « l’ensemble des cheminots, de tous les métiers et de tous les collèges à agir par la grève» . Enfin, le mercredi 11 juin, ce seront, comme le week-end dernier, les contrôleurs des TGV qui prendront le relais.
Le mouvement lancé la semaine dernière par la CGT et Sud Rail a principalement touché le trafic des Transiliens en Ile-de-France et TER dans plusieurs régions dont les Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes. Avec 9 trains/10 durant le pont du 8 mai, la circulation est en effet restée quasi normale dans les TGV grâce à la mobilisation de cadres volontaires préalablement formés au poste de chef de bord.
Les deux syndicats se sont élevés tout le week-end dans les médias contre cette pratique, considérant ces salariés des bureaux comme des « briseurs de grève »
alors que 40% des contrôleurs s’étaient déclarés grévistes mercredi, et près de 60% vendredi. Les syndicats ont aussi accusé la direction d’avoir limité le nombre de places offertes ce week-end en faisant rouler des rames simples ne nécessitant qu’un seul Volontaire d’accompagnement occasionnel comme chef de bord au lieu de quatre traditionnellement sur les rames doubles. Cette accusation a été rejetée par la SNCF.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Transavia : programme d’été renforcé en France
Symbole de cette prise de pouvoir de Transavia à Orly, et de son opération séduction envers le business travel : un salon d’aéroport dédié à la compagnie ouvrira ses portes en avril 2026. Auparavant, à compter du 29 mars, Transavia aura lancé ses nouveaux vols vers Nice, Marseille et Toulouse. Jusqu’à 8 vols quotidiens seront proposés depuis Orly vers Nice et Toulouse, et deux vers Marseille. De quoi répondre aux besoins de flexibilité de la clientèle affaires pour leurs déplacements domestiques. Quant à la fluidité du parcours voyageur, elle doit être améliorée par le choix du terminal Orly 2 depuis lequel embarqueront les voyageurs pour Nice, Toulouse et Marseille. Avec la promesse d’un temps de parcours limité entre les comptoirs d’enregistrement et la porte d’embarquement.
Orly : Air France sur le départ
Olivier Mazzucchelli, Président Directeur Général de Transavia France mesure toute l’importance de ce virage dans l’histoire de la compagnie : « La saison été 2026 marquera une étape importante dans le développement de Transavia. Nous proposerons une offre adaptée aux besoins de nos clients depuis Nice, Marseille et Toulouse avec des fréquences de vol permettant un aller-retour dans la journée et un accès rapide au centre de Paris. Cette nouvelle offre s’accompagnera des évolutions sur notre produit pour améliorer notre qualité de service. Nous avons à cœur de répondre aux attentes d’une clientèle business grâce à une flexibilité accrue, un service de salon dédié à Orly et des équipages reconnus pour leur qualité de service », assure Olivier Mazzucchelli.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Le conflit armé émergeant entre Inde et Pakistan bouleverse les lignes aériennes entre Europe et Asie, les compagnies évitant désormais de survoler la zone.
Voici un nouveau problème qui émerge pour les compagnies aériennes : l’escalade militaire entre Inde et Pakistan. Jusqu’à présent, il s’agit d’un conflit armé limité, qui pourrait dégénérer tout simplement en une guerre entre les deux pays, ennemis depuis la partition de l’Inde en 1947. Les tirs militaires dans la région du Cachemire font que les compagnies aériennes désormais évitent le survol du nord de l’Inde et de tout le Pakistan.
Concrètement, les transporteurs aériens européens prennent désormais une route qui passe par la Turquie, le Golfe persique (Irak, Koweït, Emirats Arabes Unis et Oman) avant d’entrer en Inde par Bombay et poursuivre sur le Sud-est asiatique. Sur cet axe, le temps de vol reste plus ou moins le même.
Concernant les vols vers la Chine, la Corée et le Japon depuis l’Europe, les avions passent désormais par la Turquie, l’Asie centrale et la Chine, évitant à la fois la Russie au nord et le duo Afghanistan/Pakistan au sud. Là aussi, sans conséquence réelle sur les temps de vol.
En revanche, la durée des vols s’étend de facto pour les liaisons à destination de Delhi. Les compagnies aériennes doivent désormais entrer en Inde à hauteur d’Ahmedabad et survoler le Rajasthan avant d’atterrir à Delhi. Un parcours qui rallonge le temps de vol de 45 à 60 minutes au maximum pour des vols depuis l’Europe.
Ce sont cependant les compagnies indiennes qui vont le plus souffrir de la situation, en particulier Air India, basée à Delhi. Le transporteur doit réorienter l’ensemble de ses vols via le sud de l’aéroport. Ce qui affecte non seulement la durée de ses vols sur l’Europe mais aussi vers l’Amérique du Nord. Le transporteur doit désormais faire une escale sur le continent (généralement à Copenhague ou Vienne) pour remplir ses réservoirs.
Plusieurs compagnies aériennes asiatiques ont annoncé aussi redéployé leurs lignes par d’autres voies aériennes d’acheminement. China Airlines a par exemple annulé son vol Taipei-Londres mercredi car il devait faire une escale technique. Tandis que Thai Airways, Vietnam Airlines et Eva Air ont indiqué que certaines liaisons allaient devoir ajuster leurs horaires.
Les passagers affaires doivent donc contacter leur compagnie aérienne pour s’assurer des heures de départ et de leurs éventuelles correspondances.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Malgré la grève de ce week-end, le directeur TGV-Intercités de SNCF Voyageurs s’est engagé à ce que tous les voyageurs arrivent à destination. La compagnie va compenser tous les voyageurs impactés.
« Notre objectif, pour ce week-end, est de faire circuler un maximum de voyageurs et d’offrir à tous nos clients une solution », s’est engagé Alain Krakovitch devant la gare Montparnasse, à Paris. Plusieurs catégories de personnels de la SNCF sont appelés à faire grève depuis le lundi 5 mai. Pour autant, le directeur TGV-Intercités assure que 9 TGV sur 10 circuleront ce week-end et que, jusqu’à jeudi, le trafic Ouigo et InOui serait « normal. Tous les enfants qui circulent dans le cadre de Junior et Compagnie auront leur trajet garanti. Tous les trains internationaux circulent normalement », assure également Alain Krakovitch.
« Le deuxième objectif est de donner l’information le plus tôt possible », selon le directeur. « Si votre TGV circule, vous recevez depuis hier et pendant toute la journée un SMS ou un mail confirmant cette circulation », détaille-t-il. En cas de suppression d’un TGV, les clients recevront « également aujourd’hui et, au maximum jusqu’à demain matin, un SMS ou un mail. » Les voyageurs qui verraient leur train supprimés auront la possibilité de se repositionner « sur un autre TGV, gratuitement, et pour la même destination », comme l’avait promis Christophe Fanichet.
Alain Krakovitch a par ailleurs annoncé ce mardi que tous les voyageurs dont le trajet serait impacté par la grève lors de ce week-end prolongé bénéficieront d’une « mesure de compensation exceptionnelle. Même s’ils ont choisi de se repositionner sur un autre train, ils recevront, dans les 30 jours, un bon de réduction de 50% sur un prochain trajet TGV, valable sur toute la période de ventes actuelle – soit jusqu’au 29 août. »
Une mesure singulière, qui trahit peut-être une crainte. Celle de voir les clients, fatigués des remous de la SNCF, partir chez la concurrence. Cette inquiétude, le directeur la concède : cette grève, « c’est une aubaine pour Trenitalia ». « La tentation des voyageurs, c’est de se repositionner sur d’autres modes de transport. »
Afin d’assurer un service « presque normal », la SNCF a fait appel à ceux que Alain Krakovitch appelle les « réservistes. » Ces volontaires, parmi les cadres de la compagnie, ont été formés pour pallier le manque de personnel, « sur les missions de chef de bord. » Une mesure que le responsable défend, malgré les critiques des syndicats, pour qui il « paraît normal que des cadres puissent aussi mesurer ce que c’est d’être en contact avec des clients. »
Pour le moment, Alain Krakovitch refuse de s’avancer sur les week-ends à venir, et déclare n’avoir reçu aucune information des syndicats, malgré l’échec des négociations. Rien que la grève de ce week-end devrait coûter « plusieurs millions d’euros » à la SNCF, a-t-il déclaré.
Source : https://www.lechotouristique.com/
En raison d'un mouvement social, une levée de frais intégrale nationale est activée :
*billets sur des trajets domestiques (France-France) et émis sur des canaux SNCF avec DB-SNCF Voyageurs en coopération, sur TGV LYRIA, TGV INOUI France-Italie, TGV INOUI France-Espagne, TGV INOUI France-Bruxelles, TGV INOUI France-Luxembourg, TGV INOUI France-Fribourg : la levée de frais fonctionne de la même façon que sur TGV INOUI et INTERCITÉS.
La même levée de frais a été activée sur OUIGO Grande Vitesse le 25/04 également.
REMBOURSEMENT :
ÉCHANGE :
COMMUNICATION CLIENTS :
Tous les clients dont le train est supprimé seront contactés à J-2 17h par SMS ou par mail pour les informer de la suppression de leur train et dans lequel il sera indiqué qu’ils peuvent bénéficier d’une levée de frais.
Nous vous invitons à consulter les horaires des trains et les correspondances sur le site SNCF Voyageurs
https://www.sncf-voyageurs.com/fr/voyagez-avec-nous/horaires-et-itineraires/informations-trafic/
Votre agence UVET France reste à votre disposition
Source : https://www.feria.sncf.com/
Perturbations dans les transports : suivi du trafic en temps réel
A ce jour, la grève n'est pas confirmée, ainsi, voici le lien SNCF vers les perturbations :
https://www.sncf-connect.com/aide/informations-situation-perturbee
Quand les trains ne circulent pas, certaines compagnies de train (TGV INOUI, INTERCITÉS, Eurostar...) peuvent vous contacter par e-mail, SMS ou téléphone pour vous informer des différentes possibilités.
Si vous n'avez pas été contacté : avant de vous rendre en gare, vérifiez si possible, que votre train circule et si l'horaire prévu de départ n'a pas été modifié, en raison de la perturbation.
Comment suivre le trafic en temps réel en vidéo ?
Consultez l'état du trafic en temps réel en France et retrouvez des informations sur les horaires et les éventuelles perturbations de votre trajet.
https://medias.cdn.vsct.fr/faq/linfo-trafic-page-greve_.mp4
https://medias.cdn.vsct.fr/faq/comment-etre-informe-sur-la-circulation-de-son-train.mp4
Votre agence UVET France habituelle reste à votre écoute.
Source : SNCF Connect
L’aéroport de Bordeaux verra easyJet inaugurer deux nouvelles destinations, deux capitales européennes qui devraient attirer la clientèle affaires.
L’annonce a eu lieu le 3 avril, et devrait intéresser les voyageurs d’affaires girondins. A la fin du mois d’octobre, easyJet ajoutera deux destinations européennes depuis l’aéroport de Bordeaux. A commencer par Budapest, où les opérations débuteront le 26 octobre à raison de deux vols par semaine (jeudi et dimanche). Cette ligne entre les deux métropoles sera exploitée en exclusivité par easyJet.
Autre nouveauté dévoilée par easyJet : le vol Bordeaux-Prague débutera lui le 27 octobre, toujours à raison de deux vols par semaine (lundi et vendredi). Au total, easyJet reliera ainsi l’aéroport de Bordeaux à 40 destinations. Soit le plus important catalogue des transporteurs présents à Mérignac.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Transavia France augmente ses capacités cet été avec 12 nouveaux appareils supplémentaires comparé à l'été 2024. Ce qui permettra d'offrir 19% de capacités en plus sur l'ensemble du réseau au départ de France.
Transavia comptabilisera 87 avions dans sa flotte à partir de juillet selon une annonce de sa direction. Ce qui représente 12 appareils Airbus A320neo supplémentaires par rapport à la saison d’été 2024. Une expansion qui va se traduire par davantage de fréquences ainsi qu’une dizaine de nouvelles lignes selon la direction de la compagnie.
Le programme représente ainsi 19% de capacités en plus. La compagnie estime que les nouvelles fréquences se traduiront par 2 à 3 millions de passagers supplémentaires par rapport aux 14 millions de clients transportés en 2024.
Transavia ajoute cet été des vols sur de grandes métropoles européennes et étoffe son réseau vers le bassin méditerranéen. Le transporteur relie de nouveau cet été Orly à Amsterdam (5 vols/semaine) et à Munich (3 vols par semaine). Elle lance également deux vols hebdomadaires de Bordeaux à Bruxelles.
Pour sa part, le trafic domestique de Transavia France ne devrait pas connaître de changements majeurs en 2025. La compagnie continue d’exploiter des vols vers quatre destinations depuis Orly (Perpignan, Toulon, Biarritz et Montpellier), ayant abandonné les lignes sur Brest et Pau.
En revanche, Transavia se prépare à la reprise dans le courant 2026 des vols de la Navette Air France vers Nice et Toulouse. Ainsi que des trois fréquences quotidiennes de la compagnie nationale sur Orly-Marseille. Sans certitude néanmoins qu’elle offrira la même densité de vols sur Nice et Toulouse. Au total, Transavia France dessert cet été plus de 120 destinations au départ de l’Hexagone.
Srouce : https://www.voyages-d-affaires.com/
La TMC renforce son offre d'hébergement corporate avec l'accès à 300.000 appartements meublés dans 85 marchés internationaux via la plateforme Apartool.
UVET France s'enrichit d'une nouvelle solution d'hébergement longue durée. La TMC vient de conclure un partenariat stratégique avec Apartool pour proposer à sa clientèle corporate une offre d'appartements meublés et équipés, adaptée aux séjours professionnels d'une semaine à un an.
Cette intégration répond aux nouveaux enjeux de la mobilité professionnelle. Elle permet aux travel managers d'accéder à un inventaire de 300.000 unités d'hébergement, réparties sur 85 marchés internationaux. Chaque appartement inclut des prestations essentielles au business travel : ménage hebdomadaire, maintenance, support 24/7 et facturation centralisée gérée directement par UVET France.
Le dispositif s'appuie sur une plateforme automatisée de réservation et de gestion, optimisant le processus de booking pour les entreprises. Cette approche permet une gestion optimisée des hébergements, une meilleure visibilité sur les coûts et une flexibilité accrue pour les collaborateurs en mobilité.
L'offre s'inscrit dans une tendance de fond du secteur du voyage d'affaires, avec une demande croissante pour des solutions d'hébergement alternatives à l'hôtellerie traditionnelle. Cette nouvelle brique technologique renforce le positionnement d'UVET France sur le segment des déplacements professionnels longue durée.
Source : https://www.deplacementspros.com/
A compter du 1er mai 2025 , tous les voyageurs n'ayant pas la nationalité thaïlandaise, doivent impérativement remplir le formulaire Thailand Digital Arrival Card (TDAC) au moins 3 jours avant leur arrivée dans le pays.
Nous vous invitons à remplir le TDAC en ligne : https://tdac.immigration.go.th/arrival-card/#/home
Lien video (anglais) : https://tdac.immigration.go.th/manual/en/files/aboutTDAC.mp4
La SNCF a repris le 31 Mars au matin ses liaisons entre la France et l'Italie. Son concurrent Trenitalia a suivi le lendemain, ce qui représente une offre globale de 5 allers-retours par jour.
C’est le matin du 31 Mars à 9h46 que s’est élancé le second TGV Inoui Paris-Milan, 19 mois après la suspension de la ligne ferroviaire en raison d’importants éboulements survenus le 27 août 2023 dans la vallée de la Maurienne. Pour l’occasion, le ministre des Transports Philippe Tabarot avait fait le déplacement sur les quais de la gare de Lyon aux côtés de Christophe Fanichet, le directeur général de SNCF Voyageurs. Avec trois allers-retours quotidiens, le transporteur propose ainsi 2 000 places par jour entre la France et l’Italie. « Depuis l’ouverture des ventes en décembre 2024, nous avons réalisé 11 000 réservations jusque fin août ce qui représente une hausse de 8% comparé à la même période en 2023. Et le taux d’occupation s’élève déjà à 70% », s’est félicité Christophe Fanichet en rappelant que la SNCF a transporté 7 millions de passager sur cette ligne depuis son lancement il y a 13 ans.
Compte tenu de la durée du voyage – de 6 à 7 heures selon la destination italienne -, la majorité des passagers se déplacent pour des motivations de loisir. « Depuis le Covid et la montée en puissance des préoccupations écologiques, le train est largement plébiscité y compris sur les longues distances », ajoute-t-il. La ligne Paris-Milan est en outre jugée cruciale pour les régions traversées (Bourgogne Franche-Comté, Auvergne Rhône-Alpes, Lombardie et Piémont), compte tenu de ses arrêts dans les gares de Mâcon, Chambéry, Saint-Jean de Maurienne, Modane, Oulx et Turin. Quelque 208 000 personnes ont d’ailleurs emprunté l’offre de substitution en autocar mis en place par SNCF Voyages Italia de janvier 2024 à fin mars 2025. La SNCF concède toutefois avoir perdu un trafic de 500 000 passagers suite à la suspension de la desserte ferroviaire directe.
Affichant des tarifs à partir de 29€ pour la totalité du trajet, les trois liaisons Paris-Milan de SNCF Voyages Italia sont programmés à 6h46, 9h46 et 14h48. Dans l’autre sens, les TGV partent de la gare de Milan-Port Garibaldi à 6h, 12h10 et 16h10. La compagnie entend par ailleurs séduire une clientèle locale italienne avec des tarifs à partir de 10€ pour circuler entre les villes de Oulx, Turin et Milan. Côté services à bord, elle promet un personnel franco-italien dans les rames, des prises électrique en 1ère comme en 2nde classe, un wifi gratuit efficace et une offre de restauration mettant à l’honneur les produits et les plats des deux pays.
La SNCF n’est toutefois pas la seule à se relancer sur le Paris-Milan puisque Trenitalia a repris du service dès le 1er avril via des liaisons proposées à 7h30 et 15h18 de la gare de Lyon, et à 6h25 et 15h53 de Milan avec des tarifs d’appel qui débutent à 35€. Ces rames Frecciarossa desservent l’aéroport Lyon Saint-Exupéry et désormais Saint-Jean de Maurienne et Oulx. La compagnie italienne qui estime, elle, avoir perdu 850 000 passagers durant les 19 mois d’arrêt mise aussi sur ces nouveaux arrêts pour capter des marchés intermédiaires. « Dans sa relance, la ligne bénéficiera en 2026 du déroulement des XXVe Jeux olympique d’hiver à Milan et Cortina d’Ampezzo », nous confiait récemment Fabrice Toledano, le directeur commercial et marketing de Trenitalia France. Sur les quais ce matin, le ministre des Transports Philippe Tabarot se félicitait grâce à « ces 5 liaisons par jour entre la SNCF et Trenitalia d’une ouverture à la concurrence ferroviaire saine, qui fonctionne bien et permet l’émulation ». Avec, au final, une hausse de trafic pour les deux transporteurs.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com
Confrontés à une faible demande pour les véhicules électriques, les loueurs espèrent inverser la tendance grâce aux entreprises, qui peuvent désormais intégrer leur utilisation dans le parcours de verdissement de leurs flottes.
Si le marché de la location courte durée a repris de belles couleurs depuis la sortie du Covid, celui-ci connait encore des ratés pour les véhicules 100% électriques, loin d’être demandés par les clients, affaires comme loisir. La faute à des peurs concernant l’autonomie, la durée et les tarifs de recharge… Les véhicules thermiques demeurent ainsi plébiscité pour les longues distances. « La demande n’est pas au rendez-vous par rapport au pourcentage d’électrification de nos flottes qui avoisine les 3% actuellement. Ce chiffre était précédemment supérieur, mais nous avons réduit nos achats en 2024 », confie Guirec Grand Clément, le président de la branche mobilité partagée de Mobilians et DG d’Enterprise Mobility France. Et de rappeler que les loueurs sont soumis depuis 2019 à la loi d’orientation des mobilités (LOM) qui impose une trajectoire de verdissement des flottes aux entreprises disposant de plus de 100 véhicules.
« Le taux d’utilisation d’un véhicule thermique s’élève à 75% alors qu’il tombe à 47,5% pour un véhicule électrique, ce qui n’est pas viable économiquement pour les loueurs », pointe-t-il. Il est à noter que les véhicules Tesla sont encore les plus faciles à mettre sur les routes. « Ses locataires sont à l’aise avec ce véhicule, car ils possèdent souvent une Tesla dans leur garage », justifie Agnès Parmentier, vice-présidente de la branche mobilité partagée et DG de Leriche Location.
Pour ces professionnels, la moindre utilisation des véhicules électriques est proche de la double peine puisqu’ils restent plus chers à l’achat et affichent une valeur résiduelle inférieure comparé aux modèles thermiques lorsqu’ils sont revendus, au bout de neuf mois environ. Ce sujet, comme la nécessité de stimuler la demande de véhicules électriques auprès des locataires, furent donc au cœur des Rencontres de la Mobilité Partagée qui se sont déroulées le 25 mars au Pavillon Royal à Paris.
Le projet de loi de finances 2025 devrait toutefois apporter un sérieux coup de pouce aux agences de location hexagonales. En effet, celui-ci prévoit que, depuis le 1er mars, la location courte durée de véhicules électriques (et d’hybrides rechargeables) peut désormais être comptabilisée dans le reporting annuel des entreprises en matière de verdissement de leur flotte. « C’était un combat de Mobilians et nous considérons cet amendement comme une petite victoire, se félicite Guirec Grand Clément. La location courte durée de véhicules électriques devient ainsi un levier pour permettre aux entreprises soumises à la taxe incitative d’accélérer le verdissement de leur flotte ».
Alors que les entreprises représentent 50% de la clientèle des loueurs, ces derniers entendent tout faire pour accroître l’utilisation de leurs voitures électriques. « Nous investissons dans la promotion marketing, l’équipement en bornes de recharge dans nos agences, la formation de nos collaborateurs…», détaille Jehan de Thé, vice-président de la branche mobilité partagée de Mobilians et directeur des Affaires publiques du groupe Europcar. Et d’ajouter : « Nous devons faire de la pédagogie auprès des entreprises et communiquer sur ces nouvelles règles via nos équipes et commerciaux. D’autant qu’il n’est pas rare que le responsable du business travel n’échange pas avec le responsable de la flotte au sein des sociétés, ce qui n’est pas fait pour nous aider » .
L’enjeu est d’autant plus important pour les loueurs qu’un voyageur d’affaires peut se faire imposer par son entreprise le choix d’un véhicule électrique dans le cadre de sa politique voyage, alors que cela n’est pas le cas pour un locataire loisir. « Heureusement, nous avons des entreprises très volontaires pour verdir leurs déplacements. Cette politique est directement impulsée par le management », se rassure-t-il. En travaillant également le segment loisir, les membres de la branche mobilité partagée de Mobilians espèrent ainsi atteindre un taux d’utilisation de ces véhicules de 60 à 65%.
D’autres éléments devraient par ailleurs améliorer le bilan avec des prix des véhicules en baisse et des temps de recharge optimisés. Pour que le marché redécolle, il faut également que davantage de visibilité et de transparence soient apportés dans les tarifs de recharge et plus particulièrement sur les autoroutes. Tarifs qui peuvent, de plus, varier en fonction des vitesses de recharge.
Ce marché de la location représente quelque 6 millions de clients par an, traités par les 4700 agences présentes en France métropolitaine et en Corse. Le marché se partage entre 53% des locations réalisées en gares et aéroports, les 47% restants provenant des autres agences implantées dans les centres-villes hors gare. Le chiffre d’affaires du secteur, qui emploie 12 000 personnes, s’élève à 4,3 milliards d’euros. Les loueurs assurent 10% des achats de véhicules neufs chaque année.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
La ligne Nice - New York fait son grand retour en avril !
Dès le 20 avril, La Compagnie reprend ses vols entre Nice et New York, à partir de 1800€ A/R en classe X (nuit du samedi au dimanche obligatoire), avec une montée en puissance progressive jusqu'à une fréquence maximale de 4 vols par semaine : 2 vols directs et 2 vols via Paris.
L'occasion parfaite pour (re)vivre l'expérience 100 % classe affaires et traverser l'Atlantique avec confort et élégance.
Encore plus de confort dans notre salon à Newark !
Notre salon à Newark Lounge & Co (EWR) est désormais équipé d'un Wi-Fi encore plus performant. Que ce soit pour travailler avant le vol ou simplement se détendre en streaming, profitez d'une connexion rapide et fluide dans un espace toujours aussi exclusif et confortable.
Et une fois à bord, la connexion continue ! Nous offrons toujours un Wi-Fi haut débit illimité et gratuit tout au long du vol, pour rester productif ou vous divertir sans interruption.
Ce mois de mars, le Chef étoilé David Toutain a signé le menu depuis Paris à bord de La Compagnie.
Offrez à vos clients un voyage où confort et haute cuisine se rencontrent, avec une expérience culinaire exclusive à 10 000 mètres d'altitude.
Entrée : Asperge blanche, crevette et sauce cocktail
Plat chaud :
Une parenthèse gourmande qui ajoutera une touche savoureuse à votre escapade !
Source : LA COMPAGNIE
Emirates collabore avec Parsys Telemedicine pour installer des stations de télémédecine sur 300 avions, offrant aux passagers une assistance médicale rapide grâce à des dispositifs connectés et une communication en temps réel avec des professionnels au sol. Le personnel de cabine bénéficie également d'une formation médicale avancée pour gérer les urgences en vol. Cela améliore la sécurité des passagers et garantit des soins de qualité pendant le vol.
Envolez vous vers Brisbane depuis la France
Découvrez Brisbane , une ville ensoleillée et dynamique , parfaite pour mêler nature et culture .
Profitez d'un vol quotidien au départ de Nice et Lyon , ainsi que de trois vols depuis Paris vers Dubaï, avec des correspondances optimisées pour les deux vols quotidiens proposés vers Brisbane.
Brisbane est l'une des cinq destinations desservies en Australie, aux côtés d' Adélaïde, Melbourne, Perth et Sydney et propose la nouvelle classe Premium Economie.
Un accès privilégié à Abu Dhabi
Faites d'Emirates le choix privilégié pour les voyages de vos clients à destination d' Abu Dhabi .
Grâce à une connexion simplifiée entre l'aéroport international de Dubaï et Abu Dhabi, Emirates propose un service gratuit et parfaitement organisé . Vos clients bénéficieront d'un trajet fluide et confortable grâce à notre service de Voiture avec Chauffeur ou nos bus directs.
Source : LA LETTRE HEBDOMADAIRE EMIRATES
Comme pressenti, et avant même la mise en service du visa électronique britannique, son prix augmente.
Le gouvernement britannique ne cachait pas son intention d’augmenter le prix du tout nouveau visa électronique britannique (UK ETA). C’est désormais chose faite : dès le 9 avril 2025, le prix de cette formalité augmentera de 7 euros.
Il sera donc facturé 20 euros, contre 12 euros au moment de son lancement… une semaine plus tôt (2 avril). Cette décision, qui provoque l’ire des professionnels britanniques du tourisme, pourrait impacter l’attractivité touristique du Royaume-Uni, qui demeure l’une des destinations favorites des Français.
Les autorités britanniques, qui augmentent de façon plus large tous les tarifs liées aux formalités de voyages (émission de passeport, etc…), ont toutefois assoupli une disposition relative à la mise en place de cet UK ETA. Ainsi, les voyageurs internationaux en transit et qui ne passent pas les contrôles aux frontières sont temporairement exemptés de la formalité. Le ministre de l’Intérieur local a toutefois annoncé son intention de « réexaminer » ce cas particulier. Une victoire pour les compagnies aériennes.
Pour rappel, l’ETA s’adresse aux visiteurs qui « n’ont pas besoin de visa pour entrer au Royaume-Uni dans le cadre de séjours de courte durée, ou qui n’ont pas le statut d’immigrant britannique avant leur voyage », précise Visit Britain. Le dispositif concerne tous les voyageurs (enfants et bébés compris). Et ce, pour les territoires suivants : Angleterre, Écosse, Pays de Galles, Irlande du Nord.
Seuls les élèves de groupes scolaires de mineurs (de l’Union européenne ou de Suisse) restent pour l’instant exemptés d’ETA. D’autres formalités s’appliquent pour ce public, comme indiqué sur le site officiel du gouvernement britannique. Valable deux ans ou jusqu’à la date d’expiration du passeport titulaire, l’ETA permet plusieurs voyages d’une durée maximum de six mois.
Source : https://www.lechotouristique.com/
Information concernant le préavis de grève du syndicat ver.di le 10 mars 2025
Le syndicat ver.di a appelé les employés des services publics et le personnel d'escale des aéroports de Berlin-Brandebourg, Brême, Cologne/Bonn, Dortmund, Düsseldorf, Francfort, Hambourg, Hanovre, Leipzig/Halle, Munich et Stuttgart à faire grève le lundi 10 mars 2025 de 00h00 à 23h59 (CET).
Des annulations de vols sont à prévoir sur l’ensemble des compagnies de Lufthansa Group depuis/vers l’Allemagne.
Les voyageurs concernés par une irrégularité de vol seront informés en conséquence (à condition que les coordonnées soient enregistrées dans la réservation).
Nous nous excusons pour la gêne occasionnée par ce préavis de grève du syndicat ver.di. Lufthansa Group n'est pas un partenaire de négociation dans ce conflit, mais - comme de nombreuses autres compagnies aériennes – nous en subissons les conséquences.
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Nouvelle ligne directe LYON - STRASBOURG
Nous sommes heureux de vous annoncer l'ouverture de la ligne régulière entre LYON et STRASBOURG, qui sera opérée à partir du 31 mars 2025 par notre compagnie aérienne Twin Jet.
En partenariat avec Air France, les voyageurs au départ et à destination de Strasbourg pourront se connecter facilement à de nombreux aéroports via le hub Air France de Lyon. Votre agence de voyages peut d'ores et déjà émettre des billets qui incluent le vol Twin Jet et une correspondance avec un vol Air France, le tout sur le même billet Twin Jet.
Bonus exclusif pour les voyageurs au départ de Lyon :
Twin Jet s'engage à proposer une expérience de voyage de qualité à ses passagers en offrant l’accès au coupe-file à l’aéroport de Lyon. Cette initiative vise à simplifier le passage au contrôle de sûreté et à l'inspection des bagages à main, permettant ainsi aux voyageurs un parcours plus fluide et agréable.
Source : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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La ligne ferroviaire Roissy-Picardie en construction placera Amiens à 1h de l'aéroport francilien et permettra des liaisons directes en TGV vers Lyon, Marseille et Strasbourg.
Il ne s’agit « que » de la construction de 6,5 km de voies ferrées mais qui auront mis 25 ans à voir le jour et qui vont profondément améliorer les déplacements en train des habitants de la Somme, de l’Oise et du Nord-Est du Val d’Oise. C’est fin 2026 que doivent en effet s’achever les travaux de raccordement de la ligne Paris-Creil-Amiens à la gare SNCF de Roissy-TGV. Ils placeront alors Amiens à 1h02 de la plateforme aéroportuaire contre 1h40 actuellement en TER puis RER B via la gare du Nord. Ce barreau permettra ensuite d’opérer depuis la préfecture de la Somme des dessertes TGV directes vers Lyon en 3h10, Marseille en 4h55 et Strasbourg en 3h10.
A son inauguration, deux nouveaux allers-retours TGV Amiens-Creil-Roissy-Lyon-Marseille et Amiens-Creil-Roissy-Strasbourg sont ainsi prévus. Concernant les trains du quotidien depuis la Picardie, trois nouveaux allers-retours en TER Amiens-Roissy TGV sont également annoncés qui marqueront des arrêts à Creil, Chantilly-Gouvieux et Survilliers-Fosses. La diminution du temps de trajet Creil-Roissy sera la plus spectaculaire : 20 minutes contre 1h10 actuellement. Les passagers auront par ailleurs à leur disposition au départ de la gare SNCF de Roissy-TGV toutes les correspondances proposées vers d’autres régions françaises. Ceux qui prennent l’avion depuis l’aéroport disposeront d’une intermodalité fer-air renforcée et notamment avec Air France et la SNCF via son offre de billet combiné « Train+Air ».
Une ligne qui contribuera à désaturer la gare du Nord
Le coût des travaux n’est pas anodin, estimé à 540M€ pour la construction par SNCF Réseau de la ligne nouvelle sur laquelle les trains circuleront à 160 km/h et les aménagements réalisés par Gares & Connexions dans les gares de Roissy TGV, Chantilly-Gouvieux et Survilliers-Fosses. La région Hauts-de-France qui règle un quart de la facture estime que cette ligne devrait générer un trafic de 4 millions de voyageurs par an dont les 2/3 pour des transports du quotidien, de personnes travaillant sur la zone économique de l’aéroport de Roissy ou en Ile-de-France. L’avantage est de fait également environnemental puisque cette liaison serait susceptible de supprimer 100 000 trajets en voiture à destination du bassin d’emploi de Roissy. Pour la SNCF, l’objectif est aussi de désaturer la gare du Nord, aujourd’hui la plus chargée en Europe. Enfin, l’activité loisir et MICE du parc Astérix devrait bénéficier de sa proximité avec la gare de Survilliers-Fosse.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/