16/09/2025

SNCF : MOUVEMENT SOCIAL DU 18 SEPTEMBRE 2025

MESURES COMMERCIALES TGV INOUI, INTERCITÉS ET EUROPE

En raison d'un mouvement social national prévu le 18 septembre 2025, une levée de frais intégrale a été activée sur l'ensemble des circulations du 17 au 19 septembre 2025.

  • Circulations concernées : du 17/09 au 19/09/2025 sur l'ensemble des circulations TGV INOUI, TGV Europe * (trajets domestiques et internationaux) et Intercités (Levée de frais activée sur les circulations du 18/09 uniquement sur OUIGO Grande Vitesse et OUIGO Train Classique).
  • Dates d’activation de la levée des frais : depuis le 16/09 et jusqu’à 30 min après le départ du train
  • Périmètre client : pour tous les clients effectuant un échange ou une annulation sur les circulations concernées, sans condition de suppression de train et peu importe le tarif de leur billet (y compris tarifs non échangeable/non remboursable)
  • Période d'échange : l'échange est possible pour un nouveau départ entre J-7 et J+7 de la date de circulation initiale.

* DB-SNCF Voyageurs en coopération, TGV LYRIA, TGV INOUI France-Italie, TGV INOUI France-Espagne, TGV INOUI France-Bruxelles, TGV INOUI France-Luxembourg, TGV INOUI Paris-Fribourg.

Source : https://www.feria.sncf.com/

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  • CONTRÔLEURS, PERSONNELS AU SOL, AIR FRANCE : L’AÉRIEN FRANÇAIS PERTURBÉ LES 10 ET 18 SEPTEMBRE
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    Les 10 et 18 septembre 2025, le secteur aérien connaîtra d’importantes perturbations à l’échelle nationale, en raison de mouvements de grève lancés par plusieurs syndicats parmi les personnels au sol, le personnel navigant et surtout les contrôleurs aériens.

    Qui fait grève dans le secteur aérien ?
    Plusieurs syndicats vont participer à ces deux journées de mobilisation. Le 10 septembre, le syndicat SUD Aérien appelle à la grève et au blocage des aéroports, rejoint sur la date par la CGT Air France, qui mobilise également les personnels de la compagnie. Le 18 septembre, le mouvement s’élargit : le SNCTA, principal syndicat des contrôleurs aériens (60% de représentativité), annonce une grève nationale du jeudi matin jusqu’à la fin du service de nuit le lendemain, une mobilisation susceptible de paralyser davantage d’aéroports que lors des précédentes grèves estivales. FO Air France et la CFDT Air France se joignent également à la grève interprofessionnelle du 18 septembre en déposant des préavis allant d’une à vingt-quatre heures. Le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire chez les pilotes, a précisé ne pas participer au mouvement, ni le 10, ni le 18 septembre.

    Pourquoi cette mobilisation ?
    Ces grèves s’inscrivent dans un contexte de contestation des mesures d’économies annoncées par le gouvernement, notamment sous la houlette de François Bayrou. Les syndicats s’opposent à la suppression de jours fériés, aux coupes dans les services publics et à une réforme de l’assurance chômage jugée pénalisante. Les contrôleurs aériens, de leur côté, réclament un « rattrapage intégral de l’inflation » sur les salaires et une évolution de la gouvernance du secteur, dénonçant un échec du dialogue social avec le gouvernement. Des revendications salariales et sur les conditions de travail traversent l’ensemble des mobilisations, les syndicats pointant une dégradation généralisée du service public et de leurs conditions de vie.

    Conséquences attendues
    Les aéroports parisiens de Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly, mais aussi l’ensemble du réseau national, devraient subir des perturbations majeures ces deux jours. Air France a déjà annoncé des adaptations de son programme de vols sans préciser l’ampleur, mais selon les précédents mouvements, 25% des vols pourraient être annulés dans les aéroports franciliens, soit plusieurs centaines de vols par jour. L’impact pourrait toucher des centaines de milliers de passagers, avec des annulations et des retards importants alors que d’autres secteurs des transports (ferroviaire, bus, etc.) seront également perturbés.

    Source : https://www.air-journal.fr/

  • GREVE DU 18 SEPTEMBRE : LE MOUVEMENT GAGNE DU TERRAIN SUR LES RAILS ET DANS LES AIRS…
    Dans Blog

    Les appels à la grève se multiplient pour le 18 septembre. Après les contrôleurs aériens, les cheminots se mobilisent à leur tour. La RATP sera aussi affectée. Et les préavis menacent chez Air France...

    Le mois de septembre s’annonce déjà chaotique sur le plan social, et les voyageurs d’affaires devraient bientôt affronter plusieurs zones de turbulences. Mercredi, trois syndicats se sont réunis pour acter un appel à la grève le 18 septembre prochain : la CGT-Cheminots, l’UNSA-Ferroviaire et la CFDT-Cheminots. Dans un communiqué, cette dernière prévient : « Notre action doit être forte pour faire changer les orientations d’austérité et d’efforts supplémentaires sur ceux qui travaillent. Le 18 septembre doit être l’occasion d’imposer nos revendications pour protéger toutes celles et tous ceux qui travaillent et produisent ». Le communiqué de la CFDT-Cheminots précise par ailleurs : « Nous prévoyons une nouvelle rencontre des organisations syndicales représentatives du ferroviaire avant le 18 septembre pour continuer à construire un mouvement de mobilisation massif ».

    Les déplacements en métro devraient eux aussi être affectés par la grève du 18 septembre. Le syndicat UNSA Mobilité a indiqué participer à l’intersyndicale RATP (CGT, FO, UNSA, CFE-CGC) pour une mobilisation massive des agents le 18 septembre. « Faisant suite à l’appel de l’intersyndicale nationale, UNSA MOBILITÉ demande aux agents de s’inscrire dans la grève du 18 septembre 2025 pour manifester leur colère et leur opposition » indique le communiqué. « La mobilisation doit être forte et ne pas s’arrêter du jour au lendemain sans un contrat de confiance clair entre nos Gouvernants et les salariés sur la préservation et l’amélioration des salaires, des conditions de travail et des conditions de vie ».

    France : vers une grève des contrôleurs aériens ?

    Cet appel à la mobilisation dans le ferroviaire et les transports en commun intervient quelques jours après celui lancé par le Syndicat National des Contrôleurs du Trafic Aérien (SNCTA), ciblant lui aussi la date du 18 septembre. Depuis, plusieurs syndicats en ont fait de même chez Air France, notamment la CGT qui appelle à la grève le 18 septembre… ainsi que le 10 septembre. En effet, les perturbations liées au mouvement « Bloquons tout » du 10 septembre promettent également d’affecter les déplacements en France. 

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

  • GREVE DES CONTROLEURS AERIENS : JUSQU'A 50% DE VOLS ANNULES LE 3 JUILLET
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    Un préavis de grève nationale a été déposé par deux syndicats minoritaires parmi les contrôleurs aériens, pour les journées des 3 et 4 juillet 2025, en France métropolitaine et outre-mer.

    Afin de limiter les perturbations du trafic, la DGAC appliquera les dispositions du service minimum dans les centres en route de la navigation aérienne (CRNA) et dans les services de navigation aérienne (SNA) des aéroports où les dispositions réglementaires le permettent. La DGAC a demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols pour la journée du jeudi 3 juillet 2025 de :

    • 50% sur les aéroports de Nice, Bastia et Calvi ;
    • 30% sur les aéroports de Lyon, Marseille, Montpellier, Ajaccio et Figari ;
    • 25% sur les aéroports de Paris-Charles-De Gaulle, Paris-Orly et Beauvais.

    En dépit de ces mesures préventives, des perturbations et des retards importants sont à prévoir sur l’ensemble des aéroports français, est-il précisé à travers un communiqué. La DGAC invite les passagers qui le peuvent à reporter leur voyage et à s’informer auprès de leur compagnie aérienne pour connaître l’état de leur vol.

     

    Votre agence UVET France habituelle est à votre disposition

     

    Source : https://www.deplacementspros.com/

     

  • LE 2ÈME SYNDICAT DE CONTRÔLEURS AÉRIENS DÉPOSE UN PRÉAVIS DE GRÈVE POUR LES 3 ET 4 JUILLET
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    L’UNSA-ICNA, deuxième syndicat des contrôleurs aériens en France, a déposé un préavis de grève pour les journées des jeudi 3 et vendredi 4 juillet 2025, soit juste avant le début des vacances d’été, dénonçant un « management toxique » et la « défaillance dans la conduite des projets ».

    L’UNSA-ICNA  dénonce les « dérives managériales » au sein de la Direction des Services de la Navigation Aérienne (DSNA), dont le mode de « management autoritaire, brutal, reniant ses engagements et déconnecté des réalités opérationnelles, entretient un climat de pression constante et de défiance incompatible avec les exigences en matière de sérénité et de sécurité du métier de contrôleur aérien ».

    De même, l’UNSA-ICNA estime dans un communiqué que la DGAC (Direction générale de l’aviation civile) « échoue à moderniser les outils pourtant essentiels aux contrôleurs aériens, alors même qu’elle ne cesse de promettre que tous les moyens sont mis en la matière ». Le syndicat prend en exemple les pannes majeures à répétition (comme encore en mai dernier à Orly), qui « sont la conséquence de (ses) décisions unilatérales », estimant que les systèmes sont « à bout de souffle » et la DSNA « en demande toujours plus à ses agents pour pallier ses difficultés ».

    Les revendications portent également sur le non-paiement des mesures de flexibilité exigées aux contrôleurs, comme les journées supplémentaires ou les restrictions de congés. L’UNSA-ICNA fustige « un crédit forcé » consenti par les agents à une administration qui « piétine leur expertise » et repousse tout dédommagement à l’horizon 2028.

    Le syndicat appelle donc « à un changement de cap pour renforcer les effectifs, faire aboutir les projets de modernisation technique, et remettre les priorités opérationnelles au cœur des décisions ».

    En France, les contrôleurs aériens doivent déposer un préavis de grève au moins cinq jours à l’avance, conformément à la loi de 1984 encadrant le droit de grève dans la fonction publique. Pendant ce délai, l’administration peut tenter une conciliation. La Direction générale de l’Aviation civile (DGAC) peut également imposer un service minimum, ce qui se traduit souvent par une réduction du trafic, à hauteur de 50 à 70 % selon les cas.

    Source : https://www.air-journal.fr/

  • SNCF : NOUVEAUX APPELS A LA GREVE LES 4, 5 ET 11 JUIN
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    Après le mouvement de grève de la semaine dernière, masqué par la direction grâce au recours à des cadres volontaires, les syndicats veulent obtenir gain de cause sur les primes et les conditions de travail avec ces nouveaux appels à des débrayages de cheminots.

    Très remontés, les cheminots grévistes de la SNCF maintiennent la pression. Après le mouvement lancé la semaine dernière englobant le pont du 8 mai, la CGT-Cheminots a appelé à nouveau à la grève les 4, 5 et 11 juin. La principale organisation syndicale de la compagnie ferroviaire espère ainsi obtenir gain de cause sur l’organisation des plannings, les primes et augmentations de salaires mais aussi désormais sur les embauches et la formation.

    Les conducteurs seront les premiers à ouvrir le bal le mercredi 4 juin à l’occasion d’une négociation sur les primes dont bénéficient cette catégorie de cheminots. Le jeudi 5 juin, la CGT espère mobiliser dans toutes les branches de l’entreprise en invitant « l’ensemble des cheminots, de tous les métiers et de tous les collèges à agir par la grève» . Enfin, le mercredi 11 juin, ce seront, comme le week-end dernier, les contrôleurs des TGV qui prendront le relais.

    Impact limité lors de la dernière grève

    Le mouvement lancé la semaine dernière par la CGT et Sud Rail a principalement touché le trafic des Transiliens en Ile-de-France et TER dans plusieurs régions dont les Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes. Avec 9 trains/10 durant le pont du 8 mai, la circulation est en effet restée quasi normale dans les TGV grâce à la mobilisation de cadres volontaires préalablement formés au poste de chef de bord.

    Les deux syndicats se sont élevés tout le week-end dans les médias contre cette pratique, considérant ces salariés des bureaux comme des « briseurs de grève »

     alors que 40% des contrôleurs s’étaient déclarés grévistes mercredi, et près de 60% vendredi. Les syndicats ont aussi accusé la direction d’avoir limité le nombre de places offertes ce week-end en faisant rouler des rames simples ne nécessitant qu’un seul Volontaire d’accompagnement occasionnel comme chef de bord au lieu de quatre traditionnellement sur les rames doubles. Cette accusation a été rejetée par la SNCF.

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

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