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La société ferroviaire belge Infrabel lance la rénovation de l'axe à grande vitesse Bruxelles-Paris, programmée jusqu’en 2035. Avec des premiers effets sur les temps de parcours dès le prochain mois d'août.

Inaugurée en 1997, la ligne à grande vitesse entre Bruxelles et la France est la doyenne du réseau ferroviaire à grande vitesse intra-européen. La « LGV1 », ligne qui relie Bruxelles à la France, empruntée chaque jour par une centaine de trains circulant à 300km/h, donne des signes d’usure.

Ces dernières années, des signes de vieillissement sont apparus, ce qui a amené Infrabel, le gestionnaire de l’infrastructure ferroviaire belge, à planifier un chantier de renouvellement qui ​s’échelonnera sur une dizaine d’années pour un coût de 310 millions d’euros.

La première phase des travaux aura lieu cet été. Leur ampleur, et la nécessité de garantir la sécurité du personnel, ne permettront pas de maintenir la ligne en service. Le trafic sera totalement interrompu sur la ligne TGV dans les 2 directions, du 12 au 30 août. Durant cette période, les TGV emprunteront le réseau classique, soit via Mons (trafic de et vers Paris), soit via Ath/Tournai (trafic de et vers Londres), le tout occasionnant une prolongation des temps de parcours d’environ 30 minutes.

La planification du chantier s’est effectuée en tenant compte de l’organisation des Jeux Olympiques à Paris. Le lancement se fera donc à l’issue de la cérémonie de clôture. Les différents opérateurs ferroviaires actifs sur cette LGV 1 ont adapté les horaires en conséquence. Eurostar informera prochainement ses voyageurs des changements d’horaires intervenus.

Des travaux chaque été jusqu’en 2035 avec interruption du trafic

Les équipes techniques procéderont en 18 jours et 18 nuits au renouvellement complet des composants d’une des deux voies. Soit un tronçon de 17,6km. Ce qui se traduira par la pose de 35,2km de nouveaux rails, environ 30.000 nouvelles traverses et quelque 5500 tonnes de ballast.

Selon Infrabel, les travaux de rénovation de la LGV 1 « Bruxelles-frontière française » se poursuivront ainsi jusqu’en 2035. Cela impliquera jusqu’à cette date des coupures planifiées du trafic chaque été. Avec en moyenne, une quinzaine de jours par an.

 

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Le palmarès des ASQ Awards vient d'être dévoilé par ACI (Airports Council International), sacrant les meilleurs aéroports de par le monde. En Europe, Rome et Barcelone sont en tête.

Airports Council International (ACI) et Amadeus ont rendu leur verdict, sacrant dans chaque région – et selon différentes catégories de trafic – les meilleurs aéroports de la planète. Parmi les “gros porteurs” du Vieux continent (plus de 40 millions de voyageurs par an), Rome-Fiumicino et Barcelone-El Prat tirent leur épingle du jeu. Quant aux plateformes plus modestes (entre 25 et 40 millions), on retrouve en tête Copenhague, Zurich, Milan Malpensa et enfin Palma de Majorque.

Sans surprise, le palmarès asiatique sacre une nouvelle fois Singapour. L’aéroport de Changi cohabite avec Séoul, Mumbai, Guangzhou, Delhi et Shenzhen.

L’Amérique du Nord est dominée par Dallas, Atlanta et Toronto, tandis que le hub de Mascate est sacré au Moyen-Orient. A noter également le coop double du Maroc, qui domine le classement africain avec Casablanca et Marrakech.

Le classement annuel ASQ (Airport Service Quality), est publié par ACI depuis 2006, et s’appuie notamment sur un partenariat avec Amadeus.

 

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Paris CDG célèbre son 50ème anniversaire. Une formidable exposition à la Cité de l'Architecture évoque son architecte Paul Andreu et l'histoire de ce monument du transport aérien mondial.

C’est une belle exposition sur l’architecte en chef d’Aéroports de Paris, Paul Andreu que présente à Paris la Cité de l’Architecture jusqu’au 2 juin 2024. La rétrospective retrace toute la carrière et l’œuvre de cet ingénieur, devenu architecte au service exclusif d’Aéroports de Paris. Et dont la première œuvre fut la conception d’une aérogare de 6 millions de passagers sur le site aéroportuaire de Paris Nord, futur Roissy CDG. C’était en 1967. Paul Andreu n’avait alors que 29 ans.

En parcourant l’exposition, on comprend la philosophie de l’architecte, philosophie appliquée dans son intégralité dans l’aérogare 1. « Chaque fois que je pense un projet, je ne crée pas une boîte pour y organiser du mouvement, mais je conçois les murs en fonction du mouvement que les gens effectueront à l’intérieur » confiait Paul Andreu.

Un passage vers le ciel

 

Faire passer le voyageur du sous-sol au ciel. Une interprétation quasi-métaphysique pour décrire un passager se dirigeant de l’obscurité à la lumière. Inspiré dans ces concepts par les architectures de Niemeyer, de Le Corbusier ou encore de Saarinen, Paul Andreu va emmener son passager vers le ciel. Le corps central de CDG1 sera ce puit de lumière avec ses tubes permettant d’atteindre le ciel, domaine réservé aux avions.

L’aérogare 1 reflète ainsi l’esprit des années 60 et 70, une époque où prendre un avion relevait encore de l’exceptionnel. Les sièges en alvéole, les tubes transparents au design très « spatial », les éléments de couleur ou encore la police graphique des panneaux d’information : tout a été conçu pour inviter à ce passage d’une dimension à une autre. Quant aux satellites où stationnent les avions, ils s’apparentent à des pétales autour d’un pistil, en l’occurrence le corps central de l’aérogare.

CDG1 exprime donc avec force la philosophie de Paul Andreu. On retrouve d’ailleurs cette même idée du passage d’un état à l’autre dans les aérogares de CDG2. Puis plus tard dans les aéroports d’Abou Dhabi, du Caire, de Jakarta, de Dar-Es-Salaam, de Nice et de Bordeaux.

CDG 1, un modèle unique d’aérogare

Pourtant CDG1 restera un modèle unique dans l’histoire de l’architecture aéroportuaire. En fait, l’aérogare se révélera à l’usage compliquée pour les usagers – notamment pour les compagnies aériennes. Les passagers n’arrivent pas à se repérer dans le coeur de l’aérogare, affublé du surnom de « camembert ». Et les parcours sont longs, d’un satellite l’autre… surtout en cas de correspondance !

Impossible également d’agrandir l’aérogare car elle demeure totalement fermée sur elle-même. L’architecte n’aura pas pris en compte les futurs changements du transport aérien. Dès le début des années 80, apparaissent les hubs, ces plaques tournantes qui réclament des transferts rapides d’un avion à l’autre.

Il aura fallu attendre le COVID pour qu’ADP lance finalement une rénovation à grande échelle de l’aérogare. L’autorité aéroportuaire a ainsi construit un bâtiment de jonction entre les satellites 1 et 3. Ouvert fin 2022, il offre aux passagers 36.000 m² supplémentaires et surtout des possibilités de correspondance plus aisées. Ce fut d’ailleurs l’un des derniers projets auquel collabora Paul Andreu, disparu en 2018. CDG1 reste donc ce merveilleux monument, reflet d’une utopie du transport aérien dans les années 70…

De son côté, La Poste émet un timbre, aux côtés du Groupe ADPà l’occasion des 50 ans de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle. Il est officiellement mis en vente le 18 mars.

L’exposition Paul Andreu est visible à la Cité de l’Architecture jusqu’au 2 juin. En parallèle est présenté du 27 mars au 1er juillet un accrochage de photos et documents sur les aéroports, symboles de modernité dans la galerie d’architecture moderne et contemporaine de la Cité.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

 

Les tarifs PRO et PRO Liberté permettent la flexibilité.

Nous vous invitions à télécharger les pièces jointes pour prendre connaissance des tutoriels pour l'échange ou l'annulation d'un billet depuis l'application SNCF TGV INOUI PRO. Dans le cas d'une annulation, nous vous remercions de contacter votre agence UVET France habituelle, après la transaction effectuée sur l'application.

 

Source des documents : Feria.SNCF.com

Le syndicat ver.di a annoncé une grève du personnel de sécurité dans plusieurs aéroports allemands (Berlin, Cologne/Bonn, Hambourg, Hanovre, Stuttgart et Karlsruhe/Baden Baden) pour le jeudi 14 mars 2024. Par ailleurs, les employés du secteur de la sécurité aérienne de l’aéroport de Hanovre on annoncé un préavis de grève le vendredi 15 mars 2024 (de 00h00 à 12h00 CET).

Les contrôles de sécurité dans les zones de transit seront fermés. L’accès aux portes d’embarquement ne sera donc pas possible.

Nous demandons à tous les voyageurs ayant un vol le 14 ou 15 mars au départ de l’un des aéroports mentionnés ci-dessus, de ne pas se présenter à l’aéroport concerné.

Les voyageurs qui ne pourront pas rejoindre leur vol en raison de la grève du syndicat ver.di sont actuellement réservés sur d’autres vols par nos soins. Les clients dont la réservation a déjà été traitée recevront des informations sur l’annulation de leur vol par e-mail ou via l’application (à condition que leurs coordonnées soient renseignées dans le dossier de réservation).

En raison de la grève, des perturbations et des annulations de vols sont à prévoir.

Lufthansa regrette les désagréments occasionnés aux passagers et fera tout son possible pour en minimiser l'impact.

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Ils ont apporté 33,3 milliards de dollars aux caisses des compagnies aériennes en 2023. "Ils" ce sont les bagages en cabine ou en soute, qui sont de plus en plus taxés...

IdeaWorksCompany, un cabinet de conseil qui analyse les recettes annexes des compagnies aériennes, et CarTrawler, fournisseur mondial B2B de solutions de location de voitures et de mobilité pour l’industrie du voyage, ont dans une étude récente estimé que les recettes annexes des compagnies aériennes avaient atteint 117,9 milliards de dollars dans le monde en 2023.

Recettes records pour les bagages

 

Cette estimation mondiale de CarTrawler estime notamment que les seuls forfaits bagages ont généré 33,3 milliards de dollars. L’analyse a porté sur une liste de 122 transporteurs aériens. Ces 33 milliards se répartissent entre les bagages enregistrés en soute, les frais supplémentaires pour les bagages lourds et extra-larges, et les frais d’enregistrement des bagages de cabines les plus volumineux.Commentant ces résultats, Aileen McCormack, Chief Commercial Officer chez CarTrawler, a déclaré : « L’étude CarTrawler Global Estimate of Baggage Fee Revenue met en évidence les changements de paragdime pour les sources de recettes des compagnies aériennes. Autrefois, les forfaits bagages étaient la principale source de recettes supplémentaires. Aujourd’hui, les forfaits sont à part égale avec les revenus des sièges assignés. Ce qui reflète l’évolution des comportements des consommateurs », analyse-t’il.

Les recettes bagages ont, en effet, atteint un record absolu l’an passé, dépassant les recettes bagages de l’année 2019. Ces dernières s’établissaient alors à 29,2 milliards de dollars.

Les frais pour le premier bagage enregistré sont devenus une source régulière de revenus pour les compagnies aériennes en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique latine. Les passagers doivent désormais payer pour leur bagage enregistré sur les tarifs économiques de base.

L’Asie et l’Afrique échappent – pour le moment – à ce phénomène dans leur grande majorité. Sur les compagnies low-cost, les frais de bagages sont généralement facturés à tous les passagers.

Les redevances pour les bagages enregistrés sont d’abord apparus comme une nécessité économique pour les compagnies aériennes traditionnelles suite à la flambée des prix du carburant lors du choc pétrolier en 2007 et 2008. Aux Etats-Unis par exemple, les compagnies aériennes ont d’abord décidé de n’offrir plus qu’un seul bagage en franchise au lieu de deux. Puis de facturer tout bagage enregistré. Cette solution a été adoptée par presque toutes les compagnies aérienne –Southwest excepté.

Le bagage en cabine, nouvelle source de revenus

Les consommateurs ont réagi à l’imposition de frais sur les bagages en soute en voulant transporter plus de bagages en cabine. Avec l’idée d’éviter des frais supplémentaires.

La réponse ne s’est pas faite attendre. Les compagnies aériennes ont lancé des mesures de plus en plus restrictives sur les bagages en cabine depuis une décennie. De nombreux transporteurs limitent les bagages à main à 7 kg et autorisent un article personnel supplémentaire tel qu’un sac à main ou un sac de voyage qui peut se glisser sous le siège.

Une formule efficace qu’adoptent aussi les transporteurs réguliers en offrant un tarif aérien sans bagage. En durcissant les conditions de base, beaucoup de transporteurs espèrent que les passagers finiront par prendre un tarif plus onéreux, intégrant une option bagage.

Les passagers vont d’ailleurs continuer de payer de plus en plus pour leurs bagages. Le coût à l’unité continue d’augmenter aussi bien en soute qu’à bord. United vient par exemple d’augmenter de 5$ ses frais de bagages fin février. Sans parler des coûts exorbitants souvent appliqués à tout bagage supplémentaire. Seul espoir au moins pour les passagers européens. Une législation de l’UE pourrait mettre un terme à la taxation de certains bagages en cabine. Affaire à suivre.

Le baromètre de l'hôtellerie d'affaires présenté par CDS Groupe montre une croissance généralisée en Europe en 2023, l'Allemagne étant en retrait de cette dynamique. En attendant 2024 et l'effet JO à Paris, un casse-tête pour les travel managers.

Paris et Londres en tête : les traditionnelles locomotives de l’hôtellerie européenne ont retrouvé tout leur pouvoir d’attraction auprès des voyageurs, qu’ils soient touristes de passage ou professionnels en déplacement. Dans ces deux villes, comme d’ailleurs un peu partout à travers la France et l’Europe, la conjonction des deux clientèles tire vers le haut la fréquentation des hôtels identifiés comme affaires par CDS Groupe pour son 3e baromètre de l’hôtellerie d’affaires, réalisé en partenariat avec MKG Consulting. C’est-à-dire des établissements identifiés par les deux partenaires pour avoir un mix de clients corporate et loisirs.

Si l’occupation des hôtels business frôle ou dépasse les 80% dans les capitales britannique et française, elle est aussi en nette progression à Amsterdam, Barcelone et Lisbonne, la fréquentation moyenne dépassant dans toutes ses métropoles les 75% sur l’année 2023. Londres Heathrow, Paris CDG, Amsterdam Schiphol, Madrid Barajas : les grandes portes d’entrée de toutes ces villes profitent pleinement de cette tendance.

Le Voyage d'Affaires, acteur des bons résultats de l'hôtellerie

Cette progression des taux d’occupation se voit aussi, mais à un degré moindre, en Allemagne. Dépendantes des foires et salons, pénalisées par une économie en berne et une attractivité touristique moins élevée, les villes allemandes ne bénéficient pas de la même dynamique. Bien moins par exemple que les métropoles françaises comme Bordeaux, Lyon, Marseille, Nice ou Strasbourg qui affichent pour la plupart des taux d’occupation supérieurs à 70%, tandis qu’à part Berlin et Munich, la fréquentation tourne autour des 60% outre Rhin.

En conséquence de quoi, la hausse des tarifs est moins élevée en Allemagne qu’ailleurs en Europe, voire quasi nulle à Francfort et Munich. Car c’est aussi l’autre enseignement du baromètre : la croissance tarifaire s’est poursuivie en 2023, poussée autant par des coûts plus élevés du côté des hôteliers que portée par l’effet d’entraînement du tourisme de loisirs. « Le dynamisme de la clientèle loisirs affecte la disponibilité des chambres et se répercute inévitablement sur les prix corporate« , note l’étude de CDS Groupe.

Les villes allemandes mises à part, la hausse du prix moyen corporate, petit déjeuner compris, est sensible dans la plupart des grandes métropoles, s’établissant dans une fourchette comprise entre 8% et 15%. En ce qui concerne la France, le prix moyen de la nuitée corporate, de 130€, a augmenté de 8 % en 2023, contre +19 % en 2022. Si le rythme de progression tend à se ralentir, les entreprises devraient encore ressentir cette pression tarifaire en 2024, en tout cas en France avec les Jeux Olympiques de Paris à l’été.

Les JO, casse-tête pour les travel managers

« Si les hôteliers s’en réjouissent, les voyageurs d’affaires pourraient en pâtir« , souligne l’étude, pour laquelle l’effet JO se présente comme la quadrature du cercle pour les travel managers, entre consignes de télétravail, éventuels reports des déplacements en juillet en juin et à l’automne, des périodes habituellement déjà très chargées.

Embouteillage en vue ? Risque de prix en explosion ? Selon Ziad Minkara, PDG de CDS Groupe, « 2024 devrait se présenter comme scindée en deux pour ce qui concerne les prix hôteliers corporate, avec une légère inflation en voie de stabilisation (2-3 %) au premier semestre et un deuxième semestre plus incertain qui dépendra des négociations tarifaires lancées par les entreprises au 1er semestre« .

Selon CDS Groupe, la croissance des prix corporate devrait se situer autour de 5% à 6 % en France en 2024, « mais avec de forts contrastes locaux« . Un sujet sensible que le spécialiste de la réservation hôtelière d’affaires va observer étroitement en ajoutant à son observatoire mensuel une étude dédiée à l’évolution des taux de réservations durant la période olympique.

Source www.voyages-d-affaires.com

La grève actuelle place LUFTHANSA devant des défis considérables. En raison du grand nombre d’annulations de vols et des possibilités limitées de changements de réservations, les compagnies de Lufthansa Group ne seront pas en mesure de proposer des solutions pour tous les passagers.

Annulations des vols les 6 et 7 mars 2024 :

Pour traiter ces annulations de vols à court terme, Lufthansa utilise l’outil OPR qui, dans de nombreux cas, procède au changement automatique de réservation sur une compagnie alternative. Nombre de ces alternatives de vols ont été également annulées en raison de la grève supplémentaire du personnel de sécurité.

Annulations des vols les 8 et 9 mars 2024 :

Les annulations de vols de ces derniers jours ont été effectuées selon le principe du long terme. Cela signifie que dans ces conditions, le statut du vol s'affiche en annulation dans le PNR mais qu’aucune nouvelle réservation automatique n’a été effectuée.

Grève du personnel de sécurité aux aéroports de Francfort et Hambourg le 7 mars 2024

À l’aéroport de Francfort, les postes de contrôle de sécurité en dehors de la zone de transit seront fermés. L’accès à la zone de départ ne sera donc pas possible. Les passagers débutant leur voyage à Francfort ne pourront donc pas rejoindre leur vol.

Les procédures de transfert pour les passagers en correspondance dans la zone de transit resteront largement possibles. Les passagers en transit ne doivent en aucun cas quitter la zone de transit de Francfort, sous peine de ne plus pouvoir revenir dans cette zone ni à la porte d’embarquement.

Aucun départ ne sera possible jeudi 7 mars 2024, depuis l’aéroport d’Hambourg

Les compagnies de Lufthansa Group offrent aux voyageurs réservés sur des vols à destination et en provenance d’Allemagne, des possibilités élargies de changement de réservation ou de remboursement sans frais de leurs billets.

Soyez assurés que les équipes des compagnies de Lufthansa Group mettent tout en œuvre pour vous apporter le meilleur accompagnement possible. Par ailleurs, nous vous remercions de votre compréhension, en raison des temps d’attente plus longs dans nos services d’assistance.

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Source de galères à répétition pour les voyageurs, la ligne Paris-Clermont va voir la mise en place par la SNCF d'un vaste plan d'actions.

Mieux qu’un exemple des problèmes récurrents rencontrés par les voyageurs préférant le train à l’avion entre Paris et Clermont Ferrand. Deux jours à peine après l’annonce d’un vaste plan d’amélioration pour cette ligne, l’Intercités partant de la capitale en fin de journée est arrivé à destination en Auvergne au milieu de la nuit, avec plus de trois heures de retard. En raison, un nouveau dysfonctionnement entraînant un changement de train à Nevers pour les 247 passagers. Pour autant, ceux-ci pourraient s’estimer presque chanceux par rapport aux 700 voyageurs ayant pris le même train le le 19 janvier dernier. Plus malchanceux, ceux-ci se sont retrouvés bloqués plus de deux heures en rase campagne, dans le noir et sans chauffage, en raison d’une panne électrique sur la locomotive. Partis de Paris à 18h57, ils sont arrivés à Clermont-Ferrand au petit matin après 11h de galère pour un parcours qui se fait en temps normal autour de 3h30.

L’incident de trop sans doute pour l’Etat. Le 23 février dernier, la direction de la SNCF, Jean-Pierre Farandou en tête, ont accompagné les ministres en charge de la transition écologique et des transports, Christophe Béchu et Patrice Vergriete, dans la capitale auvergnate pour présenter un plan d’actions en vue d’éviter ces dysfonctionnements à répétition. «Je veux leur rendre compte, ainsi qu’aux élus locaux et aux clients voyageurs, de la pleine mobilisation des équipes de la SNCF», a déclaré à cette occasion le PDG de SNCF. «Je suis déterminé à améliorer la situation de la ligne Paris-Clermont» .

 

Locomotive de réserve en guise de voiture-balai

En parallèle, la compagnie explique s’atteler à une meilleure gestion des incidents, notamment à travers la réduction du temps d’intervention des équipes et le positionnement, dès mars, d’une locomotive électrique de réserve à Nevers. Une sorte de voiture-balai qui circulera en soirée entre Montargis et Nevers afin de pouvoir, le cas échéant, porter secours aux derniers trains, ce dispositif devant voir son périmètre d’actions étendu à partir de septembre. La SNCF a également conclu une convention d’assistance avec la Préfecture de la Nièvre qui prendra effet dès mars et facilitera l’intervention des services de la Sécurité Civile ou de la Croix Rouge.

Mais le pire étant toujours à prévoir, en plus des remboursements offerts aux voyageurs, la SNCF assure qu’un approvisionnement en bouteilles d’eau et en coffrets repas sera systématique dès qu’un retard dépasse 2h, tout en mettant des moyens supplémentaires dédiés à l’information voyageur. De quoi faire le gros dos en attendant l’arrivée des nouvelles rames automotrices qui remplaceront progressivement les trains Corail d’ici à 2026 sur les lignes Paris-Clermont-Ferrand et Paris-Limoges-Toulouse. Une modernisation du réseau dans laquelle l’État investit 800 millions d’euros dans le cadre du projet « Oxygène ». Une bouffée d’air frais sans doute pour les voyageurs d’affaires d’une grande société française spécialisée dans les pneumatiques.

Source : www.voyages-d-affaires.com

L'installation d'une nouvelle signalisation sur la ligne à grande vitesse va profondément modifier la circulation des TGV circulant entre Paris et Lyon mais aussi sur tout l'axe Sud-Est, comme entre les régions hexagonales et à l'international.

Dans ses projets prioritaires pour 2024, le groupe SNCF a annoncé son intention d’engager 11,7 milliards d’euros d’investissements, dont une partie consacrée à la rénovation et la modernisation ferroviaire. Parmi ces chantiers programmés, l’installation par SNCF Réseaux d’une nouvelle signalisation sur la ligne à grande vitesse (LGV) Paris-Lyon qui entraînera l’arrêt de la circulation des trains à grande vitesse du 9 au 12 novembre. L’ensemble des dessertes sur l’axe Sud-Est jusqu’à l’international en sera profondément modifié durant cette période pour la SNCF, mais également pour ses concurrents, Trenitalia et la Renfe. Si la période choisie englobe le pont du 11 novembre, les navetteurs comme les voyageurs d’affaires ou les participants à un séminaire ou une formation autour de ces dates devront tenir compte des ces importantes modifications.

Concrètement, la LGV sera coupée du vendredi 8 novembre 23h au mercredi 13 novembre à 4h du matin. SNCF Voyageurs a ainsi annoncé que seulement 30% de son offre TGV (Inoui et Ouigo) sera assurée, impactant ainsi les dessertes de Paris vers l’Occitanie (Montpellier), les régions Provence Alpes Côte d’Azur (Marseille, Toulon…), Auvergne-Rhône-Alpes (Annecy, Chambéry, Grenoble…), Bourgogne Franche-Comté (Dijon) et Grand Est (Strasbourg, Metz…).

Ainsi, les TGV seront contraints d’emprunter la ligne classique, ce qui rallongera « sensiblement » les temps de parcours. Ceux-ci passeront par exemple à 4h30 pour effectuer Paris-Lyon (contre 2h), Paris-Marseille en 7h20 (au lieu de 3h) et Paris-Grenoble en 6h (pour 3h habituellement). Ce passage des trains sur la ligne classique fait que les gares TGV de la LGV ne seront évidemment pas desservies telles que Le Creusot-Montceau-Montchanin TGV, Mâcon-Loché TGV, Lyon Saint-Exupéry TGV, Valence TGV, et Nîmes-Pont-du-Gard.

Temps de parcours plus que doublés, liaisons internationales impactées

Par ailleurs, en PACA, les TGV auront Marseille et Toulon comme terminus et l’ensemble des gares entre les Arcs Draguignan et Nice ne seront pas desservies. Pour l’Occitanie, les trains s’arrêteront à Montpellier, ne circulant plus au-delà jusqu’à Toulouse et Perpignan. De même, des liaisons entre le Sud-Est et les autres régions de l’Hexagone seront suspendues durant ces quatre jours dont Lyon-Montpellier/Nantes, Lyon/Rennes, Marseille/Le Havre et Marseille-Lille. L’ensemble de ces changements font aussi que plusieurs gares TGV du réseau à grande vitesse ne seront plus desservies depuis et vers le Sud-Est : Lille Europe, Haute-Picardie TGV, Roissy Aéroport Charles de Gaulle 2 TGV, Marne-la-Vallée Chessy et Massy TGV.

Les lignes internationales ne sont pas épargnées. Ainsi les TGV reliant l’Espagne, l’Italie et la Belgique seront suspendus dont le Paris-Barcelone, le Paris-Milan et le Marseille-Bruxelles. Les TGV Lyria reliant la France et la Suisse continueront, eux, à circuler mais avec un nombre réduit de trains sur Paris-Genève. Les liaisons vers l’Allemagne et le Luxembourg seront également impactées, notamment Luxembourg-Marseille et Mannheim-Marseille.

Les compagnies concurrentes adapteront leur plan de transport

La concurrence fera aussi les frais de ces travaux qui doivent toutefois permettre de renforcer la circulation sur l’axe ferroviaire le plus chargé de France. Ainsi Trenitalia signale que ses Frecciarossa continueront à circuler, mais en utilisant la ligne classique, ce qui rallongera les temps de trajet dans les mêmes durées que les TGV de la SNCF. Même chose pour les trains Paris-Milan si toutefois la traversée des Alpes, actuellement en travaux dans la vallée de la Maurienne, est à nouveau possible d’ici là. La Renfe sera elle impactée pour ses dessertes entre Lyon et Barcelone. La compagnie ferroviaire espagnole n’a toutefois pas encore présenté son plan de transport de substitution pour ces quatre jours de fermeture de la LGV Sud-Est.

Source www.voyages-d-affaires.com

Les législateurs espagnols ont validé l'interdiction des vols sur des lignes domestiques où le train offre une alternative en moins de deux heures 30. Mais l'effet sera très limité...

L’Espagne souhaite interdire certains vols intérieurs de courte durée dans le cadre de son plan de réduction des émissions carbone. La résolution vient d’être adoptée par les deux partis politiques au sein de la coalition gouvernementale, les socialistes du PSOE et la gauche radicale Sumar. Elle devra cependant encore passée par diverses commissions et le Sénat espagnol avant d’entrer en vigueur.

Le texte prévoit que les vols où existe une alternative ferroviaire de moins de 2h30 ne seront plus autorisés. Cependant, l’interdiction ne s’appliquera pas « dans les cas de connexion avec des aéroports pivots reliés à des itinéraires internationaux ». Ce qui de fait exclut Madrid et probablement Barcelone -histoire de respecter le délicat équilibre entre Catalogne et pouvoir central.

L‘effet risque donc d’être quasi-nul sur le réseau. A l’image de ce qui s’est passé en France, où seules trois liaisons aériennes ont disparu après l’adoption d’une mesure d’interdiction similaire.

Des restrictions moins ambitieuses qu’à l’origine

On constate que la future interdiction a été amputée par rapport au projet initial de Sumar. Ce dernier souhaitait initialement interdire les vols domestiques en concurrence avec des liaisons ferroviaires en moins de 4 heures.

Dans la première mouture, la mesure aurait permis d’économiser jusqu’à 300 000 tonnes de CO2 et 50 000 vols par an. C’est l’analyse d’une étude publiée l’année dernière par Ecologistas en Acción. L’étude avait alors identifié 11 liaisons aériennes. Ce qui aurait réduit les émissions de CO2 de l’Espagne de près de 10 %.

L’opposition au gouvernement explique pour sa part que le nouveau texte n’entraînerait qu’une réduction de 0,06 % des émissions selon les données du Collège des ingénieurs aéronautiques (COIAE). Mais qu’elle endommagerait en revanche la réputation de l’aviation espagnole…

Les liaisons qui pourraient être affectées par la future loi n’ont pas encore été identifiées. Mais cela risque d’être compliqué à trouver en excluant Madrid et probablement Barcelone.

Les deux partis politiques – PSOE et Sumar – cherchent également à analyser l’impact potentiel d’une restriction de l’utilisation des jets privés et d’une directive de l’Union européenne sur la taxation des produits énergétiques, dont le kérosène.

Source : www.voyages-d-affaires.com

 

L'Observatoire économique du tourisme du mois de janvier 2024 révèlent des chiffres impressionnants pour l'hôtellerie parisienne durant les JO. Les chambres disponibles sont déjà rares...

Nous ne sommes qu'à quatre mois et demi de l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, et, déjà, les tendances de réservations observées dans la capitale montrent un taux de réservation proche des 70% sur la période juillet-août. Pour les jeux paralympiques qui ont lieu du 27 août au 9 septembre, les taux de réservations des hôteliers parisiens s’élèvent à 30%.

Et on peut même, pour considérer ces statistiques, y ajouter une trentaine de jours avant les premières épreuves car elles ont été relevées au mois de janvier pour le compte de l'Observatoire C'est ce que révèle l'Observatoire économique du tourisme, dû à MKG Consulting et l'Alliance France Tourisme. Pour mesurer l'impressionnante performance, il suffit de comparer : en janvier 23, ce même taux, à la même période, pour la même ville était inférieur de... 50 points, s'établissant à 20%.

Si l'effet "paralympique" est moins spectaculaire, il est loin d'être négligeable : les 30% sont de 18 points supérieurs observé l'an dernier pour la période fin août-début septembre. Dans les autres villes accueillant des épreuves (Marseille et Lille), les taux de réservations très flatteurs à 40%.

Source : deplacementspros.com

Le syndicat ver.di a appelé le personnel au sol de Lufthansa à entamer une grève du jeudi 7 mars 2024 à 4 heures du matin (CET) au samedi 9 mars 2024 à 7 h 10 (CET). En conséquence, Lufthansa s’attend à d’importantes perturbations sur le programme des vols.

Les compagnies de Lufthansa Group offrent aux voyageurs ayant une réservation sur les vols à destination et en provenance d’Allemagne des options étendues pour modifier leur réservation ou pour obtenir le remboursement des billets sans frais (TWP 2403).

Règles Lufthansa Group pour les changements de réservation, réémission et remboursement des vols annulés

Les clients concernés par une annulation de vol peuvent effectuer une nouvelle réservation sans frais ou demander le remboursement du billet.

Veuillez noter que la politique de changement d’horaire/irrégularité s’applique uniquement aux vols ayant déjà été annulés ou qui ont fait l’objet d’un changement automatique de réservartion par la compagnie.

Lufthansa regrette les désagréments occasionnés aux passagers et fera tout son possible pour en minimiser l'impact.

Source : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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