ALLAIN FABIENNE

ALLAIN FABIENNE

Avec une capacité en hausse de 10% à l'été 2025, Brussels Airlines proposera l'offre la plus importante de son histoire vers l'Afrique subsaharienne.

Brussels Airlines a dévoilé son réseau long-courrier pour l’été 2025, avec une capacité record vers l’Afrique subsaharienne. La compagnie belge assurera 56 vols hebdomadaires vers la région, soit une augmentation de 10 % par rapport à l’été 2024. La capacité de l’avion long-courrier supplémentaire – portant à 11 le total – sera déployée essentiellement à destination de l’Afrique subsaharienne. Et ce, outre les deux lignes du réseau nord-atlantique reliant Bruxelles à New York-JFK et Washington-Dulles International.

L’arrivée du 11ème avion long-courrier Airbus A330 en juin 2025 se traduira par une densification des fréquences de Brussels Airlines sur l’Afrique. Selon le planning du transporteur belge, les lignes vers Nairobi (Kenya) et Accra (Ghana) passeront à des rotations quotidiennes. Banjul (Gambie), Freetown (Sierra Leone) et Conakry (Guinée) bénéficieront de fréquences supplémentaires. Dakar (Sénégal) et Abidjan (Côte d’Ivoire) seront desservis par davantage de vols directs au lieu de vols triangulaires.

 

 

La principale nouveauté du programme Afrique 2025 sera une liaison sans escale quotidienne sur Kinshasa en République démocratique du Congo. Cette ligne directe remplacera à partir de mars 2025 les cinq vols hebdomadaires sans escale déjà existants. Ainsi que les deux vols hebdomadaires via Luanda en Angola.

De fait, Brussels Airlines cessera la desserte de la capitale angolaise, s’appuyant sur le réseau de sa maison mère, Lufthansa. La compagnie allemande offre trois fréquences hebdomadaires depuis Francfort en A330.

Avec ce vol quotidien sans escale, Brussels Airlines espère réduire les risques de retards ou d’autres soucis opérationnels. Tout en offrant un vol plus durable avec l’arrêt de son escale. « Kinshasa est sans aucun doute notre liaison phare. L’histoire de l’aviation en Belgique a commencé il y a près de 100 ans avec l’ambition de relier Kinshasa et Bruxelles par voie aérienne. Le fait de passer à une liaison quotidienne directe démontre notre engagement fort envers la République démocratique du Congo », explique Dorothea von Boxberg, CEO, Brussels Airlines

Le transporteur belge va continuer d’étendre son réseau long-courrier dans les prochaines années avec la livraison de deux autres appareils. On pense au Canada et probablement une destination sur le Moyen-Orient ou l’Asie. D’ici 2027, Brussels Airlines renouvellera également son produit cabine sur ses trois classes de service (affaires, Economy Premium et Economie).

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

L'Association IATA se plaint que les ruptures des chaînes d'approvisionnement des constructeurs aéronautiques et filiales posent de plus en plus un challenge écologique et économique aux compagnies.

2025 pourrait être moins « glamour » que prévue pour les compagnies aériennes. C’est la prédiction qu’avance désormais l’Association internationale du transport aérien (IATA). L’association, par la voix de son virulent directeur général Willie Walsh, s’attend en effet à ce que de graves problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement affectent de nouveau les performances des compagnies aériennes en 2025. Dans sa boule de cristal, IATA voit des augmentations des coûts d’exploitation et une limitation de la croissance.

IATA n’a pas totalement tort. Les délais dans la chaîne d’approvisionnement des avionneurs signifie en effet moins d’avions livrés ainsi que moins d’efficacité écologique et donc économique avec la prolongation de vie d’avions plus gourmands en carburant. IATA quantifie précisément ce surcoût dans un rapport.

L’âge moyen de la flotte mondiale a atteint cette année le chiffre record de 14,8 ans, ce qui représente une augmentation significative par rapport à la moyenne de 13,6 ans pour la période 1990-2024. Les livraisons d’avions ont fortement chuté depuis le pic de 1 813 appareils atteint en 2018. L’estimation des livraisons pour 2024 est de 1 254 avions, soit un déficit de 30 % par rapport aux prévisions de début d’année. En 2025, les livraisons devraient s’élever à 1 802, bien en-deçà des prévisions antérieures. Elles s’établissaient en effet à 2 293 livraisons. De nouvelles révisions à la baisse en 2025 sont largement considérées comme possibles.

Commandes moindres et plus d’avions à l’arrêt

Le carnet de commandes (nombre cumulé de commandes non honorées) pour les nouveaux avions a atteint 17 000 appareils. Ce qui, selon IATA, constitue un record. Au rythme actuel des livraisons, il faudrait 14 ans pour le remplir. C’est plus du double du retard moyen pour la période 2013-2019. Avant le Covid, le délai de livraison s’élevait en effet à 6 ans. Toutefois, le temps d’attente devrait se raccourcir à mesure que les taux de livraison augmentent.

Le nombre d’avions « parqués » représente 14 % de la flotte totale. Soit 5 000 appareils sur les 35 166 aéronefs recensés en décembre 2024. Bien que la situation se soit améliorée récemment, le nombre d’avions en stationnement reste supérieur de 4 points aux niveaux antérieurs à la pandémie. Ce qui représente environ 1 600 avions. Plus inquiétant, près de 44% des avions à l’arrêt le sont pour des moteurs défectueux. Ce qui représente plus de 700 appareils. IATA estime que la situation va perdurer en 2025.

 

« Les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement frustrent toutes les compagnies aériennes, avec un triple impact sur les recettes, les coûts et les performances environnementales. Les coefficients de remplissage atteignent des niveaux record et il ne fait aucun doute que si nous avions plus d’avions, ils pourraient être déployés de manière rentable, ce qui compromet nos recettes. Pendant ce temps, la flotte vieillissante que les compagnies aériennes utilisent a des coûts de maintenance plus élevés. Elle consomme plus de carburant et nécessite plus de capital pour la maintenir en état de vol. De plus, les tarifs de leasing d’avion ont augmenté plus rapidement que les taux d’intérêt. Et celà, en raison d’une concurrence entre les compagnies aériennes pour augmenter leurs capacités », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.

Un transport aérien plus lent à se décarboner

IATA note que cette situation génère en partie deux évolutions négatives.

  • L’efficience environnementale reste inchangée entre 2023 et 2024, à 0,23 litre/100 tonnes-kilomètres disponibles (ATK). Il s’agit d’un recul par rapport à la tendance à long terme (1990-2019) d’améliorations annuelles de l’efficacité énergétique de l’ordre de 1,5 à 2,0 %.
  • La demande exceptionnelle d’avions loués a poussé les taux de location des avions mono-couloirs (de type Airbus A320 et Boeing 737) à des niveaux de 20%-30% plus élevés qu’en 2019.

« L’ensemble du secteur de l’aviation est uni dans son engagement à atteindre des émissions nettes de carbone nulles d’ici 2050. Les compagnies aériennes doivent supporter le plus gros du fardeau pour réaliser cet objectif. Les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement en sont un bon exemple. Les fabricants laissent ainsi tomber leurs clients. Ce qui a pour effet direct de ralentir les efforts déployés par les compagnies aériennes pour limiter leurs émissions de carbone. Si les constructeurs d’avions et de moteurs pouvaient régler leurs problèmes et tenir leurs promesses, nous aurions une flotte aérienne plus économe en carburant », a déclaré M. Walsh.

Quant aux passagers d’affaires, ils devront voler sur des avions plus anciens, donc plus bruyants. Et, de surcroît, en payer probablement le coût…

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Depuis 30 ans, Eurostar rapproche les personnes grâce aux liaisons à grande vitesse établies entre les plus grandes villes d’Europe. Et depuis le 4 novembre, la marque propose trois nouvelles classes de voyage : Eurostar Standard, Eurostar Plus, Eurostar Premier. Parmi elles, Eurostar Premier, entièrement repensée pour offrir une sensation de liberté inégalée.

Eurostar a également revu son offre pour les voyageurs d'affaires, qui bénéficient maintenant d’une flexibilité et d’un confort absolus.

Trois nouvelles classes de voyage

Eurostar lance trois nouvelles classes de voyage pour présenter une offre unique et uniformisée sur l'ensemble de son réseau.

Eurostar Standard
Voyages rapides et flexibles pour rejoindre les villes les plus incontournables d’Europe.
Eurostar Plus
Plus d'espace, plus de confort et un repas léger* pendant le trajet.
Eurostar Premier
L’expérience signature d’Eurostar conçue pour les voyages professionnels ou personnels.

Bienvenue à bord de l’expérience Eurostar Premier

Sélection unique de vins**, associations audacieuses et saveurs percutantes : les voyageurs peuvent s'attendre à une expérience gustative comme aucune autre.

Créativité, savoir-faire et écoresponsabilité sont au menu de cette collaboration exclusive de chefs, pâtissier·es et sommelier·es avant-gardistes.

À l'origine des plats qui seront servis à bord, Jeremy Chan, un jeune chef britannique. Sa cuisine met à l'honneur des produits de saison, issus de sources locales et écoresponsables.

Pour la carte des desserts, c'est Jessica Préalpato, jeune cheffe pâtissière française qui a été choisie. Nommée World’s Best Pastry Chef en 2019, elle a privilégié les saveurs naturelles sans sucres ajoutés pour réconcilier gourmandise et équilibre.

Côté boisson, c'est Honey Spencer qui régale. Cette sommelière britannique offre aux voyageurs Eurostar une sélection électrique de vins bio et Champagne Fleury Biodynamique.

Une nouvelle offre corporate pour les voyageurs d'affaires

Les entreprises peuvent réserver directement via Eurostar ou par l’intermédiaire d’une agence de voyages. Eurostar propose également une gamme de tarifs corporate pour répondre aux besoins de toute sa clientèle d’affaires.

Pour tous leurs trajets, les voyageurs d'affaires bénéficieront des avantages suivants :

  • Des échanges gratuits illimités de billets Eurostar Premier jusqu’à 48 heures après le départ. (Il suffit de payer la différence de prix).
  • L'échange gratuit et illimité de billets Eurostar Standard et Eurostar Plus jusqu’à 1 heure avant le départ. (Il suffit de payer la différence de prix).
  • Un remboursement intégral des billets Eurostar Premier jusqu’à 48 heures après le départ.
  • Un remboursement intégral des billets Eurostar Standard et Eurostar Plus jusqu’à 7 jours avant le départ, moyennant des frais de 25 €.

Sur tout le réseau Eurostar, les clients d'affaires bénéficient d'une souplesse d'accès à la journée et peuvent emprunter n’importe quel train le jour du départ lorsqu'ils voyagent en Eurostar Premier*.

Sur les routes entre la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne, les voyageurs peuvent empruntez le train avant ou après celui initialement réservé lorsqu'ils voyagent en Eurostar Standard ou en Eurostar Plus***.

Des lounges Eurostar Premier pour une évasion totale

Les lounges réservés aux clients Eurostar Premier ont été rénovés pour garantir un plus grand confort. Chacun d’entre eux a été pensé par des architectes locaux pour refléter l'ambiance de leur ville respective.
Les client.es pourront y profiter d'un moment privilégié dès l’arrivée : cocktails inédits préparés en quelques minutes, presse, canapés confortables, ambiance calme, confort et intimité… tout a été pensé dans les moindres détails pour satisfaire une clientèle d’affaires exigeante.

*Disponible uniquement sur les routes vers et depuis Londres
**L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
***Sous réserve de disponibilité. Le client doit voyager le même jour et sur la même ligne que ceux de sa réservation initiale. Placement ou repas en Eurostar Premier non garantis.

Source : https://www.deplacementspros.com/

 

Les ETA (Electronic Travel Authorization) deviennent la nouvelle norme pour voyager. L'Australie fut la première à lancer cette formalité, suivie par les Etats-Unis, le Canada, ou encore Singapour et bientôt le Royaume-Uni pour les Européens. L'UE est sur les rangs, mais rencontre des difficultés.

C’est devenu la nouvelle norme pour les voyageurs ayant la possibilité de se rendre dans un pays sans visa particulier : l‘Autorisation de Voyage Electronique (Electronic Travel Authorization). Ce formulaire en ligne permet à l’autorité du pays réceptif de stocker des données sur un voyageur, l’ETA remplaçant en quelque sorte la fiche qu’un voyageur devait remplir avant d’entrer dans un pays dans le passé.

L’ETA s’apparente donc à une autorisation d’entrée. Avec la facilité de tout remplir électroniquement depuis chez soi ou son bureau. Et de passer en quelques minutes les frontières à l’arrivée muni généralement d’un QR code généré par l’ETA.

La France en tête des passeports passe-partout

Cette souplesse de formalité est généralement réservée aux voyageurs exemptés de visa. Néanmoins, certains pays – comme par exemple le Cambodge – exigent désormais d’avoir cette autorisation avant l’arrivée sur son sol, visa ou pas, tandis qu’au Kenya comme au Sri Lanka, l’ETA correspond de fait à un visa. Une curiosité néanmoins pour le Mexique : dans les aéroports, les voyageurs français obtiennent bien leur visa – gratuit – à l’arrivée ainsi qu’un Formulaire Migratoire Multiple (FMM) électronique. Généré automatiquement, il devra cependant être imprimé pour tout passage par une frontière terrestre.

Les législations variant grandement d’un pays l’autre, il est donc indispensable de bien regarder quelles sont les règles d’entrée sur le territoire de destination. Les compagnies aériennes envoient généralement des messages rappelant quelles sont les formalités obligatoires. Sur le site du ministère des affaires étrangères et européennes du gouvernement français, une page dédiée aux formalités fournit toutes les mises à jour.

Un modèle qui se multiplie à travers le monde

Jusqu’à présent, les voyageurs d’affaires européens devaient surtout remplir une ETA pour l’Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada) ou pour la zone pacifique (Australie et Nouvelle-Zélande).

L’Australie a été le premier pays au monde à lancer une ETA. Les premiers tests débutèrent en 1996 avec Singapour. La pratique s’est généralisée à partir de 2001. L’Australie applique ainsi deux types d’ETA. Celui pour les ressortissants de l’Union Européenne est le plus simple. Appelé Evisitoril est gratuit et délivré en ligne en généralement 24 heures.

Le modèle australien a été suivi depuis une dizaine d’années par les pays suivants : Cambodge, Canada, Corée, Etats-Unis, Kenya, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Seychelles, Singapour et Sri Lanka. En 2024, la Malaisie et le Cambodge ont rendu obligatoire l’obtention d’une autorisation électronique de voyage pour les voyageurs européens. En 2025, Israël, Royaume-Uni et Thaïlande introduiront à leur tour une ETA pour les visiteurs exemptés de visa ou bénéficiant d’un visa gratuit.

Pour le Royaume-Uni, le programme UK-ETA devient universel dès janvier 2025 après avoir été testé depuis un an avec certains ressortissants du Golfe. Cette formalité concernera 49 pays mais elle se fera graduellement.

Si les citoyens du Canada ou des Etats-Unis devront obtenir une ETA avant leur arrivée dès le 8 janvier, les citoyens de l’Union Européenne sont tranquilles jusqu’au 2 avril. A cette date, ils devront – Irlande exceptée – se munir aussi de la fameuse autorisation. Il en coûtera 10 £, sera délivré en un maximum de temps de trois jours et aura une validité de deux ans. Cependant, tout changement de passeport impliquera une nouvelle demande.

Les déboires de l’ETIAS et de l’EES en Europe

L’Europe travaille également sur l’introduction à la fois d’un visa et d’une autorisation préalable de voyage électroniques. Elle concerne les ressortissants autres que ceux de trente pays européens (26 Etats de l’UE + l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse). En gestation depuis 2016, l’ETIAS devrait faciliter les entrées sur le territoire de l’Europe et sera valable trois ans.

L’autorisation préalable ETIAS se double cependant de l’EES. Il s’agit dans les faits d’un système d’entrée/sortie informatique automatisé, installé pour renforcer les frontières externes européennes. Il remplace en fait le coup de tampon sur le passeport. L’EES compte des données enregistrées dans la base ETIAS, le document de voyage utilisé, ainsi que la date et le lieu d’entrée et de sortie.

Le système servira surtout à mieux contrôler les mouvements migratoires. Il enregistre en effet les ressortissants de pays tiers chaque fois qu’ils franchissent les frontières extérieures des pays européens participant à l’ETIAS. L’EES sera automatique, et ne demandera aucune formalité supplémentaire au voyageur.

Idéaux dans leur conception, les deux programmes se heurtent pourtant depuis le début à des problèmes techniques. Mais aussi parfois aux atermoiements des pays impliqués dans ce système. Aussi l’ETIAS-EES a été repoussé au moins à 5 reprises depuis sa potentielle mise en place en 2021. Non seulement des difficultés techniques impliquant des défaillances des systèmes, mais aussi la protection des données, des problèmes dans la mise en place de l’EES, ont repoussé le lancement.

Prévu en juin 2024, la France a réussi à obtenir un délai supplémentaire avec la tenue des Jeux olympiques. Le lancement avait été alors reporté au 10 novembre. On a appris depuis que ce ne serait pas avant la mi-2025. Il semblerait qu’il continue d’y avoir des incompatibilités entre les systèmes de données de l’ETIAS et de l’EES

Les ETA sont l’avenir du voyageur

Si les ETA sont bien synonymes de simplification des formalités de voyages, le tout digital peut tourner parfois au casse-tête. La semaine dernière, les passagers se rendant aux Etats-Unis depuis l’Europe ne pouvaient produire leur autorisation d’entrée sur le territoire américain à cause d’une panne du système. Panne qui a duré deux heures. Le site ESTA annonçait du reste une maintenance de nouveau le 13 novembre entre 7 heures et 9 heures du matin heure européenne. Coup de chance: peu d’avions partaient pour les Etats-Unis depuis l’Europe à ces heures-là !

L’ETA pour le « voyageur digne de confiance » au Japon

On l’appelle le Trusted Traveler Program au Japon. Lancé en 2020, ce programme est dédié aux voyageurs « dignes de confiance » selon des critères définis par les autorités japonaises. Par « digne de confiance », le Japon considère les ressortissants de pays exemptés de visa venant pour un court séjour. Et qui n’ont jamais commis d’acte illégal ou illicte au Japon, ayant entraîné une amende, injonction ou expulsion du pays.

S’y ajoutent également l’un des critères suivants: -Etre responsable au sein d’une entreprise ou être employé à plein temps dans le cadre d’un déplacement d’affaires.

  • Etre un touriste avec une carte de crédit platinum d’une institution reconnue (Amex ou BNP Paribas par exemple).
  • Etre un membre de famille d’un touriste ou d’un voyageur d’affaires tels qu’identifiés dans les phrases précédentes.
  • Faire partie des citoyens américains membres du Global Entry Program des services de l’immigration et des frontières des Etats-Unis.

Quelle est la récompense, une fois les formalités d’enregistrement au programme accomplies pour le « Trusted Traveler »? La possibilité d’utiliser les passages automatiques de frontières dans tous les aéroports du pays sans tampon pendant une durée de trois ans grâce à une carte délivrée par les autorités. Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle?

 

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

OUVERTURE DES VENTES HIVER 2025

Le 13 novembre, TGV INOUI et INTERCITÉS ouvrent les réservations pour des voyages du 9 janvier au 30 mars 2025. Les destinations européennes et certains TGV INOUI sont quant à eux sont ouverts jusqu’au 4 juillet 2025.


OUVERTURE DES VENTES TGV INOUI À 6 MOIS

Afin de permettre à vos clients de pouvoir réserver leurs billets TGV INOUI le plus en amont possible, SNCF Voyageurs expérimente pour la première fois une ouverture des ventes de billets pour les trajets en TGV INOUI entre Paris-Lyon, Paris-Marseille et Paris-Montpellier pour des circulations valables dans les 6 prochains mois.

Les billets des TGV INOUI des trajets suivants, pour les circulations du 9 janvier au 4 juillet 2025, seront donc disponibles à la vente dès le 13 novembre prochain 

• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Lyon Part-Dieu / Lyon Perrache direct et y compris vers St Etienne Châteaucreux dans les deux sens de circulation
• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Marseille Saint Charles direct y compris vers Nice Ville, Toulon et Hyères dans les deux sens de circulation
• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Montpellier Sud de France / Montpellier Saint Roch direct y compris vers Perpignan dans les deux sens de circulation.

 

TRAVAUX EN GARE DE PARIS-EST

Nous vous informons que des travaux importants auront lieu en gare de Paris-Est entre le 31 janvier et le 3 février 2025, puis entre le 6 et le 9 février 2025Ces travaux rendront l’accès à cette gare impossible pour les TGV INOUI pendant ces périodes.

Modification de l'offre de transport 

Les TGV reliant la gare de Paris-Est au Nord-Est de la France, au Luxembourg, ainsi qu’à l’Allemagne, auront pour origine et destination la gare de Paris-Nord, située à environ 500 mètres de Paris-Est.

Source : www.feria.sncf.com

A l’occasion de la présentation d’une nouvelle étude sur le poids socioéconomique du transport aérien en France, la FNAM a réaffirmé sa volonté de riposter contre la hausse des taxes aériennes annoncées par le gouvernement. Une adoption partielle du texte a été votée à l’Assemblée nationale, limitant son champs d’application. 

Commandée auprès de Deloitte avant les annonces du premier Ministre, Michel Barnier, la FNAM et Air France ont présenté ce matin une étude sur le poids socioéconomique du transport aérien. Selon cette dernière, les aéroports français (172 au total) ont enregistré 4,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023 et employé directement 10 255 personnes. Des résultats qui augmentent si l’on prend en compte l’activité « commerciale » au sein des aéroports. Du côté des compagnies, le chiffre d’affaires s’élève à 18 milliards d’euros, pour 8 milliards d’euros de valeur ajoutée et 56 122 emplois directs. Au total, la filière représenterait près de 570 000 emplois en France et rapporterait 52 milliards d’euros de valeur ajoutée, soit 1,8% du PIB. Selon le cabinet d’étude, la filière du transport aérien en France génère également 12,2 milliards d’euros de recettes fiscales. « Dans ce contexte, nous ne comprenons pas l’objectif de l’Etat de taxer davantage le secteur, puisque cela ne va faire qu’affaiblir notre compétitivité », déclare Pascal de Izaguirre, Président de la FNAM lors d’une conférence de presse. 

Perte de compétitivité et d’investissement en faveur de la décarbonation

La Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers pointe du doigt les récentes annonces du gouvernement et l’adoption partielle à l’Assemblée nationale du renforcement de la taxe de solidarité (TSBA). La FNAM prend pour exemple le modèle allemand qu’elle accuse être responsable du « déclin accéléré du secteur depuis le vote de nouvelles taxes, accélérant le nombre de fermetures de lignes et une perte de connectivité pour le pays ». Une politique de « taxation excessive » que les professionnels de l’aérien ne souhaitent pas voir appliquée en France, le justifiant par une perte de compétitivité et un manque à gagner pour investir dans la décarbonation.

> A lire aussi : Hausse des taxes aériennes : compagnies et aéroports organisent la riposte

Selon la FNAM, ce type de mesure va entrainer un report du trafic passagers dans d’autres aéroports européens. L’organisation professionnelle regrette que ce type de décision soit prise au niveau national et non pas européen ou mondial, afin de mettre sur un pied d’égalité les acteurs du secteur. Concernant l’argument du développement durable, Alexandre Boissy, directeur général adjoint d’Air France-KLM, réplique : « On bride le transport aérien en nous privant de ressources alors qu’on devrait justement nous soutenir dans cette transition pour investir dans la décarbonation. On applique une politique punitive du côté des voyageurs plutôt que responsabilisante et ça ne réglera aucun problème ».

A lire aussi : Edito – Air France-KLM invente la taxe préventive

Un texte partiellement adopté 

Le 8 novembre dernier, l’Assemblée nationale a voté en faveur de la taxation renforcée en posant des limites par rapport au texte initial. En effet, sa durée d’application sera limitée à 1 an et les territoires ultramarins et insulaires comme la Corse, seront protégés. « En limitant à un an cette augmentation de la taxation et en excluant les Outre-mer et la Corse, les députés ont reconnu les risques qu’une telle mesure pouvait faire peser sur la compétitivité des compagnies françaises, qui sont déjà dans une situation économique fragile », a notamment déclaré  Benjamin Smith, directeur général du groupe Air France-KLM, à l’issue du vote des députés. Malgré ces ajustements, la FNAM assure que la mobilisation reste de mise. Pour rappel, la SNPL, elle, appelle à un mouvement de grève national pour le 14 novembre. Un mouvement que la fédération nationale de l’aviation et de ses métiers estime « contre-productif », préférant « privilégier le dialogue ».

 

Source : https://www.deplacementspros.com/

 

Le Syndicat national des pilotes de lignes (SNPL), remonté contre le projet du gouvernement de prélever 1 milliard d’euros supplémentaire par an sur le secteur aérien, dans le cadre de la Taxe de Solidarité sur les Billets d’Avions (TSBA ou Taxe Chirac), appelle tous les pilotes de ligne à se mobiliser le 14 novembre prochain, avec l’ensemble des salariés du secteur de l’aérien, ayant déposé un préavis de grève « dans un premier temps » pour ce jour-là.

Le SNPL et les autres organisations syndicales du secteur aérien ont interpellé le gouvernement pour demander le retrait d’une telle mesure, qu’ils estiment catastrophique pour le secteur aérien français, regrettant qu’il demeure sourd aux mises en garde de l’ensemble des acteurs du secteur, qu’il s’agisse des compagnies aériennes, des aéroports, des organisations patronales et organisations syndicales de tous les salariés.

Source : https://www.deplacementspros.com/

Les syndicats cheminots de la SNCF appellent à une journée de grève le jeudi 21 novembre, annoncent-ils ce mardi, après une rencontre avec la direction du groupe ferroviaire pour évoquer le démantèlement de Fret SNCF et l'ouverture à la concurrence.

Tous les syndicats de la SNCF ont appelé à une grève de 24 heures jeudi 21 novembre ce mardi, à l'issue d'une rencontre avec la direction du groupe ferroviaire pour évoquer le démantèlement de Fret SNCF et l'ouverture à la concurrence. Dans un communiqué intitulé "l'heure est au conflit à la SNCF", la CGT-Cheminots, l'Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et la CFDT-Cheminots préviennent que cette journée de grève est "un ultimatum" avant "un mouvement de grève plus long et plus fort en décembre" si le gouvernement et la SNCF ne répondent pas à leurs revendications.

Source : https://www.francebleu.fr/

La SNCF ferme la ligne Paris-Lyon du 9 au 12 novembre

Pour permettre à SNCF Réseau de préparer la mise en service de la nouvelle signalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Paris-Lyon, cette dernière sera fermée durant 4 jours, du 9 au 12 novembre 2024.

En conséquence, SNCF Voyageurs ajustera son plan de transport pour les TGV sur l'ensemble de l'axe Sud-Est. Les travaux nécessiteront une fermeture complète de la LGV Sud-Est, du vendredi 8 novembre à 23h jusqu'au mercredi 13 novembre 2024 à 4h, soit une interruption de 101 heures. Les circulations des TGV seront fortement perturbées pendant cette période, obligeant SNCF Voyageurs à adapter les trajets.

Le plan de transport des TGV (TGV INOUI et OUIGO Grande Vitesse) sera modifié, entraînant plusieurs impacts :

  • Une réduction significative du nombre de TGV en circulation sur l'ensemble de la ligne à grande vitesse de l'axe Sud-Est. Cela concerne toutes les dessertes entre Paris et les régions Occitanie (Montpellier) et Provence-Alpes-Côte d'Azur (Marseille, Toulon). Les dessertes de l'Auvergne-Rhône-Alpes (Annecy, Chambéry, Grenoble), de la Bourgogne-Franche-Comté (Dijon) et du Grand Est (Strasbourg, Metz) seront également touchées. Environ 30 % de l'offre nominale de TGV sera maintenue sur cet axe.

 

  • Certaines liaisons entre le Sud-Est et d'autres régions seront supprimées. Les dessertes vers les Pays-de-la-Loire, la Bretagne, la Normandie, le Centre-Val-de-Loire et les Hauts-de-France, comme Nantes<>Lyon-Montpellier, Lyon<>Rennes, Le Havre<>Marseille ou Lille<>Marseille, ne seront pas assurées. Les TGV entre Paris et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur s'arrêteront à Marseille et Toulon, et ne desserviront pas les gares au-delà, jusqu'à Nice. La desserte entre Paris et l'Occitanie sera assurée jusqu'à Montpellier Saint-Roch, mais les gares au-delà, jusqu'à Toulouse et Perpignan, ne seront pas desservies par TGV.

 

  • Les TGV circuleront sur des lignes classiques, entraînant un allongement considérable des temps de parcours. Par exemple, un Paris<>Lyon prendra 4h30 au lieu de 2h, Paris<>Marseille 7h20 au lieu de 3h, et Paris<>Grenoble 6h au lieu de 3h.

 

  • Onze gares de la ligne à grande vitesse ne seront pas desservies par les TGV sur l'axe Sud-Est, notamment Lille Europe, TGV Haute-Picardie, Roissy Aéroport Charles de Gaulle 2, Marne-la-Vallée Chessy, et d'autres gares importantes.

  • Certaines lignes internationales vers l'Espagne, l'Italie et la Belgique, comme Paris<>Barcelone, Bruxelles<>Marseille et Paris<>Milan, ne seront pas assurées. Les circulations vers la Suisse (TGV Lyria), l'Allemagne et le Luxembourg seront maintenues, mais l'offre TGV Lyria sera réduite.

Source : https://www.tourmag.com/

Le nouveau baromètre publié par le groupe ADP témoigne d’une dégradation des temps d'attente dans les principaux aéroports parisiens, Orly et CDG.

Une fois passée l’euphorie des Jeux Paris 2024, puis l’autosatisfecit globalement légitime des différents organisateurs impliqués, le retour à la réalité s’avère parfois complexe. En première ligne, le Groupe ADP avait dégainé le chronomètre en amont de l’événement, s’associant à la PAF pour un nouveau baromètre mensuel. Lancé en avril 2023, ce nouvel outil visait à aller plus loin dans la gestion des flux voyageurs, pilotée en temps réel depuis 2019. Nul doute que cette mesure régulière des temps d’attente aura permis aux différents acteurs concernés de se préparer plus efficacement pour Paris 2024. Elle permet aujourd’hui de mesurer le contrecoup de l’événement.

Paris 2024 : ADP et la PAF dégainent le chronomètre

Dans son baromètre consacré au mois de septembre, publié fin octobre, le groupe ADP reconnaît « une dégradation des temps d’attente ». En cause, comme d’aucuns l’avaient anticipé, les « départs des renforts estivaux et un « effet congés », dans un contexte de trafic soutenu ». Difficile en effet de maintenir un tel niveau de mobilisation sur le temps long. La direction du groupe ADP détaille : « Dans un contexte de trafic encore très soutenu et de passagers nombreux lors des pics d’affluence, cela s’explique en partie par le départ des renforts estivaux des gardes-frontières affectés aux aéroports parisiens et à un effet « rattrapage de congés » pour les policiers aux frontières qui ont été mobilisés pendant tout le temps des épreuves olympiques et paralympiques ».

Blog tude ADP

Concrètement, pour les voyageurs, cette tendance s’est traduite par une augmentation des retards supérieurs à 45 minutes, en particulier pour les files d’attente des arrivées du Terminal 2E de Paris-CDG. D’après les données du nouveau baromètre, à Paris CDG, 85,8 % des voyageurs ont attendu moins de 10 minutes sur quelque 2,7 millions de voyageurs internationaux. 11,4 % ont dû patienter entre 10 et 30 minutes, 1,8 % entre 30 et 45 minutes, et 1 % plus de 45 minutes. A Orly, sur près de 840 000 de passagers des vols internationaux, 94 % ont attendu moins de 10 minutes, 5,8 % entre 10 et 30 minutes et 0,2 % entre 30 et 45 minutes.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Une étude du média américain BTN indique aussi qu’à l’issue d’un appel d’offres “TMC”, 50% des entreprises changent d’agences.

Un gestionnaire de voyages sur trois (31 %) qui a récemment lancé un appel d'offres pour une TMC déclare avoir accordé plus d'importance à la capacité technologique qu'au service, selon une nouvelle étude de BTN, qui révèle également un intérêt pour l'intégration de multiples outils et services technologiques.

Les résultats de l'enquête menée par BTN en septembre et octobre dernier auprès de plus de 150 responsables des voyages d'affaires et des achats en Amérique du Nord et en Europe peuvent être consultés dans leur intégralité dans le rapport Ecosystem Play récemment publié.

13% des entreprises interrogées ont déclaré qu'elles effectuaient actuellement un appel d'offres TMC, 43 % ont déclaré que leur organisation avait lancé un appel d'offres TMC au cours des trois dernières années, et environ la moitié d'entre elles ont changé de TMC à l'issue de ce processus.

Par ailleurs, 13 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles prévoyaient de changer d’outil principal de réservation en ligne au cours des 12 prochains mois, et 22 % l'avaient fait récemment. On peut donc en conclure que plus d’un tiers (35%), au minimum, des entreprises ne sont pas satisfaites de leur SBT.

Fournisseurs tech vs. TMC

La grande majorité des personnes interrogées (85 %) se procurent leur système de gestion des dépenses directement auprès du fournisseur, tandis que seulement 8 % font appel à leur TMC pour cette technologie. Par ailleurs, 40 % des acheteurs de voyages préfèrent s'approvisionner en technologie de gestion des réunions auprès de tiers, contre seulement 18 % qui le font par l'intermédiaire de leur TMC.

Dans ce choix entre recours aux fournisseurs en direct ou fourniture auprès de la TMC, les proportions sont beaucoup plus équilibrées pour : les outils de réservation en ligne (53 % et 43 % respectivement), les applications mobiles de voyage (38 % et 47 %) et la technologie de capture des réservations hors canal (13 % et 12 %). Les outils de réachat de billets d'avion et d'hôtels, cependant, sont en grande partie fournis par les TMC, avec respectivement 48 % et 43 % des acheteurs.

Source : www.deplacementspros.com

Emirates 1

 

Paris & Dubaï, 23 octobre 2024 - Emirates a été désignée « Meilleure compagnie aérienne au monde » parmi 90 transporteurs internationaux selon une étude menée par Telegraph Travel. Ce classement complet a évalué les compagnies aériennes sur la base de plus de 30 critères, dont la ponctualité, la franchise bagages, le réseau, la qualité de son principal aéroport, l’âge de sa flotte, l’attractivité de son programme de fidélité et la qualité des repas à bord. Les résultats intègrent également des sondages auprès des lecteurs et des classements d'organismes réputés tels qu'Apex, Airline Ratings, Skytrax et TrustPilot. Le détail complet des résultats est disponible sur ce lien.

En tête du classement, Emirates se distingue par son excellence dans de nombreux domaines, de la franchise bagages à la ponctualité. L'étude souligne notamment qu'Emirates exploite la plus grande flotte d'Airbus A380, un appareil à double pont emblématique, plébiscité par les passagers pour son espace et son confort, à savoir un espace plus grand pour les jambes et ce dans toutes les classes de voyage, y compris en classe économique. L'étude consacre également la nouvelle Classe Économie Premium d'Emirates sur l'A380 comme « la meilleure du ciel », et met en avant la qualité constante de l'expérience de voyage en Classe Affaires, avec notamment un service gratuit de voiture avec chauffeur une prestation de plus en plus rare pour les trajets de et vers les aéroports. L'offre exclusive, proposée en Première classe, avec sa carte des vins inégalée et son espace douches-spa à bord, a également été saluée. L'étude a également reconnu le vaste réseau Emirates, qui dessert 140 destinations dans 77 pays. Ce sont ainsi plus de 30 000 lecteurs du Telegraph Travel qui ont ainsi décerné à Emirates son titre de meilleure compagnie long-courrier.

En 2024, Emirates a déjà reçu 19 prix et distinctions supplémentaires d’organismes de référence mondiaux, dont 7 récompenses aux Skytrax World Airline Awards en juin : Meilleur divertissement en volMeilleurs équipements de confort en Première ClasseMeilleure compagnie aérienne en Première Classe au Moyen-OrientMeilleur service de restauration à bord en Première Classe au Moyen-OrientMeilleure compagnie aérienne pour les familles au Moyen-OrientMeilleure compagnie aérienne en Classe Économie Premium et Meilleur service de restauration à bord en Classe Économie Premium au Moyen-Orient.

Emirates a également remporté le prix du « Meilleur divertissement et connectivité en vol au Moyen-Orient » décerné par Pax International Magazine en mai, en reconnaissance de sa connectivité Wi-Fi de pointe et de son système de divertissement en vol primé, ice, qui propose 6 500 chaînes de films, d'émissions de télévision, de chaînes d’informations et de sport en direct, de podcasts et de musique.

Aux Business Traveller Middle East Awards en mai 2024, Emirates a remporté le prix de la « Meilleure compagnie aérienne au monde », ainsi que quatre autres distinctions : « Compagnie aérienne avec la meilleure Classe Économie Premium »« Compagnie aérienne avec la meilleure Première Classe »« Meilleur salon d'aéroport au Moyen-Orient » et « Compagnie aérienne avec le meilleur programme de fidélité ».

Emirates a également remporté les plus grands honneurs aux World Travel Awards en mai, remportant les prix de « Première compagnie aérienne du Moyen-Orient 2024 »« Première compagnie aérienne du Moyen-Orient - Première classe 2024 » et « Meilleur programme de fidélité aérienne du Moyen-Orient 2024 - Skywards ». Emirates Skywards a également reçu le prix du « Programme de fidélité mondial de l'année au Moyen-Orient » lors des International Loyalty Awards en mai 2024.

De plus, lors des AirlineRatings.com Airline Excellence Awards de mars 2024, Emirates a été classée première pour son « Meilleur divertissement en vol » et sa « Meilleure Classe Économie Premium », une expérience client plébiscitée désormais proposée sur 21 destinations à travers le monde.

Emirates n'est affiliée à aucun prix ou sondage, ne paie pas pour participer aux prix, classements ou sondages, et ne sponsorise aucun de ceux mentionnés ci-dessus.

Un divertissement inégalé en vol

Récompensé par le prix du « Meilleur divertissement en vol au monde », le système primé d’Emirates, ice, propose une offre exhaustive de contenus pour tous les goûts. Plus de 6 500 chaînes de divertissement à la demande, dans plus de 40 langues, donnent accès à plus de 4 000 heures de films et séries, 3 500 heures de musique et podcasts, plus de 2 000 films hollywoodiens et internationaux primés, 250 chaînes dédiées aux enfants et aux familles et des centaines de séries télévisées et de coffrets complets, dont les dernières émissions de Paramount+, HBO Max, Discovery+, BBC, Bloomberg Originals et Shahid. Emirates est également régulièrement saluée pour son expérience de connectivité en vol, où tous les clients peuvent accéder au Wi-Fi gratuit en vol en tant que membres Emirates Skywards.

Une expérience primée en Première Classe et en Classe Affaires

L'expérience Emirates en Première Classe et en Classe Affaires demeure une référence d'excellence dans l'industrie. Chaque détail, du service gratuit de voiture avec chauffeur privé Emirates (CDS) pour les transferts de et vers les aéroports, à l'accès à plus de 34 salons d’aéroport premium dédiés dans le monde et 7 à Dubaï, est conçu pour offrir une expérience de voyage inégalée. À bord, les passagers de Première Classe profitent d'un confort ultime dans des suites exclusives entièrement privatives fermées, avec un service de restauration à la demande incluant caviar et champagne Dom Pérignon à volonté, des pyjamas hydra-actifs luxueux, des produits de soin Byredo et des gammes de soins durables Voya dans les douches à bord de l'A380. L'expérience en Classe Affaires est tout aussi raffinée, proposant une gastronomie subtile, une cave d’exception, un large choix de cocktails, des vêtements de détente, des sièges-lit entièrement inclinables et des trousses de toilette Bulgari. A bord de l'A380, les passagers de Classe Affaires et Première Classe bénéficient également du bar-lounge à bord, un espace idéal pour échanger et pour une expérience de voyage encore plus conviviale.

Une expérience primée en Première Classe et en Classe Affaires

L'expérience Emirates en Première Classe et en Classe Affaires demeure une référence d'excellence dans l'industrie. Chaque détail, du service gratuit de voiture avec chauffeur privé Emirates (CDS) pour les transferts de et vers les aéroports, à l'accès à plus de 34 salons d’aéroport premium dédiés dans le monde et 7 à Dubaï, est conçu pour offrir une expérience de voyage inégalée. À bord, les passagers de Première Classe profitent d'un confort ultime dans des suites exclusives entièrement privatives fermées, avec un service de restauration à la demande incluant caviar et champagne Dom Pérignon à volonté, des pyjamas hydra-actifs luxueux, des produits de soin Byredo et des gammes de soins durables Voya dans les douches à bord de l'A380. L'expérience en Classe Affaires est tout aussi raffinée, proposant une gastronomie subtile, une cave d’exception, un large choix de cocktails, des vêtements de détente, des sièges-lit entièrement inclinables et des trousses de toilette Bulgari. A bord de l'A380, les passagers de Classe Affaires et Première Classe bénéficient également du bar-lounge à bord, un espace idéal pour échanger et pour une expérience de voyage encore plus conviviale.

Classe Économie Premium plébiscitée

La classe Économie Premium d'Emirates a été largement saluée comme un produit exceptionnel, proposant des sièges en cuir avec un généreux espacement allant jusqu'à 40 pouces (101,6 cm), un siège large de 19,5 pouces (49,5 cm) avec une inclinaison de 8 pouces (20,3 cm), des repose-jambes et des repose-pieds pour plus de confort, un appuie-tête réglable à 6 positions. Des points de recharge facilement accessibles, une tablette et un écran de télévision de 13,3 pouces (33,8 cm) sont également à disposition. Les passagers peuvent se détendre avec des couvertures durables fabriquées à partir de bouteilles en plastique recyclées, un oreiller de grande taille, une trousse de toilette offerte et un vin pétillant d’exception : le Chandon Vintage Brut 2017. Le service de restauration primé à bord propose une sélection de menus savoureux préparés avec des ingrédients de saison et d’influences régionales, tous servis dans de la porcelaine, accompagnés de couverts en acier inoxydable enveloppés dans une serviette en lin. La Classe Économie Premium est actuellement disponible sur 21 destinations : Londres Heathrow, Sydney, Melbourne, Christchurch, Auckland, Bruxelles, Genève, Singapour, Los Angeles, New York, Houston, Ryad, San Francisco, Mumbai, Bangalore, Tokyo Narita, Tokyo Haneda, Sao Paulo, Osaka, Zurich et Dubaï.

Voyages en famille primés

Forte de nombreuses récompenses pour ses services à destination des familles, Emirates propose une gamme complète de produits et services dédiés aux familles et aux enfants, allant de l'embarquement prioritaire dans tous les aéroports internationaux à des sièges spacieux et aux plus grands écrans de divertissement en classe économique, en passant par des menus sains et adaptés pour les enfants, des accessoires ludiques, une large sélection de divertissements pour enfants sur ice, et des services supplémentaires pour les mineurs non accompagnés ainsi qu'une assistance dédiée aux familles voyageant avec des enfants souffrant d’un handicap ou d’un trouble du développement.

Source : emirates.com

 

Un protocole d'accord signé le 8 octobre entre Trenitalia et l'alliance Skyteam va permettre aux passagers aériens et voyageurs ferroviaires de combiner des billets d'avion et de trains ainsi que d'utiliser et gagner des miles à travers les différents programmes de fidélisation.

C’est la seconde compagnie ferroviaire à se connecter avec l’alliance Skyteam. Après Eurostar le 25 septembre dernier, voici que la compagnie ferroviaire italienne Trenitalia se rapproche de l’alliance aérienne mondiale créée en son temps par Air France-KLM, Aeromexico, Delta Air Lines et Korean Air.

Comme avec Eurostar, le partenariat a été formulé dans un protocole d’accord (Memorandum of Understanding). Au coeur de ce partenariat : la possibilité donnée aux clients d’explorer l’Italie en utilisant les trains à grande vitesse Frecciarossa – le réseau à grande vitesse de Trenitalia en ItalieIl permettra ainsi des voyages intermodaux en Italie en combinant les itinéraires aériens et ferroviaires en une seule réservation.

 

Nouvelle couverture de l’Italie

Une bonne opportunité pour les passagers aériens de Skyteam de retrouver une couverture territoriale complète de l’Italie, couverture qui avait disparu en grande partie avec le départ d’ITA, la compagnie nationale entrée dans le giron du Lufthansa Group.

Trenitalia faisant partie du réseau mondial de SkyTeam, les clients pourront réserver un voyage qui relie les segments aériens et ferroviaires. Par exemple, les clients pourront voler de New York-JFK à Rome Fiumicino, récupérer leurs bagages et poursuivre leur voyage en train Frecciarossa vers Bologne ou Naples par exemple…

« Nous sommes ravis de nous associer à Trenitalia en tant que deuxième partenaire non aérien, renforçant ainsi la stratégie de voyage intermodale de SkyTeam en offrant davantage de liaisons ferroviaires à grande vitesse de haute qualité – soutenant ainsi notre mission d’assurer l’avenir des voyages », a déclaré lors de la signature du protocole, Patrick Roux, Directeur général de SkyTeam.

« Le partenariat avec SkyTeam rapproche Trenitalia de sa vision, qui est d’être l’un des principaux acteurs du marché européen du transport ferroviaire, en offrant à ses clients des voyages en train fiables et de grande qualité qui complètent les horaires des vols internationaux », a renchéri Mario Alovisi, Directeur marketing de Trenitalia.

Intégrer à terme le réseau Trenitalia en France?

Le partenariat se déclinera sur plusieurs points. Les voyageurs des 14 compagnies aériennes membres de SkyTeam pourront gagner et dépenser des miles sur les itinéraires éligibles de Frecciarossa. Les membres de CartaFRECCIA, le programme de fidélité Frecciarosa, feront de même sur SkyTeam.

Les services Skypriority s’appliqueront dans les gares ferroviaires dans la mesure du possible. Ils bénéficieront aux membres Elite et Elite Plus de SkyTeam et des membres Platinum et Gold de CartaFRECCIA de Trenitalia.

Actuellement, il existe des liaisons ferroviaires directes depuis les aéroports de Milan-Malpensa, Rome-Fiumicino, Palerme-Punta Raisi et Turin-Caselle. Des liaisons dédiées en bus desservent les gares centrales depuis les autres aéroports. Les villes italiennes du réseau SkyTeam avec des liaisons Frecciarossa comprennent Bari, Bologne, Florence, Gênes, Milan, Naples, Rome, Venise, Vérone et Turin.

On peut penser qu’après l’Italie, l’accord Skyteam/Trenitalia pourrait s’étendre à la France. L’entreprise ferroviaire qui actuellement relie Paris à Lyon (et bientôt de nouveau à Chambéry) a indiqué planifier des liaisons Paris-Marseille en 2025. A voir si un tel accord pourrait entrer en conflit avec les services d’intermodalité entre Air France et la SNCF.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Montpellier-Bruxelles, Marseille-Athènes, Strasbourg-Istanbul : voici quelques-unes des nouveautés dévoilées par Transavia pour renforcer la connectivité des régions françaises.

Transavia prépare l’été, et dans cette optique se dessinent déjà plusieurs axes stratégiques pour les voyageurs français. La filiale low-cost d’Air France a annoncé mardi plusieurs nouveautés. La Corse bénéficiera de ce programme estival puisque Transavia prévoit de lancer un nouveau vol Lyon-Ajaccio le 19 avril. Les deux aéroports seront reliés une fois par semaine, chaque samedi. En outre, Transavia inaugurera une ligne Bastia-Biarritz le 12 juillet prochain, à la même fréquence.

Transavia et Volotea saisissent l’opportunité offerte par le départ de Ryanair à Bordeaux

En parallèle, Transavia prépare son arrivée sur plusieurs axes business et bleisure à l’échelle européenne. La compagnie a notamment annoncé le lancement d’un vol Strasbourg-Istanbul. Les opérations débuteront le 8 avril prochain, à raison d’un vol par semaine, assuré chaque lundi.

Renaud Paubelle, Président du Directoire, témoigne : « Nous nous réjouissons de la reprise de la ligne vers Istanbul par Transavia France et plus particulièrement la réactivité de nos interlocuteurs au sein de la compagnie du Groupe Air France KLM, Alexandre Blondel et Florian Mariaud, qui ont su répondre très
rapidement à ce besoin en termes de liaison pour l’Aéroport, la communauté turque, importante dans notre région, et les voyageurs désireux de découvrir ou redécouvrir la Perle du Bosphore
 ».

La ligne Montpellier-Bruxelles prendra elle son envol deux jours plus tard, le 10 avril. Transavia reliera l’aéroport montpelliérain à la capitale européenne deux fois par semaine, les jeudis et dimanches. Autre liaison stratégique et typiquement bleisure : le vol Marseille-Athènes fera ses grands débuts dès le 3 avril. La cité phocéenne sera reliée à la capitale grecque les jeudis et dimanches.

Parmi les autres nouveautés dévoilées par Transavia, on retiendra également une liaison Bordeaux-Faro, attendue pour le 7 juillet prochain, à raison de deux vols par semaine. Au départ de Paris, Transavia fait cap vers l’Est. La low-cost prévoit ainsi de desservir Chisinau (Moldavie) et Sofia (Bulgarie). Les deux destinations seront desservies deux fois par semaine depuis l’aéroport d’Orly, respectivement à compter du 7 juillet et du 10 avril prochains.

Nicolas Hénin, Directeur Général Adjoint Commercial et Marketing pour Transavia France, témoigne : « Nous sommes ravis d’étendre notre réseau en Europe de l’Est. La Moldavie et la Bulgarie représentent de nouveaux marchés intéressants pour nous, notamment grâce au tourisme affinitaire. Avec plus de 120 destinations au départ d’Orly et de nombreuses ouvertures de lignes en région, nous proposons une fois encore, un programme estival ambitieux avec des prix attractifs pour satisfaire le plus grand nombre. »

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

 

 

 

 

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