02/04/2024

HOTELLERIE : DERRIERE LES LEADERS, D’AUTRES ACTEURS CLES EN CROISSANCE

Ascott sur le long séjour, B&B ou Premier Inn sur l'économique et Four Seasons sur le luxe, Minor Hotels ou Melia : focus sur le développement des autres acteurs clés de l'hôtellerie.

Expansion sur de nouveaux marchés, nouvelles enseignes, grandes ambitions : sans avoir de portefeuilles aussi garnis que Marriott, Hilton ou Accor, d’autres acteurs clés jalonnent le parcours des voyageurs d’affaires de leurs hôtels. Notamment le groupe Ascott, leader mondial de l’hébergement long séjour, qui dispose aujourd’hui de 163 000 unités dans le monde. S’appuyant sur un modèle adapté aux déplacements professionnels de plusieurs jours à plusieurs mois, la filiale de l’investisseur singapourien Capital Land glisse progressivement vers une offre plus diversifiée, notamment depuis le rachat du pure player hôtelier Tauzia en Indonésie, avant le lancement prochain d’une marque hôtelière quatre étoiles, l’Unlimited Collection. En parallèle, ses établissements de luxe Crest Collection – et même certains de ses Citadines – jouent sur le mélange des genres, associant dans leurs murs hôtellerie classique et résidentielle.

« Ascott a pour ambition de dynamiser son positionnement pour être un acteur majeur de l'« hospitality », avait précisé Philippe Mettey à Voyages d’Affaires en début d’année. « D’où cette volonté d’hybridation de nos produits et de jouer sur les deux tableaux, l’hôtellerie et les résidences, pour poursuivre notre croissance ». Une croissance qui est au rendez-vous puisque le groupe Ascott, qui souffle cette année ses 40 bougies, dépasse année après année ses objectifs, porté par la dynamique de Citadines et l’expansion de sa marque lifestyle Lyf, mais aussi par le rachat en 2022 d’Oakwood Worldwide. Une marque à dominante corporate qui va évoluer autour d’hôtels et résidences, en ligne avec la tendance bleisure.

Un autre groupe venu d’Asie, le Thaïlandais Minor, ne cache pas ses ambitions, notamment depuis son rachat en 2018 du groupe espagnol NH. Une acquisition qui explique que plus de la moitié de ses hôtels soient aujourd’hui situés en Europe, un cadre évolutif alors que les synergies en matière de développement commencent à se matérialiser. D’un côté, les marques NH ont commencé à s’étendre en Asie et au Moyen-Orient, tandis que la marque fanion de Minor, les hôtels de luxe Ananatara, a fait son entrée dans plusieurs grandes villes européennes comme Amsterdam, Dublin, Rome, Nice et Vienne. Depuis peu également, l’enseigne Avani, cousine haut de gamme et lifestyle des Anantara et sur laquelle Minor mise beaucoup à l’avenir, est apparue en Europe en prenant place dans les murs d’hôtels NH à Francfort et Madrid.

« À l’avenir, nous avons l’intention d’étendre notre empreinte mondiale dans de nouvelles régions dans lesquelles nous ne sommes pas encore présents », a déclaré Dillip Rajakarier, PDG de Minor Hotels. Pour aller plus loin que ses 540 établissements dans le monde, Minor Hotels s’est lancé dans un plan d’expansion agressif au cours des trois prochaines années, comptant ajouter entre 200 et 250 nouveaux hôtels. Un développement accéléré qui passe par une évolution de sa stratégie moins concentrée sur l’investissement et davantage sur les contrats de gestion, voire la franchise, mais aussi par le lancement annoncé de nouvelles enseignes, sans doute dans le courant de cette année.

Si Minor préside désormais aux destinées de NH Hotels, d’autres groupes espagnols continuent à peser dans l’hôtellerie mondiale comme Melia et Barcelo, notamment grâce à leurs nombreux resorts sur les côtes méditerranéennes et de la zone Caraïbes. Un savoir-faire loisirs qui se décline aussi dans les grands centres urbains d’Espagne et ailleurs, par exemple avec l’Orient Jakarta, devenu un hôtel Royal Hideaway du côté de Barcelo. De son côté, Melia International a connu quelques ouvertures phares en 2023 comme celles de son premier hôtel à Bangkok, l’INNSiDE Bangkok Sukhumvit, ou du Palazzo Cordusio Gran Meliá à Milan, qui revisite en hôtel de luxe l’ancien siège des assurances Generali. Le tout s’ajoutant à l’ouverture récente, début 2024, d’un nouveau fleuron du MICE à Barcelone, le Torre Melina Gran Meliá, adjacent au palais des congrès.

Tout en renforçant sa colonne vertébrale loisirs, que ce soit en bord de plage ou dans les métropoles européennes propices aux city breaks comme aux déplacements d’affaires, Melia met un accent particulier à renforcer son empreinte sur le luxe et le lifestyle. Parmi la vingtaine d’hôtels dont l’ouverture est prévue en 2024, plusieurs établissements arboreront la marque contemporaine ME by Meliá, que ce soit à Lisbonne, Malte et Malaga en Europe, ou à Sayulita et Guadalajara au Mexique. En parallèle, Melia ajoutera un deuxième maillon à sa marque Zel, lancée en partenariat avec Rafael Nadal, à Tossa del Mar, près de Gérone, après avoir vu le jour à Majorque.

L’île originelle du groupe espagnol comme du tennisman verra de son côté apparaître cette année un luxueux Four Seasons, fruit de la transformation de l’hôtel Formentor. Cette ouverture participera à renforcer la place de leader du groupe canadien parmi les pure players de l’hôtellerie de luxe, fort de près de 130 hôtels aujourd’hui, contre une quarantaine pour Mandarin Oriental et Rosewood et à peine une dizaine pour Peninsula. A son programme de 2024 également, une quatrième adresse au Maroc, au sein du palais historique Kasr al Bahr à Rabat, de même qu’au Japon avec une ouverture cet été à Osaka, en amont de l’expo universelle 2025. En parallèle, de nouveaux Four Seasons se sont déjà ajoutés ou s’ajouteront prochainement en Chine, à Dalian, Hangzhou et Suzhou.

Si l’hôtellerie de luxe est poussée par des vents porteurs au vu du nombre croissant de millionnaires dans le monde, de l’autre côté du spectre, l’hôtellerie économique compte aussi plusieurs acteurs dynamiques qui ont su imposer leurs marques à côté des leaders mondiaux multi-marques. Notamment Premier Inn, la première chaîne au Royaume-Uni, avec près de 850 hôtels, ou son concurrent local Travelodge, proche des 600 établissements.

Sans doute à l’étroit sur son marché originel, Premier Inn s’est lancé à la conquête d’un nouveau marché, l’Allemagne. De 6 hôtels en 2020, la marque s’approche de la barre des 60 établissements aujourd’hui. Un marché attractif où le groupe britannique est à la lutte avec la chaîne locale Motel One, les marques Accor et un autre groupe français, B&B Hotels.

Présent en Allemagne depuis plus d’un quart de siècle, l’hôtelier y a construit un solide portefeuille de plus de 150 établissements. Soit son deuxième réseau hors des frontières hexagonales, devant l’Italie et l’Espagne. Tout en soutenant un rythme d’ouvertures important en France, B&B Hotels ne cesse de s’internationaliser avec une présence dans 17 pays aujourd’hui. Le dernier challenge du groupe soutenu par son actionnaire majoritaire Goldman Sachs : aller défier l’hôtellerie de chaînes économique sur ses terres originelles, les Etats-Unis.

Source https://www.voyages-d-affaires.com/

 

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  • CONTRÔLEURS, PERSONNELS AU SOL, AIR FRANCE : L’AÉRIEN FRANÇAIS PERTURBÉ LES 10 ET 18 SEPTEMBRE
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    Qui fait grève dans le secteur aérien ?
    Plusieurs syndicats vont participer à ces deux journées de mobilisation. Le 10 septembre, le syndicat SUD Aérien appelle à la grève et au blocage des aéroports, rejoint sur la date par la CGT Air France, qui mobilise également les personnels de la compagnie. Le 18 septembre, le mouvement s’élargit : le SNCTA, principal syndicat des contrôleurs aériens (60% de représentativité), annonce une grève nationale du jeudi matin jusqu’à la fin du service de nuit le lendemain, une mobilisation susceptible de paralyser davantage d’aéroports que lors des précédentes grèves estivales. FO Air France et la CFDT Air France se joignent également à la grève interprofessionnelle du 18 septembre en déposant des préavis allant d’une à vingt-quatre heures. Le Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire chez les pilotes, a précisé ne pas participer au mouvement, ni le 10, ni le 18 septembre.

    Pourquoi cette mobilisation ?
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    Conséquences attendues
    Les aéroports parisiens de Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly, mais aussi l’ensemble du réseau national, devraient subir des perturbations majeures ces deux jours. Air France a déjà annoncé des adaptations de son programme de vols sans préciser l’ampleur, mais selon les précédents mouvements, 25% des vols pourraient être annulés dans les aéroports franciliens, soit plusieurs centaines de vols par jour. L’impact pourrait toucher des centaines de milliers de passagers, avec des annulations et des retards importants alors que d’autres secteurs des transports (ferroviaire, bus, etc.) seront également perturbés.

    Source : https://www.air-journal.fr/

  • GREVE DU 18 SEPTEMBRE : LE MOUVEMENT GAGNE DU TERRAIN SUR LES RAILS ET DANS LES AIRS…
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    Les appels à la grève se multiplient pour le 18 septembre. Après les contrôleurs aériens, les cheminots se mobilisent à leur tour. La RATP sera aussi affectée. Et les préavis menacent chez Air France...

    Le mois de septembre s’annonce déjà chaotique sur le plan social, et les voyageurs d’affaires devraient bientôt affronter plusieurs zones de turbulences. Mercredi, trois syndicats se sont réunis pour acter un appel à la grève le 18 septembre prochain : la CGT-Cheminots, l’UNSA-Ferroviaire et la CFDT-Cheminots. Dans un communiqué, cette dernière prévient : « Notre action doit être forte pour faire changer les orientations d’austérité et d’efforts supplémentaires sur ceux qui travaillent. Le 18 septembre doit être l’occasion d’imposer nos revendications pour protéger toutes celles et tous ceux qui travaillent et produisent ». Le communiqué de la CFDT-Cheminots précise par ailleurs : « Nous prévoyons une nouvelle rencontre des organisations syndicales représentatives du ferroviaire avant le 18 septembre pour continuer à construire un mouvement de mobilisation massif ».

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    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

  • LUFTHANSA : LES BATTERIES AU LITHIUM DANS LES AIDES A LA MOBILITE, CE QUI CHANGE
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    Les compagnies aériennes de Lufthansa Group introduisent de nouvelles règles de sécurité pour le transport des aides à la mobilité équipées de batteries au lithium. À compter du 1er octobre 2025, les compagnies de Lufthansa Group limiteront le transport des fauteuils roulants et aides à la mobilité équipés de batteries au lithium fixes et non amovibles (WCLB) aux modèles comportant au maximum deux batteries d’une puissance maximale de 160 watts-heure chacune.

    Ces nouvelles réglementations s’appliquent à tous les vols des compagnies de Lufthansa Group. Tous les appareils d’aide à la mobilité équipés de batteries au lithium amovibles ou de batteries gel, sèches, NiMH ou humides étanches restent autorisés, à condition qu’ils soient conformes à la réglementation IATA relative aux objets dangereux.

    Nouvelle obligation d’enregistrement à compter du 2 septembre 2025 :
    Si vos clients voyagent avec leur propre fauteuil roulant électrique, pour des raisons de sécurité, ils doivent vérifier au préalable si ces batteries peuvent être transportées par avion. Nous vous recommandons d’enregistrer le transport du fauteuil roulant électrique au moment de la réservation.

      Groupe LH

     

    Source : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

  • NOUVELLES FORMALITES D'ENTREE EN INDONESIE DEPUIS LE 1ER SEPTEMBRE 2025
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    Depuis le 1er septembre 2025, tous les voyageurs doivent remplir en ligne une Arrival Card digitale "All Indonesia" avant leur arrivée en Indonésie.

     

    La démarche est gratuite, en anglais uniquement, et doit être effectuée dans les 48h avant l’arrivée sur le site officiel : https://allindonesia.imigrasi.go.id/

     

    Un QR code sera généré et devra être présenté à l’arrivée.

    Ce qui change :

    Cette nouvelle carte remplace la déclaration de santé Satusehat et la déclaration de douane e-CD.

    Pour Bali, la taxe touristique de 9 € reste à payer en ligne sur le site Love Bali.

     

    Source : La lettre hebdonadaire Emirates

  • IATA CONFIRME L’IRRESISTIBLE ENVOLEE DES CLASSES PREMIUM EN AVION
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    L'Association du transport aérien international (IATA) a publié l'édition 2024 du World Air Transport Statistics (WATS). Cette référence dans le monde du transport aérien propose des données statistiques complètes pour l’année 2024. Et met en exergue une tendance de fond de la branche: l'envolée des classes Premium. 

    Mis à jour chaque année avec les données de plus de 240 compagnies aériennes internationales, le rapport WATS de l’association internationale du transport aérien IATA permet de mieux appréhender l’évolution du transport aérien. IATA analyse des éléments géographiques, l’offre et la demande, les mouvements d’avions mais aussi les tendances produits.

    Le rapport comprend ainsi une ventilation détaillée du trafic passagers, des capacités disponibles, un aperçu de la flotte mondiale et des principales liaisons aéroportuaires.

    Forte croissance des classes premium

    Une des principales conclusions du rapport de cette année est la croissance des voyages internationaux en classes premium — classe affaires et première classe. La fréquentation de ces classes a de fait augmenté de 11,8 %. Elle dépasse ainsi la croissance du trafic en classe économique, qui s’établit à 11,5 %.

    Le nombre total de passagers internationaux voyageant en classe premium en 2024 s’est élevé à 116,9 millions, soit 6 % du total des passagers internationaux.

    La région Asie-Pacifique a enregistré la plus forte croissance en pourcentage avec une hausse de 22,8 % des passagers premium. Soit un total de 21 millions. Cependant, ce chiffre a été dépassé par la croissance du nombre de passagers en classe économique. Les classes économiques en Asie affichent en effet une hausse de 28,6 % à 500,8 millions.

    La croissance des voyages en classe premium a dépassé celle des classes économiques en Europe, en Amérique latine, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord. L’Europe reste le plus grand marché de voyages internationaux en classe premium avec 39,3 millions de passagers. Cependant, c’est au Moyen-Orient que la proportion de voyageurs premium est la plus élevée, représentant 14,7 % de l’ensemble des passagers.

     

     IATA 1

    Principales liaisons aériennes et avions utilisés

    La région Asie-Pacifique écrase le classement des routes aériennes les plus fréquentées au monde. Jeju–Séoul Kimpo (CJU–GMP) se classe en tête, comptant 13,2 millions de passagers en 2024. Parmi les 10 premières, seule la liaison Djeddah–Riyad (JED–RUH) ne se situe pas en Asie-Pacifique.

    La route Bogota–Medellin (BOG–MDE) a été la plus fréquentée d’Amérique latine avec 3,8 millions de passagers. Il faut chercher en Afrique du Sud la ligne la plus importante du continent: Le Cap–Johannesburg (JNB–CPT) a enregistré 3,3 millions de passagers en 2024.

    En Amérique du Nord, c’est sans surprise New York JFK–Los Angeles (JFK–LAX) qui affiche la plus forte fréquentation avec 2,2 millions de passagers. Tandis qu’en EuropeBarcelone–Palma de Majorque (BCN–PMI) est numéro 1 avec 2 millions de voyageurs

    Les avions mono-couloirs de Boeing et Airbus ont été les plus utilisés en 2024. Les différents modèles de Boeing 737 ont effectué 10 millions de vols, représentant 2,4 milliards de sièges-kilomètres disponibles (ASK). Ils sont suivis par l’Airbus A320 avec 7,9 millions de vols et 1,7 billion d’ASK. Arrive en troisième position l’Airbus A321 avec 3,4 millions de vols et 1,1 billion d’ASK.

    Pays avec le plus grand nombre de passagers

    Les États-Unis restent le plus grand marché aérien mondial avec 876 millions de passagers en 2024, soutenus par un marché domestique robuste ayant connu une croissance de 5,2 % sur un an. La Chine arrive en deuxième position avec 741 millions de passagers, en hausse de 18,7 % par rapport à 2023. Vient loin derrière en troisième position le Royaume-Uni avec 261 millions de voyageurs aériens, en hausse de 7,3%.

     

    IATA 2

     

    Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

     

     

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