Bertrand Godinot, directeur national d'easyJet pour la France :
« Nous restons attachés à Toulouse et à sa région et continuons à contribuer à sa connectivité. Avec notre partenaire Aéroport Toulouse Blagnac, nous pouvons confirmer à nos fidèles clients toulousains que nous continuerons à desservir 10 destinations demandées aussi bien pour des voyages loisirs qu’affaires. Il est important pour nous de continuer à proposer un réseau attractif au départ des régions françaises et notamment Toulouse. »
Philippe Crébassa, Président d’Aéroport Toulouse Blagnac :
« EasyJet reste, pour notre aéroport, un partenaire de premier plan avec la desserte de 10 destinations plébiscitées par nos clients. Nous continuons à travailler avec les équipes de la compagnie pour proposer à nos clients une offre plus étendue de destinations et maintenir une connectivité de qualité sur Toulouse. »
Source : Easyjet Business Development Manager France, Belgique, Luxembourg
Suite au succès de la baisse de prix de la Carte Liberté testée sur l’année 2024 , nous avons décidé de poursuivre cette baisse de prix en 2025.
La Carte Liberté TGV INOUI est proposée à 349€ (sans code FCE*).
Pour les clients entreprise, la Carte Liberté TGV INOUI est proposée au prix de 299€ (avec code FCE) soit une réduction de 50€ par rapport au prix grand public. La carte est rentabilisée dès 3 allers-retours en moyenne (pour un client voyageant en 2nde et 1ère classe).
L'activation de la carte est possible jusqu’à 5 mois après la date d’achat.
Et pour que chaque voyage devienne un moment privilégié, tous les détenteurs de la Carte Liberté TGV INOUI seront invités automatiquement au Programme Grand Voyageur ! Les clients pourront cumuler des points primes sur leur achats et trajets réalisés en France ou sur certains trajets internationaux. 1 € dépensé = 4 points en 1ière/2 points en 2nde : possible de dépenser mes points pour renouveler ma carte Liberté TGV INOUI ou acheter des billets !
Quant aux avantages de la Carte Liberté TGV INOUI ils restent inchangés, la carte permet de voyager toute l'année à prix réduit en France et en Europe, sur TGV INOUI, Intercités et TER (selon les régions). La carte donne accès à deux tarifs :
Le tarif Liberté, le meilleur tarif pour les déplacements professionnels (disponible tous les jours uniquement pour le titulaire de la carte)
* Uniquement disponible pour les billets de 1ère classe
Le tarif Avantage, des remises idéales pour les voyages personnels (Disponible pour le titulaire et ses accompagnants, sous conditions)
Nos équipes UVET France sont à votre disposiiton pour le renouvellement ou la souscription de votre carte Liberté !
Source : https://www.feria.sncf.com/
A compter du 1er janvier 2025, tous les visiteurs sont tenus de présenter un passeport valide plus de 3 mois après l’entrée sur le territoire. Jusqu’au 31 décembre 2024, la présentation d’une carte nationale d’identité valide, accompagnée du carnet de voyage délivré par une agence de voyages, est tolérée pour les voyages en groupe seulement. Cette tolérance n’est pas toujours appliquée et les voyageurs s’exposent à un éventuel refus d’entrée sur le territoire. Il est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide.
Source : https://www.diplomatie.gouv.fr/
Fermé depuis le passage du cyclone Chido, l’aéroport de Mayotte rouvrira demain, le 1er janvier 2025. Le Premier ministre, François Bayrou, l’a annoncé lors de sa visite sur l’archipel. Le premier vol commercial long-courrier d’Air Austral se posera à Mayotte le 1er Janvier 2025 à 07h55 en provenance de Paris.
Communiqué d’Air Austral :
Le Premier ministre a confirmé, ce lundi 30 décembre 2024, la réouverture de l’aéroport aux vols commerciaux, effective à compter de ce mercredi 1er janvier 2025. Air Austral est ainsi aujourd’hui en mesure d’annoncer la reprise de ses vols de et vers l’île aux parfums comme suit :
· Reprise du programme long-courrier Mayotte-Paris : Air Austral reprendra son programme nominal depuis Paris à destination de Mayotte ce mardi 31 décembre 2024, et ce au moyen de son Boeing 787-8 qui arbore les couleurs de l’île aux parfums. Décollage prévu du vol UU978 de Paris le 31 décembre 2024 à 20h05 pour une arrivée à 07h55 à Mayotte le 1er janvier 2025.
Dès le mercredi 1er janvier 2025, la liaison Paris-Mayotte sera à nouveau assurée sur la base de son programme initial.
La compagnie tient toutefois à informer sa clientèle que, compte tenu de la situation, des adaptations ont été rendues nécessaires pour permettre la reprise des vols long-courriers Mayotte-Paris.
- Jusqu’au 6 janvier 2025, les vols Mayotte-Paris, opérés par Air Austral, feront une escale à La Réunion pour effectuer une relève de ses équipages.
- A compter du 6 janvier 2025 et jusqu’à nouvel ordre, une escale sera effectuée à Nairobi à l’aller comme au retour pour effectuer une relève de ses équipages.
Cette configuration temporaire pourrait entraîner quelques retards opérationnels, mais Air Austral met tout en œuvre pour retrouver une stabilité rapide de son programme des vols de/vers Mayotte, et en minimiser l’impact sur sa clientèle.
· Reprise du programme régional Mayotte-Réunion : Dès mercredi 1er janvier 2025, sur la base de son programme nominal : deux vols Mayotte-Réunion seront opérés en Airbus A220. Le premier vol commercial est prévu le 1er janvier, vol UU272, décollage de La Réunion à 07h00 pour une arrivée à Mayotte à 08h15 heure locale.
A noter que pour des contraintes liées à la barge reliant Petite Terre à Grande Terre, le vol de l’après midi sera avancé. Les passagers impactés seront informés par les équipes d’Air Austral via SMS et/ou Mail.
La compagnie tient par ailleurs à informer ses passagers, qu’en raison de limitation de charge, elle les invite à respecter leur franchise bagage autorisée.
Un dispositif de forte affluence mis en place à La Réunion & Mayotte
Air Austral est consciente des besoins urgents de déplacement, elle souhaite toutefois informer sa clientèle qu’un dispositif spécial sera mis en place par les autorités pour leur accès à l’aéroport. Pour garantir une gestion fluide, seuls les passagers munis d’un billet d’avion pour le jour de leur vol pourront accéder à l’aérogare. Un système de filtrage adapté à l’affluence sera mis en place et ce jusqu’à nouvel ordre. Il est par ailleurs fortement recommandé d’anticiper les temps de trajet jusqu’à l’aéroport.
A La Réunion et à Mayotte : Un dispositif spécial a été mis en place pour accueillir, au point de filtrage extérieur, toute personne en possession d’un billet d’avion initialement prévu entre le samedi 14 décembre et le jour J, ou avec une date de voyage à venir, souhaitant se positionner sur la liste d’attente des vols de la journée. Ils seront orientés vers une banque d’enregistrement dédiée.
Attention, à Mayotte il ne sera pas possible d’acheter des billets d’avion directement à l’aéroport de Dzaoudzi.
A Paris : Une banque d’enregistrement dédiée sera ouverte pour réceptionner toute demande de sa clientèle en possession d’un billet d’avion et souhaitant se positionner sur la liste d’attente des vols de la journée. A noter que l’enregistrement des vols Paris-Mayotte fermera exceptionnellement 1h30 avant le départ.
Lancement de Tarifs « Rapatriements » et mesures commerciales exceptionnelles toujours en vigueur
Consciente de l’impact de cet événement inédit, Air Austral met en place des tarifs Rapatriement :
Mayotte>Paris ou Paris>Mayotte : 699 €* l’aller simple avec 2 bagages inclus.
Mayotte>La Réunion ou La Réunion>Mayotte : 199 €* l’aller simple avec 1 bagage inclus
*Ces tarifs sont disponibles jusqu’au 13 janvier 2025, pour des voyages jusqu’au 31 mars 2025
Air Austral rappelle que, face à cette situation exceptionnelle, des mesures commerciales spéciales sont appliquées pour tous les passagers ayant des vols de / vers Mayotte :
· Modification sans frais pour un report de voyage jusqu’au 28 février 2025 (sous réserve de disponibilité dans la même classe).
· Modification sans pénalités pour les voyages reportés au-delà du 1er mars 2025, avec réajustement tarifaire si nécessaire.
· Changement de destination possible sans pénalités, avec ajustement tarifaire applicable, dans un délai d’un an après l’émission du billet.
· Emission d’un avoir valable un an, remboursable s’il n’est pas utilisé avant expiration.
· Remboursement intégral sans frais selon les procédures habituelles.
Communiqué de la préfecture de Mayotte :
Comme l’a annoncé le Premier ministre ce lundi 30 décembre 2024 lors de son déplacement à Mayotte, l’aéroport international Marcel Henry rouvrira le 1er janvier 2025.
Pour qu’elle soit réussie, cette réouverture se fait sous certaines conditions, gage de bon fonctionnement.
Le passage du cyclone CHIDO a fortement endommagé les locaux de l’aéroport international Marcel Henry. La tour de contrôle a été totalement détruite.
Dès le 16 décembre, un point aérien avec des vols militaires affétés par l’État pour acheminer des vivres et de matériaux a pu être mise en place avec La Réunion, mais les conditions de reprise des vols commerciaux n’étaient jusqu’alors pas réunies.
Les travaux de réhabilitation de l’aéroport sont désormais achevés. Comme annoncé ce jour par le Premier ministre, les vols commerciaux vont reprendre progressivement à partir du 1er janvier 2025 sous conditions impératives, gage de réussite.
Points de vente uniques des billets d’avion :
L’achat de billets d’avion peut se faire en ligne ou en physique, uniquement dans les agences situées à Mamoudzou. Il est impossible d’acheter des billets d’avions directement à l’aéroport ou dans l’agence Issoufali de Dzaoudzi.
Pour toutes questions liées à l’achat de billets, il est nécessaire de se rapprocher de la compagnie aérienne concernée.
Accès à l’aéroport depuis la Grande-Terre :
La traversée de la barge s’effectue uniquement par voie piétonne. Des taxis sont disponibles à la sortie de la barge pour acheminer les passagers vers l’aéroport.
L’accès à la barge est réservé exclusivement aux véhicules prioritaires et les barges ne fonctionnent pas durant la nuit.
Accès à la zone aéroportuaire :
L’accès à la zone aéroportuaire se fait uniquement sur présentation du billet d’avion à la date du jour. Les accompagnants ne pourront pas accéder à l’aéroport.
Il est fortement recommandé d’anticiper les temps de trajet compte tenu des contraintes logistiques, soit 4 heures avant au minimum.
Les services de l’État sont pleinement mobilisés pour assurer la reprise progressive des vols commerciaux tout en garantissant la sécurité des usagers et en maintenant le point aérien pour l’arrivée de vivres et de matériaux.
Source : https://www.linfo.re/
Nos équipes UVET France sont disponibles pour vous conseiller et réserver votre billet avec nos partenaires dont QATAR AIRWAYS.
L'aéroport, conçu par le prestigieux studio de l'architecte Zaha Hadid, a été inauguré fin 2019 pour devenir l'aéroport avec le plus grand terminal du monde.
L'option la plus pratique et la plus rapide. En faisant appel à un service de transfert, un chauffeur vous attendra à l'aéroport avec un panneau portant votre nom et vous conduira à votre hôtel dans les plus brefs délais, en évitant les coûts cachés, les tromperies éventuelles et les problèmes de langue.
Retrouvez toutes les informations et réservez sur le site web en cliquant sur ce lien :
Réservez un transfert de l'aéroport de Daxing à l'hôtel
Le prix d'un taxi de l'aéroport de Daxing au centre de Pékin est d'environ 300 ¥ (39,31 €) à 400 ¥ (52,41 €) selon le trafic. La distance jusqu'au centre est de 50 kilomètres et le trajet dure entre 60 et 90 minutes selon le trafic.
Le trajet en train de l'aéroport de Daxing à la gare ferroviaire de Pékin Ouest ne prend que 20 minutes. Le train coûte 60 ¥ (7,86 €) par trajet et part entre 08h20 et 22h50.
L'aéroport de Daxing est desservi par 6 lignes de bus qui mettent environ 80 minutes pour rejoindre le centre de Pékin. Les destinations des bus sont la gare ferroviaire de Pékin (gare centrale de Pékin), Fangshan, la gare ferroviaire de Pékin Ouest, la gare ferroviaire de Pékin Sud, Tongzhou et Xuanwu Gate.
Le prix des bus est de 40 ¥ (5,24 €). 5 lignes fonctionnent entre 07h30 et 23h00, tandis que la ligne de nuit fonctionne de 23h30 jusqu'à l'arrivée du dernier avion.
L'aéroport international de Pékin (PEK), situé à 32 kilomètres au nord-est de Pékin, est l'aéroport le plus important d'Asie et le deuxième au monde avec 96 millions de passagers en 2016. La grande croissance de l'aéroport a commencé lorsque Pékin a été choisie pour accueillir les Jeux olympiques de 2008. Le terminal 3, le deuxième plus grand au monde derrière le T3 de l'aéroport de Dubaï, a été achevé peu avant les Jeux olympiques.
Pékin est l'une des plus grandes villes du monde et, quel que soit l'endroit où vous séjournez, vous aurez besoin des transports publics pour vous rendre aux différents points d'intérêt.
Le pousse-pousse est un moyen de transport traditionnel chinois qui est aujourd'hui devenu (en partie) une attraction touristique. Le mot vient du japonais et signifie "voiture tirée par un homme".
Bien qu'ils soient en apparence identiques, on trouve à Pékin deux types de rickshaw (ou pousse-pousse), ceux qui se trouvent dans les hutongs et ceux qui servent de moyen de transport.
Les pousse-pousse qui parcourent les hutongs ont des pédales et sont l'un des meilleurs moyens pour visiter ces lieux. Le prix d'une balade dans les hutongs de 50 minutes est très variable. En principe, on vous demandera 300 ¥ (39,21 €) ou 400 ¥ (52,28 €) pour le trajet, mais vous pouvez l'obtenir pour 80 ¥ (10,45 €) et moins.
Gardez à l'esprit que la palupart du temps, si vous réservé une visite en pousse-pousse, les conducteurs vont essayer de s'arrêter dans des maisons traditionnelles ou d'autres endroits qui devront être payés séparément (environ 20 ¥ (2,61 €)). Vous décidez où vous voulez aller et où vous ne voulez pas aller.
Les pousse-pousse sont électriques et constituent une alternative aux taxis, bien qu'ils n'effectuent généralement pas de longs trajets. Le prix que vous devrez payer pour un trajet est similaire à ce qu'un taxi vous coûterait. Par exemple, de Tian'anmen au marché de la soie, un prix acceptable serait de 30 ¥ (3,92 €).
Source : https://www.pekin.fr / Qatar Airways / UVET France
Voyagez l'esprit léger avec ZenLine, nouveau service gratuit de réservation de créneaux pour les contrôles de sécurité du Terminal 1 de l'aéroport.
Fini les files d'attente aux contrôles de sécurité :
Le service ZenLine s'applique à l'ensemble des vols opérant depuis le Terminal 1. Les vols opérés par les compagnies Volotea, ASL Airlines, Air Arabia et Norwegian depuis le Terminal 2 ne sont pas éligibles.
Le service de réservation vous proposera plusieurs créneaux horaires adaptés à votre vol, en fonction de l'heure de départ et de l'affluence attendue.
Vous pouvez réserver votre créneau horaire ZenLine entre 7 jours et 1 jour avant la date de votre vol, via le site internet ou l'application Lyon Aéroport afin de garantir un passage fluide aux contrôles de sécurité.
A la différence du service coupe-file, le service ZenLine nécessite une réservation de créneau en amont de votre voyage (de J-7 à J-1 de votre vol).
En déhors de la plage horaire réservée, l'accès au service est refusé. Le service coupe-file, vous donne un accès prioritaire et une liberté de passage aux contrôles de sécurité à l'heure de votre convenance.
L'organisation Transport & Environnement a analysé 27 compagnies ferroviaires européennes à partir de multiples critères comme le prix ou la ponctualité. Si Trenitalia arrive en tête du classement et la SNCF en 5e position, Eurostar est bonne dernière.
Pour la première fois, l’organisation Transport & Environnement (T&E) a classé 27 compagnies ferroviaires européennes à partir d’une série de critères dont le niveau des prix, la ponctualité des trains, la facilité de réservation ou la revente de billets. Au classement général, Trenitalia arrive en tête, suivie des chemins de fer suisses SBB CFF, de RegioJet, la compagnie opérant en Tchéquie et Slovaquie, et de la SNCF. Ouigo et Eurostar arrivent en queue du classement, respectivement en 25e et 27e places. Parmi les autres grandes compagnie européennes, l’espagnole Renfe arrive en 7e position, l’italienne Italo juste derrière, la belge SNCB en 12e, l’allemande DB en 16e et la néerlandaise NS en 23e place.
Concernant les prix, qui comptent pour 25% de la note globale, Ouigo se classe en deuxième position compte tenu de son statut d’opérateur low cost, juste derrière FlixTrain, son équivalent allemand appartenant au groupe Flix Mobility, l’opérateur de FlixBux également. Très critiquée sur ce point des tarifs, jugés trop élevés, par ses clients, la SNCF se classe effectivement en 20e place, sa filiale Eurostar arrivant carrément en 26e place avec des prix moyens deux fois supérieurs à la moyenne des billets de train en Europe. L’opérateur ferroviaire britannique Great Western Railway (GWR) est toutefois celui qui propose les billets les plus chers selon l’étude. A noter que la Deutsche Bahn fait un tout petit peu mieux que la SNCF sur ce plan tarifaire, en 19e position.
Concernant l’expérience de réservation sur leur plateforme et l’ouverture à la distribution sur d’autres sites Internet - qui représentent 15% du score final -, SBB, la DB et l’ÖBB arrivent en tête. Eurostar fait un peu mieux que sa maison mère, 8e et 9e, tandis que Ouigo pointe à la 18e place. T&E estime que pour développer les déplacements en train en Europe, la réservation se doit d’être « efficace, flexible et ergonomique » . Et de préciser que le prochain règlement européen consacré à la réservation et la billetterie unique prendra en compte cette expérience de réservation. « Ce texte législatif à venir aidera les passagers à réserver des billets transfrontaliers et multi-opérateurs tout en bénéficiant de tous les droits des passagers de l’UE en cas de retard » , précise l’organisation.
Le classement concernant la ponctualité ne joue également pas en faveur de la SNCF et de ses filiales. Si les CFF suisses, la SNCB et la Renfe trustent le trio de tête, suivies des NF et de Trenitalia, la SNCF se classe en effet en 11e place, Ouigo et Eurostar en 13e et 14e rang, avec des notes inférieures à 5 sur 10. A noter également la très mauvaise position de la DB, en 23e position, qui paye le manque de régularité de ses trains. A noter que Trenitalia affiche des résultats nettement meilleurs qu’Italo (5e contre 19e), alors que les deux compagnies opèrent sur le même réseau à grande vitesse en Italie.
Seuls 11 opérateurs sur 27 possèdent une ponctualité supérieure à 80%. Pour améliorer ces chiffres, T&E insiste sur la nécessité d’entretenir les réseaux ferroviaire et d’investir dans la signalisation et plus particulièrement le système ERTMS qui permettra de faire rouler davantage de trains sur les réseaux ferroviaires tout en améliorant la ponctualité. Pour peu que « les opérateurs ferroviaires investissent dans du matériel roulant neuf et moderne » , souligne T&E.
Petite consolation pour la SNCF, elle se classe première avec une note de 10/10 pour le confort à bord durant le voyage, devançant Trenitalia et la DB. Ce classement repose sur plusieurs critères dont la présence du wifi, les choix de restauration, l’existence de prises électriques et la vitesses des trains. Surprise, la SNCB arrive en dernière position parmi les 27 opérateurs passés au crible par T&E. La compagnie belge pourra se consoler en étant celle qui propose le meilleur service… aux cyclistes !
T&E achève son analyse en émettant plusieurs recommandation pour améliorer la vente de billets de train en Europe et pour décarboner les transports en Europe. Le premier est que l’Union européenne oblige « tous les opérateurs ferroviaires à autoriser les distributeurs de billets à revendre les billets à des conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires » . La seconde est un allongement des délais de réservation avec une ouverture à la vente des billets « au moins six mois à l’avance« . Dans le cadre de l’ouverture du marché ferroviaire à la concurrence, « l’UE et les États membres devraient réduire les péages ferroviaires pour baisser les coûts d’exploitation afin de soutenir les nouveaux services ferroviaires ». La question des prix pour accroître les ventes est cruciale.
T&E propose l’instauration de tarifs spéciaux pour certaines clientèles comme les familles et milite pour une baisse de la TVA applicable aux billets de train. « Les opérateurs ferroviaires devraient [aussi] indemniser les voyageurs en cas de retard de plus de 15 minutes et rembourser intégralement les billets lorsque le retard dépasse 60 minutes ». Enfin, le plus couteux, « l’UE et les États membres devraient investir dans l’entretien, la modernisation et la numérisation du réseau ferroviaire pour améliorer la fiabilité ». Le prochain budget de l’UE et la révision à venir de la Connecting Europe Facibility (CEF) représentent une opportunités pour faciliter le financement de ces travaux. Tandis que les compagnies sont invitées « à rénover le matériel roulant existant et à acheter de nouveaux trains, en particulier pour les services de nuit ».
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Avec une capacité en hausse de 10% à l'été 2025, Brussels Airlines proposera l'offre la plus importante de son histoire vers l'Afrique subsaharienne.
L'Association IATA se plaint que les ruptures des chaînes d'approvisionnement des constructeurs aéronautiques et filiales posent de plus en plus un challenge écologique et économique aux compagnies.
2025 pourrait être moins « glamour » que prévue pour les compagnies aériennes. C’est la prédiction qu’avance désormais l’Association internationale du transport aérien (IATA). L’association, par la voix de son virulent directeur général Willie Walsh, s’attend en effet à ce que de graves problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement affectent de nouveau les performances des compagnies aériennes en 2025. Dans sa boule de cristal, IATA voit des augmentations des coûts d’exploitation et une limitation de la croissance.
IATA n’a pas totalement tort. Les délais dans la chaîne d’approvisionnement des avionneurs signifie en effet moins d’avions livrés ainsi que moins d’efficacité écologique et donc économique avec la prolongation de vie d’avions plus gourmands en carburant. IATA quantifie précisément ce surcoût dans un rapport.
L’âge moyen de la flotte mondiale a atteint cette année le chiffre record de 14,8 ans, ce qui représente une augmentation significative par rapport à la moyenne de 13,6 ans pour la période 1990-2024. Les livraisons d’avions ont fortement chuté depuis le pic de 1 813 appareils atteint en 2018. L’estimation des livraisons pour 2024 est de 1 254 avions, soit un déficit de 30 % par rapport aux prévisions de début d’année. En 2025, les livraisons devraient s’élever à 1 802, bien en-deçà des prévisions antérieures. Elles s’établissaient en effet à 2 293 livraisons. De nouvelles révisions à la baisse en 2025 sont largement considérées comme possibles.
Le carnet de commandes (nombre cumulé de commandes non honorées) pour les nouveaux avions a atteint 17 000 appareils. Ce qui, selon IATA, constitue un record. Au rythme actuel des livraisons, il faudrait 14 ans pour le remplir. C’est plus du double du retard moyen pour la période 2013-2019. Avant le Covid, le délai de livraison s’élevait en effet à 6 ans. Toutefois, le temps d’attente devrait se raccourcir à mesure que les taux de livraison augmentent.
Le nombre d’avions « parqués » représente 14 % de la flotte totale. Soit 5 000 appareils sur les 35 166 aéronefs recensés en décembre 2024. Bien que la situation se soit améliorée récemment, le nombre d’avions en stationnement reste supérieur de 4 points aux niveaux antérieurs à la pandémie. Ce qui représente environ 1 600 avions. Plus inquiétant, près de 44% des avions à l’arrêt le sont pour des moteurs défectueux. Ce qui représente plus de 700 appareils. IATA estime que la situation va perdurer en 2025.
« Les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement frustrent toutes les compagnies aériennes, avec un triple impact sur les recettes, les coûts et les performances environnementales. Les coefficients de remplissage atteignent des niveaux record et il ne fait aucun doute que si nous avions plus d’avions, ils pourraient être déployés de manière rentable, ce qui compromet nos recettes. Pendant ce temps, la flotte vieillissante que les compagnies aériennes utilisent a des coûts de maintenance plus élevés. Elle consomme plus de carburant et nécessite plus de capital pour la maintenir en état de vol. De plus, les tarifs de leasing d’avion ont augmenté plus rapidement que les taux d’intérêt. Et celà, en raison d’une concurrence entre les compagnies aériennes pour augmenter leurs capacités », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.
IATA note que cette situation génère en partie deux évolutions négatives.
« L’ensemble du secteur de l’aviation est uni dans son engagement à atteindre des émissions nettes de carbone nulles d’ici 2050. Les compagnies aériennes doivent supporter le plus gros du fardeau pour réaliser cet objectif. Les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement en sont un bon exemple. Les fabricants laissent ainsi tomber leurs clients. Ce qui a pour effet direct de ralentir les efforts déployés par les compagnies aériennes pour limiter leurs émissions de carbone. Si les constructeurs d’avions et de moteurs pouvaient régler leurs problèmes et tenir leurs promesses, nous aurions une flotte aérienne plus économe en carburant », a déclaré M. Walsh.
Quant aux passagers d’affaires, ils devront voler sur des avions plus anciens, donc plus bruyants. Et, de surcroît, en payer probablement le coût…
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Depuis 30 ans, Eurostar rapproche les personnes grâce aux liaisons à grande vitesse établies entre les plus grandes villes d’Europe. Et depuis le 4 novembre, la marque propose trois nouvelles classes de voyage : Eurostar Standard, Eurostar Plus, Eurostar Premier. Parmi elles, Eurostar Premier, entièrement repensée pour offrir une sensation de liberté inégalée.
Eurostar a également revu son offre pour les voyageurs d'affaires, qui bénéficient maintenant d’une flexibilité et d’un confort absolus.
Eurostar lance trois nouvelles classes de voyage pour présenter une offre unique et uniformisée sur l'ensemble de son réseau.
Eurostar Standard
Voyages rapides et flexibles pour rejoindre les villes les plus incontournables d’Europe.
Eurostar Plus
Plus d'espace, plus de confort et un repas léger* pendant le trajet.
Eurostar Premier
L’expérience signature d’Eurostar conçue pour les voyages professionnels ou personnels.
Sélection unique de vins**, associations audacieuses et saveurs percutantes : les voyageurs peuvent s'attendre à une expérience gustative comme aucune autre.
Créativité, savoir-faire et écoresponsabilité sont au menu de cette collaboration exclusive de chefs, pâtissier·es et sommelier·es avant-gardistes.
À l'origine des plats qui seront servis à bord, Jeremy Chan, un jeune chef britannique. Sa cuisine met à l'honneur des produits de saison, issus de sources locales et écoresponsables.
Pour la carte des desserts, c'est Jessica Préalpato, jeune cheffe pâtissière française qui a été choisie. Nommée World’s Best Pastry Chef en 2019, elle a privilégié les saveurs naturelles sans sucres ajoutés pour réconcilier gourmandise et équilibre.
Côté boisson, c'est Honey Spencer qui régale. Cette sommelière britannique offre aux voyageurs Eurostar une sélection électrique de vins bio et Champagne Fleury Biodynamique.
Les entreprises peuvent réserver directement via Eurostar ou par l’intermédiaire d’une agence de voyages. Eurostar propose également une gamme de tarifs corporate pour répondre aux besoins de toute sa clientèle d’affaires.
Pour tous leurs trajets, les voyageurs d'affaires bénéficieront des avantages suivants :
Sur tout le réseau Eurostar, les clients d'affaires bénéficient d'une souplesse d'accès à la journée et peuvent emprunter n’importe quel train le jour du départ lorsqu'ils voyagent en Eurostar Premier*.
Sur les routes entre la France, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne, les voyageurs peuvent empruntez le train avant ou après celui initialement réservé lorsqu'ils voyagent en Eurostar Standard ou en Eurostar Plus***.
Les lounges réservés aux clients Eurostar Premier ont été rénovés pour garantir un plus grand confort. Chacun d’entre eux a été pensé par des architectes locaux pour refléter l'ambiance de leur ville respective.
Les client.es pourront y profiter d'un moment privilégié dès l’arrivée : cocktails inédits préparés en quelques minutes, presse, canapés confortables, ambiance calme, confort et intimité… tout a été pensé dans les moindres détails pour satisfaire une clientèle d’affaires exigeante.
*Disponible uniquement sur les routes vers et depuis Londres
**L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
***Sous réserve de disponibilité. Le client doit voyager le même jour et sur la même ligne que ceux de sa réservation initiale. Placement ou repas en Eurostar Premier non garantis.
Source : https://www.deplacementspros.com/
Les ETA (Electronic Travel Authorization) deviennent la nouvelle norme pour voyager. L'Australie fut la première à lancer cette formalité, suivie par les Etats-Unis, le Canada, ou encore Singapour et bientôt le Royaume-Uni pour les Européens. L'UE est sur les rangs, mais rencontre des difficultés.
C’est devenu la nouvelle norme pour les voyageurs ayant la possibilité de se rendre dans un pays sans visa particulier : l‘Autorisation de Voyage Electronique (Electronic Travel Authorization). Ce formulaire en ligne permet à l’autorité du pays réceptif de stocker des données sur un voyageur, l’ETA remplaçant en quelque sorte la fiche qu’un voyageur devait remplir avant d’entrer dans un pays dans le passé.
L’ETA s’apparente donc à une autorisation d’entrée. Avec la facilité de tout remplir électroniquement depuis chez soi ou son bureau. Et de passer en quelques minutes les frontières à l’arrivée muni généralement d’un QR code généré par l’ETA.
La France en tête des passeports passe-partout
Cette souplesse de formalité est généralement réservée aux voyageurs exemptés de visa. Néanmoins, certains pays – comme par exemple le Cambodge – exigent désormais d’avoir cette autorisation avant l’arrivée sur son sol, visa ou pas, tandis qu’au Kenya comme au Sri Lanka, l’ETA correspond de fait à un visa. Une curiosité néanmoins pour le Mexique : dans les aéroports, les voyageurs français obtiennent bien leur visa – gratuit – à l’arrivée ainsi qu’un Formulaire Migratoire Multiple (FMM) électronique. Généré automatiquement, il devra cependant être imprimé pour tout passage par une frontière terrestre.
Les législations variant grandement d’un pays l’autre, il est donc indispensable de bien regarder quelles sont les règles d’entrée sur le territoire de destination. Les compagnies aériennes envoient généralement des messages rappelant quelles sont les formalités obligatoires. Sur le site du ministère des affaires étrangères et européennes du gouvernement français, une page dédiée aux formalités fournit toutes les mises à jour.
Jusqu’à présent, les voyageurs d’affaires européens devaient surtout remplir une ETA pour l’Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada) ou pour la zone pacifique (Australie et Nouvelle-Zélande).
L’Australie a été le premier pays au monde à lancer une ETA. Les premiers tests débutèrent en 1996 avec Singapour. La pratique s’est généralisée à partir de 2001. L’Australie applique ainsi deux types d’ETA. Celui pour les ressortissants de l’Union Européenne est le plus simple. Appelé Evisitor, il est gratuit et délivré en ligne en généralement 24 heures.
Le modèle australien a été suivi depuis une dizaine d’années par les pays suivants : Cambodge, Canada, Corée, Etats-Unis, Kenya, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Seychelles, Singapour et Sri Lanka. En 2024, la Malaisie et le Cambodge ont rendu obligatoire l’obtention d’une autorisation électronique de voyage pour les voyageurs européens. En 2025, Israël, Royaume-Uni et Thaïlande introduiront à leur tour une ETA pour les visiteurs exemptés de visa ou bénéficiant d’un visa gratuit.
Pour le Royaume-Uni, le programme UK-ETA devient universel dès janvier 2025 après avoir été testé depuis un an avec certains ressortissants du Golfe. Cette formalité concernera 49 pays mais elle se fera graduellement.
Si les citoyens du Canada ou des Etats-Unis devront obtenir une ETA avant leur arrivée dès le 8 janvier, les citoyens de l’Union Européenne sont tranquilles jusqu’au 2 avril. A cette date, ils devront – Irlande exceptée – se munir aussi de la fameuse autorisation. Il en coûtera 10 £, sera délivré en un maximum de temps de trois jours et aura une validité de deux ans. Cependant, tout changement de passeport impliquera une nouvelle demande.
L’Europe travaille également sur l’introduction à la fois d’un visa et d’une autorisation préalable de voyage électroniques. Elle concerne les ressortissants autres que ceux de trente pays européens (26 Etats de l’UE + l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse). En gestation depuis 2016, l’ETIAS devrait faciliter les entrées sur le territoire de l’Europe et sera valable trois ans.
L’autorisation préalable ETIAS se double cependant de l’EES. Il s’agit dans les faits d’un système d’entrée/sortie informatique automatisé, installé pour renforcer les frontières externes européennes. Il remplace en fait le coup de tampon sur le passeport. L’EES compte des données enregistrées dans la base ETIAS, le document de voyage utilisé, ainsi que la date et le lieu d’entrée et de sortie.
Le système servira surtout à mieux contrôler les mouvements migratoires. Il enregistre en effet les ressortissants de pays tiers chaque fois qu’ils franchissent les frontières extérieures des pays européens participant à l’ETIAS. L’EES sera automatique, et ne demandera aucune formalité supplémentaire au voyageur.
Idéaux dans leur conception, les deux programmes se heurtent pourtant depuis le début à des problèmes techniques. Mais aussi parfois aux atermoiements des pays impliqués dans ce système. Aussi l’ETIAS-EES a été repoussé au moins à 5 reprises depuis sa potentielle mise en place en 2021. Non seulement des difficultés techniques impliquant des défaillances des systèmes, mais aussi la protection des données, des problèmes dans la mise en place de l’EES, ont repoussé le lancement.
Prévu en juin 2024, la France a réussi à obtenir un délai supplémentaire avec la tenue des Jeux olympiques. Le lancement avait été alors reporté au 10 novembre. On a appris depuis que ce ne serait pas avant la mi-2025. Il semblerait qu’il continue d’y avoir des incompatibilités entre les systèmes de données de l’ETIAS et de l’EES…
Si les ETA sont bien synonymes de simplification des formalités de voyages, le tout digital peut tourner parfois au casse-tête. La semaine dernière, les passagers se rendant aux Etats-Unis depuis l’Europe ne pouvaient produire leur autorisation d’entrée sur le territoire américain à cause d’une panne du système. Panne qui a duré deux heures. Le site ESTA annonçait du reste une maintenance de nouveau le 13 novembre entre 7 heures et 9 heures du matin heure européenne. Coup de chance: peu d’avions partaient pour les Etats-Unis depuis l’Europe à ces heures-là !
On l’appelle le Trusted Traveler Program au Japon. Lancé en 2020, ce programme est dédié aux voyageurs « dignes de confiance » selon des critères définis par les autorités japonaises. Par « digne de confiance », le Japon considère les ressortissants de pays exemptés de visa venant pour un court séjour. Et qui n’ont jamais commis d’acte illégal ou illicte au Japon, ayant entraîné une amende, injonction ou expulsion du pays.
S’y ajoutent également l’un des critères suivants: -Etre responsable au sein d’une entreprise ou être employé à plein temps dans le cadre d’un déplacement d’affaires.
Quelle est la récompense, une fois les formalités d’enregistrement au programme accomplies pour le « Trusted Traveler »? La possibilité d’utiliser les passages automatiques de frontières dans tous les aéroports du pays sans tampon pendant une durée de trois ans grâce à une carte délivrée par les autorités. Le jeu en vaut-il vraiment la chandelle?
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
OUVERTURE DES VENTES HIVER 2025
Le 13 novembre, TGV INOUI et INTERCITÉS ouvrent les réservations pour des voyages du 9 janvier au 30 mars 2025. Les destinations européennes et certains TGV INOUI sont quant à eux sont ouverts jusqu’au 4 juillet 2025.
OUVERTURE DES VENTES TGV INOUI À 6 MOIS
Afin de permettre à vos clients de pouvoir réserver leurs billets TGV INOUI le plus en amont possible, SNCF Voyageurs expérimente pour la première fois une ouverture des ventes de billets pour les trajets en TGV INOUI entre Paris-Lyon, Paris-Marseille et Paris-Montpellier pour des circulations valables dans les 6 prochains mois.
Les billets des TGV INOUI des trajets suivants, pour les circulations du 9 janvier au 4 juillet 2025, seront donc disponibles à la vente dès le 13 novembre prochain
• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Lyon Part-Dieu / Lyon Perrache direct et y compris vers St Etienne Châteaucreux dans les deux sens de circulation
• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Marseille Saint Charles direct y compris vers Nice Ville, Toulon et Hyères dans les deux sens de circulation
• TGV INOUI Paris Gare de Lyon – Montpellier Sud de France / Montpellier Saint Roch direct y compris vers Perpignan dans les deux sens de circulation.
Source : www.feria.sncf.com
A l’occasion de la présentation d’une nouvelle étude sur le poids socioéconomique du transport aérien en France, la FNAM a réaffirmé sa volonté de riposter contre la hausse des taxes aériennes annoncées par le gouvernement. Une adoption partielle du texte a été votée à l’Assemblée nationale, limitant son champs d’application.
Commandée auprès de Deloitte avant les annonces du premier Ministre, Michel Barnier, la FNAM et Air France ont présenté ce matin une étude sur le poids socioéconomique du transport aérien. Selon cette dernière, les aéroports français (172 au total) ont enregistré 4,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023 et employé directement 10 255 personnes. Des résultats qui augmentent si l’on prend en compte l’activité « commerciale » au sein des aéroports. Du côté des compagnies, le chiffre d’affaires s’élève à 18 milliards d’euros, pour 8 milliards d’euros de valeur ajoutée et 56 122 emplois directs. Au total, la filière représenterait près de 570 000 emplois en France et rapporterait 52 milliards d’euros de valeur ajoutée, soit 1,8% du PIB. Selon le cabinet d’étude, la filière du transport aérien en France génère également 12,2 milliards d’euros de recettes fiscales. « Dans ce contexte, nous ne comprenons pas l’objectif de l’Etat de taxer davantage le secteur, puisque cela ne va faire qu’affaiblir notre compétitivité », déclare Pascal de Izaguirre, Président de la FNAM lors d’une conférence de presse.
La Fédération nationale de l’aviation et de ses métiers pointe du doigt les récentes annonces du gouvernement et l’adoption partielle à l’Assemblée nationale du renforcement de la taxe de solidarité (TSBA). La FNAM prend pour exemple le modèle allemand qu’elle accuse être responsable du « déclin accéléré du secteur depuis le vote de nouvelles taxes, accélérant le nombre de fermetures de lignes et une perte de connectivité pour le pays ». Une politique de « taxation excessive » que les professionnels de l’aérien ne souhaitent pas voir appliquée en France, le justifiant par une perte de compétitivité et un manque à gagner pour investir dans la décarbonation.
> A lire aussi : Hausse des taxes aériennes : compagnies et aéroports organisent la riposte
Selon la FNAM, ce type de mesure va entrainer un report du trafic passagers dans d’autres aéroports européens. L’organisation professionnelle regrette que ce type de décision soit prise au niveau national et non pas européen ou mondial, afin de mettre sur un pied d’égalité les acteurs du secteur. Concernant l’argument du développement durable, Alexandre Boissy, directeur général adjoint d’Air France-KLM, réplique : « On bride le transport aérien en nous privant de ressources alors qu’on devrait justement nous soutenir dans cette transition pour investir dans la décarbonation. On applique une politique punitive du côté des voyageurs plutôt que responsabilisante et ça ne réglera aucun problème ».
A lire aussi : Edito – Air France-KLM invente la taxe préventive
Le 8 novembre dernier, l’Assemblée nationale a voté en faveur de la taxation renforcée en posant des limites par rapport au texte initial. En effet, sa durée d’application sera limitée à 1 an et les territoires ultramarins et insulaires comme la Corse, seront protégés. « En limitant à un an cette augmentation de la taxation et en excluant les Outre-mer et la Corse, les députés ont reconnu les risques qu’une telle mesure pouvait faire peser sur la compétitivité des compagnies françaises, qui sont déjà dans une situation économique fragile », a notamment déclaré Benjamin Smith, directeur général du groupe Air France-KLM, à l’issue du vote des députés. Malgré ces ajustements, la FNAM assure que la mobilisation reste de mise. Pour rappel, la SNPL, elle, appelle à un mouvement de grève national pour le 14 novembre. Un mouvement que la fédération nationale de l’aviation et de ses métiers estime « contre-productif », préférant « privilégier le dialogue ».
Source : https://www.deplacementspros.com/
Le Syndicat national des pilotes de lignes (SNPL), remonté contre le projet du gouvernement de prélever 1 milliard d’euros supplémentaire par an sur le secteur aérien, dans le cadre de la Taxe de Solidarité sur les Billets d’Avions (TSBA ou Taxe Chirac), appelle tous les pilotes de ligne à se mobiliser le 14 novembre prochain, avec l’ensemble des salariés du secteur de l’aérien, ayant déposé un préavis de grève « dans un premier temps » pour ce jour-là.
Le SNPL et les autres organisations syndicales du secteur aérien ont interpellé le gouvernement pour demander le retrait d’une telle mesure, qu’ils estiment catastrophique pour le secteur aérien français, regrettant qu’il demeure sourd aux mises en garde de l’ensemble des acteurs du secteur, qu’il s’agisse des compagnies aériennes, des aéroports, des organisations patronales et organisations syndicales de tous les salariés.
Source : https://www.deplacementspros.com/
Les syndicats cheminots de la SNCF appellent à une journée de grève le jeudi 21 novembre, annoncent-ils ce mardi, après une rencontre avec la direction du groupe ferroviaire pour évoquer le démantèlement de Fret SNCF et l'ouverture à la concurrence.
Tous les syndicats de la SNCF ont appelé à une grève de 24 heures jeudi 21 novembre ce mardi, à l'issue d'une rencontre avec la direction du groupe ferroviaire pour évoquer le démantèlement de Fret SNCF et l'ouverture à la concurrence. Dans un communiqué intitulé "l'heure est au conflit à la SNCF", la CGT-Cheminots, l'Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et la CFDT-Cheminots préviennent que cette journée de grève est "un ultimatum" avant "un mouvement de grève plus long et plus fort en décembre" si le gouvernement et la SNCF ne répondent pas à leurs revendications.
Source : https://www.francebleu.fr/
La SNCF ferme la ligne Paris-Lyon du 9 au 12 novembre
Pour permettre à SNCF Réseau de préparer la mise en service de la nouvelle signalisation de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Paris-Lyon, cette dernière sera fermée durant 4 jours, du 9 au 12 novembre 2024.
En conséquence, SNCF Voyageurs ajustera son plan de transport pour les TGV sur l'ensemble de l'axe Sud-Est. Les travaux nécessiteront une fermeture complète de la LGV Sud-Est, du vendredi 8 novembre à 23h jusqu'au mercredi 13 novembre 2024 à 4h, soit une interruption de 101 heures. Les circulations des TGV seront fortement perturbées pendant cette période, obligeant SNCF Voyageurs à adapter les trajets.
Le plan de transport des TGV (TGV INOUI et OUIGO Grande Vitesse) sera modifié, entraînant plusieurs impacts :
Source : https://www.tourmag.com/
Une étude du média américain BTN indique aussi qu’à l’issue d’un appel d’offres “TMC”, 50% des entreprises changent d’agences.
Un gestionnaire de voyages sur trois (31 %) qui a récemment lancé un appel d'offres pour une TMC déclare avoir accordé plus d'importance à la capacité technologique qu'au service, selon une nouvelle étude de BTN, qui révèle également un intérêt pour l'intégration de multiples outils et services technologiques.
Les résultats de l'enquête menée par BTN en septembre et octobre dernier auprès de plus de 150 responsables des voyages d'affaires et des achats en Amérique du Nord et en Europe peuvent être consultés dans leur intégralité dans le rapport Ecosystem Play récemment publié.
13% des entreprises interrogées ont déclaré qu'elles effectuaient actuellement un appel d'offres TMC, 43 % ont déclaré que leur organisation avait lancé un appel d'offres TMC au cours des trois dernières années, et environ la moitié d'entre elles ont changé de TMC à l'issue de ce processus.
Par ailleurs, 13 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles prévoyaient de changer d’outil principal de réservation en ligne au cours des 12 prochains mois, et 22 % l'avaient fait récemment. On peut donc en conclure que plus d’un tiers (35%), au minimum, des entreprises ne sont pas satisfaites de leur SBT.
La grande majorité des personnes interrogées (85 %) se procurent leur système de gestion des dépenses directement auprès du fournisseur, tandis que seulement 8 % font appel à leur TMC pour cette technologie. Par ailleurs, 40 % des acheteurs de voyages préfèrent s'approvisionner en technologie de gestion des réunions auprès de tiers, contre seulement 18 % qui le font par l'intermédiaire de leur TMC.
Dans ce choix entre recours aux fournisseurs en direct ou fourniture auprès de la TMC, les proportions sont beaucoup plus équilibrées pour : les outils de réservation en ligne (53 % et 43 % respectivement), les applications mobiles de voyage (38 % et 47 %) et la technologie de capture des réservations hors canal (13 % et 12 %). Les outils de réachat de billets d'avion et d'hôtels, cependant, sont en grande partie fournis par les TMC, avec respectivement 48 % et 43 % des acheteurs.
Source : www.deplacementspros.com