ALLAIN FABIENNE

ALLAIN FABIENNE

LAX, le hub de Los Angeles, inaugurera début 2026 le service Automated People Mover, connectant l'aéroport au réseau de métro. Bien avant l'ouverture des JO 2028.

Alors que Paris 2024 focalise l’attention, la prochaine destination hôte des Jeux Olympiques d’été se prépare à accueillir l’événement dans les meilleures conditions. En témoigne l’annonce d’un calendrier de mise en service pour la liaison ferroviaire entre Los Angeles et son aéroport LAX.  Baptisé Automated People Mover (APM), ce nouveau trait d’union entre la destination et son hub fera ses grands débuts en janvier 2026. La fin de la construction a d’ailleurs été fixée au 8 décembre.

Concrètement, la nouvelle liaison ferroviaire raccordera l’aéroport de Los Angeles au réseau de métro, via trois stations intégrées à la zone du terminal central, raccordant notamment LAX aux lignes C et K.  Et ce 24h sur 24, sept jours sur sept, avec une fréquence d’un train toutes les deux minutes durant les heures de pointe.

Les responsables du projet tablent sur un trafic annuel de quelque 30 millions de passagers, notamment grâce à la gratuité du service pour les voyageurs et leurs accompagnants, ainsi qui pour l’ensemble des salariés de l’aéroport.

L’inauguration du service Automated People Mover se traduira logiquement par un report modal de la voiture vers les transports en commun. Plus de 65 millions de km parcourus habituellement en voiture devraient ainsi être économisés chaque année d’après la direction de LAX.

« Ce projet va changer la donne pour les millions de voyageurs de l’aéroport de Los Angeles, ainsi que pour les habitants et les entreprises des quartiers environnants », assure Karim Webb, président du Board of Airport Commissioners de l’aéroport. De son côté, la maire de Los Angeles Karen Bass prévoit que « Ce projet va réduire le trafic sur nos autoroutes et dans nos rues, tout en apportant à Los Angeles des emplois syndiqués bien rémunérés. Ce train sera directement relié au réseau métropolitain, ce qui permettra à l’aéroport de Los Angeles d’accueillir les Angelenos et les visiteurs du monde entier dans des conditions de classe mondiale » poursuit-elle.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Le transporteur national polonais LOT reprend à partir de septembre sa desserte Lyon-Varsovie, suspendue depuis 2008. Une bonne nouvelle pour l'aéroport rhodanien qui retrouve une de ses lignes traditionnelles.

C’était un des rares vols qui reliait Lyon à l’Europe Centrale et Orientale. Déjà dans les années 70, LOT Polish Airlines effectuait deux vols par semaine à destination de Varsovie dans un Tupolev 134. Avec l’ancienne compagnie yougoslave JAT, LOT assurait alors le lien entre Lyon et ce qui constituait à l’époque le « bloc soviétique ».

La liaison Lyon-Varsovie avait été suspendue en 2008. Elle reprend finalement le 30 septembre prochain. LOT offrira en effet six vols par semaine depuis Lyon avec des horaires différents selon les jours. L’appareil effectuant la ligne sera un Embraer 195 avec une classe affaires et économique. La durée du vol sera de deux heures et 20 minutes.

A Varsovie, le hub de la compagnie, les passagers auront accès aux nombreuses correspondances vers les lignes domestiques polonaises, l’Europe centrale et orientale, le Moyen-Orient, les Etats-Unis ainsi que vers l’Asie. Le vol est prévu sur toute l’année. Lyon devient ainsi la troisième destination de la compagnie en France, après Paris-CDG et Nice.

La reprise de la ligne fait partie du plan stratégique d’expansion de la compagnie sur la période 2024-2028. Les réservations pour la nouvelle ligne sont déjà ouvertes à la vente.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

A quelques jours de l'ouverture des Jeux Olympiques, un vol Perth-Paris de la compagnie australienne Qantas a atterri à Paris-CDG. Pour une première liaison directe entre la France et l'Australie.

17h20 pour 14 264 km. C’est le temps que dure le nouveau vol qui relie depuis le 14 juillet Perth à Paris, exploité par la compagnie australienne Qantas. Celle-ci n’est pas une inconnue en France. Dans les années 90, elle avait exploité une liaison aérienne entre Paris et Sydney avec escale à Singapour.

Autre temps, autre époque : c’est la première fois que Paris est relié sans escale à l’Australie. Et de plus, à la ville de Perth, capitale de l’Etat d’Australie Occidentale. La nouvelle ligne permet de réduire d’environ trois heures le temps de trajet le plus rapide entre les deux villes. Il constitue aussi le plus long vol sans escale de la France vers le reste du monde.

Trois vols hebdomadaires après les J.O.

Dans un premier temps, les vols seront assurés quatre fois par semaine pendant l’été européen et les Jeux olympiques et paralympiques, avant de passer à trois vols hebdomadaires à partir de la mi-août. Il s’agit de la troisième ligne sans escale entre l’Australie et l’Europe, Qantas desservant déjà Perth depuis Londres Heathrow et Rome Fiumicino. « Ces dernières années, nous avons constaté une augmentation significative du nombre de clients souhaitant des vols directs sur des itinéraires long-courriers et évitant autant que possible les escales », a souligné Vanessa Hudson, PDG du groupe Qantas

Les passagers désireux de se rendre à Perth sur le vol sans escale devront pourtant prendre leur mal en patience. Sur les premières semaines, ce sont essentiellement les délégations olympiques australiennes qui rempliront les appareils. « Avec des liaisons fluides depuis Sydney, Melbourne, Brisbane et d’autres grandes villes, Perth sera la porte d’entrée de Paris sur l’Australie, a assuré Rita Saffioti, vice-premier ministre et ministre du tourisme de l’Australie-Occidentale. Qantas propose des liaisons vers plus de 60 destinations à travers le pays ».

Un service de bord d’exception

Un Boeing 787-9 Dreamliner assure le service. Spécialement conçu pour les voyages long-courriers, il offre aux passagers de larges fenêtres, un taux d’humidité élevé dans la cabine – ce qui permet d’atténuer l’effet jet-lag -, de même qu’un éclairage d’ambiance relaxant. Pour marquer le début des vols directs vers Paris, Qantas a lancé un certain nombre d’initiatives pour ses clients, notamment des pyjamas Martin Grant en édition limitée avec des trousses assorties et des menus élaborés par le chef Neil Perry pour la cabine Business. Les menus incluent des plats français classiques.

Qantas ne souhaite pas s’arrêter là et continuera d’investir à Perth. Le transporteur australien vient ainsi de conclure un accord avec l’aéroport afin d’y renforcer ses capacités, Qantas prévoyant d’ajouter 4,4 millions de sièges supplémentaires au départ et à destination de Perth d’ici à 2031.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

La cérémonie World Airline Awards du consultant aérien Skytrax a révélé quelles sont les meilleures compagnies aériennes au monde. Si les trois meilleures compagnies restent Qatar Airways, Singapore Airlines et Emirates, la compagnie Air France reste au top 10 et se classe même en seconde position en Europe derrière Turkish Airlines.

 

Comme chaque année, le consultant Skytrax, qui juge la qualité de toute la chaîne du voyage aérien allant des aéroports aux compagnies, révèle le résultat des meilleurs prestataires du secteur. Une classification établie grâce aux votes de voyageurs du monde entier. Pour cette édition 2024, plus de 21 millions d’avis provenant de passagers d’une centaine de nationalités ont participé à l’enquête Skytrax entre septembre 2023 et mai 2024.

On retrouve certes dans le top 10 un trio devenu classique et qui alterne chaque année leur position : Qatar Airways, Singapore Airlines et Emirates. De la quatrième à la dixième place se succèdent compagnies asiatiques et européennes : All Nippon Airways, Cathay Pacific, Japan Airlines, Turkish Airlines, EVA Air, Air France et Swiss. Plus loin dans le classement, British Airways est 13e, Iberia 15e et Lufthansa 18e. Parmi les compagnies nord-américaines, la meilleure reste Delta Air Lines, en 21e position. Elle est suivie par Air Canada (29e au classement).

Air France reste au top

Air France se distingue, même si la compagnie a perdu deux places entre 2023 et 2024, passant de la 7e à la 9e place. La compagnie a été cependant récompensée par trois premiers prix venant saluer l’excellence de son offre de produits et services. Pour la quatrième année consécutive, Air France est ainsi élue meilleure compagnie aérienne pour la région Europe de l’Ouest. La compagnie obtient par ailleurs la première place dans deux catégories liées à son offre La Première : meilleure offre gastronomique proposée dans un salon de première classe et meilleure restauration à bord dans cette cabine de voyage.

« Nous sommes très fiers d’obtenir ces prestigieuses distinctions qui viennent à nouveau saluer l’excellence de notre savoir-faire à chaque étape du voyage et notre rôle d’ambassadeur de la gastronomie française. Nous maintenir parmi les dix meilleures compagnies au monde de ce classement de référence est également un encouragement à poursuivre nos efforts pour toujours mieux satisfaire nos clients. » Fabien Pelous, directeur de l’expérience client Air France.

Air France entend d’ailleurs poursuivre l’amélioration de son offre La Première. Cet été, la compagnie inaugure un nouveau parcours exclusif et privatif en aéroport, grâce à la création d’un nouveau vestibule et de vastes suites. L’hiver prochain, elle dévoilera une toute nouvelle cabine La Première totalement repensée. Côté transporteurs low-cost, un autre cocorico : Transavia est arrivée en 5e position, derrière Air Asia, Scoot, Volotea et Flynas.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

L’été est là et avec lui les envies de voyager. Cette année, nous prévoyons une saison estivale très animée. Aussi pour vous aider, ainsi que vos clients, à bien préparer les voyages d’été, nous avons rassemblé ici les informations les plus importantes : cela va des conseils d’initiés jusqu’aux rappels importants concernant les aéroports.

  • Enregistrement des coordonnées


Aidez-nous à contacter vos clients facilement en cas d’irrégularités de vols : pour cela entrez systématiquement les coordonnées du client dans le PNR à l’aide du format « SSR CTC ». Portable et mail à communiquer à votre agence UVET France

  • Réservation d’un créneau horaire aux postes de contrôle de sécurité


Dans de nombreux aéroports, les passagers ont la possibilité de réserver un créneau horaire pour le passage aux contrôles de sécurité, ce qui leur permet de réduire le temps d'attente à l’aéroport et de rejoindre sereinement la porte d'embarquement.

https://www.lufthansa.com/fr/fr/security-check-time-slot

  • Enregistrement en ligne


Recommandé (en ligne via l’application ou le site Internet de la compagnie effectuant le vol).
Notre conseil : munissez-vous du code de réservation du vol réservé ou le numéro de billet, car ces informations serviront d'identifiant lors de l’enregistrement en ligne.

  • Prévoir suffisamment de temps à l’aéroport


Les voyageurs devraient prévoir suffisamment de temps à l'aéroport, en particulier s'ils ont des bagages à enregistrer.

Et pour obtenir encore plus d’informations et de conseils pratiques, nous vous invitons à consulter la page suivante :
Nos conseils et services pour des voyages sans stress

https://business.lufthansagroup.com/fr/fr/news/tips-and-services.html?utm_medium=email&utm_source=nl-experts

Source : https://www.lufthansaexperts.com/

À compter du 26 juin 2024 (date d’émission du billet), les compagnies de Lufthansa Group introduiront un nouveau supplément pour tous les vols au départ d’un pays de l’Union européenne, de Grande-Bretagne, de Norvège et de Suisse, pour des voyages à partir du 1er janvier 2025.*

L’Environmental Cost Surcharge (supplément environnemental) s’applique :

  • à chaque segment de vol Austrian Airlines / Brussels Airlines / Eurowings / Lufthansa / SWISS / Air Dolomiti / Discover Airlines / Edelweiss / Lufthansa City Airlines / Lufthansa CityLine (opéré et commercialisé par OS/SN/EW/LH/LX/EN/WK/4Y/VL/CL ou des partenaires de wet lease)**
  • aux billets OS/SN/LH/LX/EN (257/082/220/724/101)
  • à tous les canaux de distribution


Le supplément sera automatiquement calculé avec un code de taxe YQ (YQ-F) et inclus dans le prix du billet à son émission.

Ce supplément est destiné à couvrir les coûts additionnels issus des réglementations environnementales telles que le mandat SAF (carburant d’aviation durable) de l’Union européenne (« ReFuelEU Aviation »), les adaptations du système d’échange de quotas d’émission (SEQE-UE) ainsi que d'autres coûts liés à la réglementation.

*Le supplément s’applique à tous les points de vente, à l’exception des billets vendus en Iran (POS : IR), des voyages ayant pour point de départ Hong Kong (POC : HK) et des séjours débutant ou prenant fin au Japon.

**Les réservations Eurowings sans billet ne sont pas soumises à ce supplément.

 

Source : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Accor réunit les représentants de 17 entreprises internationales autour d'un conseil consultatif chargé de penser au futur du MICE et du voyage d'affaires.

Depuis la pandémie, la direction Europe du Nord du groupe Accor avait pris l’habitude de réunir ses clients grands comptes lors de l’événement Masters of Travel. Une façon de prendre le pouls des évolutions d’un voyage d’affaires encore chancelant auprès d’acteurs de nombreux secteurs venus entre autres d’Allemagne, du Royaume-Uni, de Suède ou de Pologne.

L’hôtelier français va aujourd’hui plus loin en lançant un conseil consultatif international visant à redéfinir le voyage et les réunions d’affaires : le Global Leadership Council (GLC). Une instance de réflexion qui a pour objectif, selon Accor, « de tirer des enseignements précieux qui permettront de définir des stratégies exploitables visant à stimuler et à transformer le voyage d’affaires à l’échelle mondiale« .

Dans ce cadre, ce conseil réunit la direction du groupe et des responsables et acheteurs de déplacements professionnels de 17 multinationales représentant différents secteurs tels que les services financiers, l’ingénierie, l’industrie manufacturière, les transports, l’énergie, les services professionnels ou encore les technologies. Un ensemble qui pèse pour plus de 2,7 millions de voyageurs professionnels. « Le GLC est un forum essentiel où partager des idées et collaborer à l’élaboration de solutions répondant aux besoins évolutifs des voyageurs d’affaires et de ses membres« , a commenté Sophie Hulgard, directrice des ventes de Accor et coordinatrice du GLC.

Ce conseil consultatif s’est réuni pour la première début juin à Paris avec des échanges axés autour de l’évolution des attentes des entreprises et des voyageurs et des tendances montantes du voyage, de l’intérêt grandissant pour le développement durable ou encore du rôle « significatif » de la distribution et de la tarification. Une rencontre qui a aussi donné à Accor de mettre en valeur ses atouts, notamment son programme de fidélité B2B ou la marque Sofitel, hôte de l’évènement.

Si le groupe français devrait publier un rapport plus détaillé plus tard dans l’année, l’ensemble des membres du conseil se sont accordés sur les trois principales priorités en matière de voyages d’affaires à leurs yeux. Tout d’abord l’expérience des voyageurs à travers une bonne communication entre les collaborateurs des entreprises clientes et Accor, l’efficacité numérique de même que leur bien-être et leur sécurité. Sans surprise, les deux autres priorités concernent, l’une la gestion et l’optimisation des coûts – à travers le respect des programmes et des conditions tarifaires et la prévention des frais -, et l’autre la RSE, entre réduction des émissions de CO2, initiatives durables, diversité et inclusion.

« Les voyages d’affaires connaissent actuellement une profonde transformation, décrit Karelle Lamouche, directrice générale de la division Premium, Milieu de gamme & Economique de Accor. En effet, les voyageurs d’affaires recherchent aujourd’hui plus que l’efficacité et le confort : ils privilégient l’éco-responsabilité, les expériences personnalisées et une intégration harmonieuse des technologies ».

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Le Terminal 1 de l'aéroport de Marseille Provence, qui accueille l'ensemble des compagnies aériennes traditionnelles, bénéficie d'une aérogare rénovée et agrandie qui intègre l'élégante bâtisse historique de l'architecte Fernand Pouillon.

Un bâtiment unique intégrant désormais les halls A et B avec un parcours simplifié pour le passager ; une aérogare qui a gagné 22 000 m2 de plus : voici ce à quoi ressemble le Terminal 1 de l’aéroport de Marseille-Provence, inauguré ce 19 juin. Trois ans de travaux ont été nécessaires pour transformer l’aérogare historique de 1961, dessinée par l’architecte Fernand Pouillon qui reconstruisit également le quartier du Vieux-Port autour de la mairie de Marseille, suite aux destructions de la seconde guerre mondiale.

Conçue par les architectes du cabinet Foster + Partners et de Rougerie + Tangram, la nouvelle aérogare, avec son bâtiment central, a coûté 210 millions d’euros. Elle s’étend désormais sur 50 000 m² et a été conçue pour simplifier le parcours du passager. Par exemple avec un système central de contrôle de sécurité doté de 18 postes d’inspection. S’appuyant sur une technologie nouvelle, ceux-ci permettent aux voyageurs de laisser tout leur matériel électronique ou des liquides dans un bagage. Une réelle économie de temps donc.

 

 

De la même manière, les bornes en libre-service dans le hall des départs permettent d’enregistrer ses bagages plusieurs heures à l’avance. Au total, les autorités estiment qu’un passager peut effectuer ces démarches d’enregistrement en 10 minutes.

A l’arrivée, un nouveau tri des bagages entièrement automatisé offre une capacité de 4 000 bagages traités par heure. Soit deux fois plus qu’avant les travaux. Ce qui lui laissera tout loisir de découvrir une zone commerciale rénovée et qui évoque la Provence par ses couleurs, les matériaux employés et des marques locales.

Les travaux ne s’arrêteront pas là. Le prochain chantier sera la rénovation du terminal MP2, dédié aux vols low-cost. Avec à terme, une capacité de traitement pour 12 à 13 millions de passagers contre plus de 10 millions de passagers accueillis en 2023.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Depuis le 4 juin, Air France et KLM proposent une nouvelle grille de tarifs pour les excédents bagage, avec une augmentation tarifaire en trois étapes.

Les bagages sont une source de juteux revenus pour les compagnies aériennes. Depuis plusieurs années, leur transport en soute revient de plus en plus cher pour le passager. Commençons cependant par une bonne nouvelle, assez rare dans le transport aérien actuel. Air France-KLM a de fait décidé de réviser le montant des excédents à payer en aéroport sur un bagage trop lourd. Au lieu d’un montant forfaitaire, une augmentation tarifaire en trois étapes sera appliquée. Chaque étape correspond à trois kilogrammes d’excédent bagages : 24-26 kg, 27-29 kg et 30-32 kg. Cette augmentation s’applique sur la franchise bagages standard mentionnée sur le billet.

Cette nouvelle grille de tarifs d’excédent bagages s’applique aux clients qui voyagent en classe Economy, Premium Economy et Premium Comfort sur des vols commercialisés et opérés par Air France ou KLM. Et uniquement en dernière minute. Cela signifie que ce tarif s’applique uniquement au comptoir d’enregistrement de l’aéroport. Si le vol est commercialisé par Air France-KLM, mais néanmoins opéré par une autre compagnie aérienne, ce même forfait s’applique.

Grâce à cette nouvelle grille tarifaire, le montant sur les excédents bagages à payer pour les trois premiers kilos est environ 70 % moins cher que le forfait traditionnel.

Les bagages en soute coûtent plus chers

Cependant, le groupe aérien a également modifié les tarifs bagages achetés plus de 24h avant le départ. Et il en coûtera plus cher pour le passager. Les deux compagnies appliquent une augmentation comprise entre 5 et 10 euros sur les vols court- et moyen-courriers. Sur les lignes Air France et KLM long-courriers (hors les liaisons sur l’Amérique du Nord et Tahiti), le passager s’acquittera d’un tarif majoré de 10 euros.

Les clients achetant un bagage supplémentaire en plus de leur franchise standard paient le « meilleur prix », de 365 jours jusqu’à 8 jours avant le départ. Un bagage supplémentaire acheté entre sept jours et 24H avant le départ coûte cependant 5 euros de plus. En haute saison, les deux compagnies facturent 5 euros supplémentaires.

Les clients SkyTeam Elite et Elite Plus, dont les membres de Flying Blue aux statuts Elite et Elite Plus, peuvent toujours mettre gratuitement en soute un bagage supplémentaire. Les membres Flying Blue Explorer continuent de bénéficier de 10% de réduction sur leur premier bagage en soute acheté plus de 24H avant le départ sur des vols commercialisés et opérés par Air France et/ou KLM. Malheureusement, il est impossible de donner ici une grille tarifaire des différents forfaits bagages. En effet, le prix varie selon la destination et le type de classe. Il n’apparaît que sur une réservation individuelle.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

DÉSACTIVATION DE L'URL GARANTIE G30 

Lors de son évolution dans la gestion du Rail Passenger Rights Regulation (PRR), SNCF Voyageurs a mis en place une première évolution relative à l’indemnisation.

Cette évolution modifie le parcours client de façon à permettre le dépôt d’une demande d’indemnisation avec un billet direct par le client lui-même et son traitement par le Service Client SNCF Voyageurs, en automatique ou en manuel pour les cas complexes (Éligibilité puis remboursement).

L’ancien lien G30 est maintenant désactivé et renvoie les clients vers le BOT TOUTOUI à l’URL suivante : https//tout-oui.sncf.com

 

BONNES PRATIQUES 


ANTICIPER LES DÉPLACEMENTS PENDANT LES JEUX OLYMPIQUES DE PARIS 2024

Afin de voyager dans les meilleures conditions possibles durant la période des JO et JOP de Paris 2024, nous vous informons des précautions à prendre durant cette période, au départ ou à l'arrivée des gares parisiennes :

  • De privilégier les transports en commun ferrés (métro, RER) pour se rendre en gare
  • De prévoir un temps de parcours supplémentaire par rapport au temps de trajet habituel pour se rendre en gare
  • De prévoir un temps de correspondance* entre deux trains dans une même gare ou entre deux gares parisiennes suffisamment long étant donné l’affluence dans les transports en IDF et les conditions de circulation difficiles dans Paris durant la période*Conformément à cette préconisation, des allongements de temps de correspondance ont été mis en place sur les outils de distribution : +20 minutes pour les gares parisiennes et +30 minutes pour les correspondances concernant le dernier train de chaque relation au départ de Paris chaque soir.
  • De consulter les informations utiles à leurs déplacements, en consultant le site du Gouvernement L'important, c'est d'anticiper | Anticiper les Jeux https://anticiperlesjeux.gouv.fr/
  • De vérifier systématiquement les conditions d'accès aux gares situées dans Paris et en Ile de France
  • De renseigner impérativement les coordonnées clients (afin que les recontacts puissent se faire en cas de situation perturbée).

Source :  https://www.feria.sncf.com/

60 nouvelles lignes, dont plus de la moitié entre le Royaume-Uni, l'Europe et l'Afrique du Nord. C'est ce qu'annonce easyJet pour son programme d'hiver. Avec, notamment, un retour à Strasbourg.

EasyJet fait de nouveau le buzz en annonçant 60 nouvelles lignes aériennes cet hiver. Dont la moitié reliera le Royaume-Uni au reste de l’Europe et l’Afrique du Nord. Parmi les innombrables nouvelles lignes, on peut retenir le lancement de cinq routes vers l’Europe francophone. A commencer par Bâle-Mulhouse qui bénéficiera dès le 7 novembre de cinq fréquences hebdomadaires vers l’aéroport de Luton, au nord de Londres, les lundi, mardi, jeudi, samedi et dimanche.

 

Toujours en Alsace, easyJet annonce pour l’hiver son grand retour à Strasbourg, après plusieurs années d’absence. La compagnie lancera le 11 novembre trois vols par semaine vers Londres Gatwick (lundi,  vendredi et dimanche). Hors Royaume-Uni, le transporteur low-cost y desservira également Barcelone (2 x semaine à partir du 28 octobre), Nice (5 x semaine à partir du 28 octobre) et Naples (2 x semaine à partir du 9 décembre). EasyJet se positionne ainsi comme un concurrent redoutable à Volotea, déjà présente sur Barcelone, Londres Gatwick et Nice.

 

La SNCF va réserver 15 TGV M à sa filiale italienne qui exploitera les lignes Turin-Venise et Turin-Naples via Milan et Rome.

Après l’Espagne avec son offre low cost Ouigo, la SNCF va-t-elle dynamiter le marché de la grande vitesse ferroviaire en Italie ? Son conseil d’administration a en effet confirmé son projet d’implantation sur le sol italien à partir de 2026. Quinze rames des 115 TGV M commandés à Alstom seront dédiées à ce marché afin d’opérer 9 A/R quotidiens sur l’axe Turin-Milan-Rome-Naples via Florence et Bologne, et 4 A/R pour une ligne Turin-Venise via Brescia, Vérone et Padoue. L’opérateur français est déjà présent sur le Paris-Milan, ligne actuellement suspendue depuis des éboulements survenus dans la vallée de la Maurienne.

 

Avec ce futur service qui sera opéré par SNCF Italia, le groupe ferroviaire vise 15% de parts de marché dès 2030. Cela en faisant progresser le trafic global dans un pays où la grande vitesse ferroviaire ne pèse que 56 millions de voyageurs par an, contre 120 millions en France. La SNCF n’a pas dévoilé le type d’offre avec laquelle elle compte attaquer ce marché, mais on peut supposer que cette conquête s’effectuera à nouveau avec des trains Ouigo, ce segment étant non représenté à ce jour en Italie et le seul capable d’acquérir rapidement des parts de marché.

Fort de prix cassés, elle s’élève ainsi déjà à 20% pour Ouigo Espagne en 3 ans avec un taux d’occupation proche de 90%. L’équilibre financier de la branche espagnole est même attendu pour cette année. En Italie, la SNCF profitera de tarifs des péages ferroviaires inférieurs de 30% comparé au sol français. De quoi commercialiser des billets aux tarifs canons pour un lancement en fanfare en 2026…

Un retour pour la SNCF en Italie

En 2026, la SNCF effectuera ainsi son grand retour en Italie, sous ses propres couleurs cette fois. En effet, la compagnie ferroviaire française a été actionnaire à hauteur de 20% de Nuovo Trasporto Viaggiatori (NTV) dont elle était ressortie dès 2015 à la faveur d’une augmentation de capital. Unique concurrent à ce jour de Trenitalia, la cinquantaine de TGV Italo opérés par NTV font désormais voyager quelque 20 millions de passagers par an. L’armateur maritime italo-suisse MSC y a fait une entrée fracassante en 2023 en acquérant la moitié du capital.

Attaquée sur son sol par l’italienne Trenitalia, l’espagnole Renfe et demain par Le TrainProxima ou Kevin Speed, la SNCF trouve son salut à l’international dans le cadre de cette ouverture à la concurrence. Christophe Fanichet, le PDG de SNCF Voyageurs, vise ainsi les 50 millions de passagers transportés en Europe à l’horizon 2030 contre 30 millions aujourd’hui avec principalement les compagnies Eurostar (pour l’Angleterre, la Belgique, les Pays-Bas et l’Allemagne), Lyria (vers la Suisse) Ouigo Espagne et Alleo (Allemagne).

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

 

Le groupe de luxe LVMH apporte son soutien à Accor, à travers un investissement stratégique, pour accélérer la renaissance d'Orient Express.

Le groupe Accor peut compter sur un renfort de poids pour accélérer le développement de l’emblématique marque Orient Express : LVMH. Le leader mondial du luxe vient en effet de s’associer au renouveau de ce nom mythique du monde du voyage, relancé par l’hôtelier français à travers la création d’hôtels de prestige, d’une nouvelle génération de trains de luxe et de voiliers ultra VIP, baptisés Orient Express Silentseas.

Déjà amorcée, cette renaissance va se traduire par l’ouverture de deux premiers hôtels à Rome et à Venise dans les années à venir, la mise à l’eau en 2026 d’un premier voilier, actuellement en construction aux Chantiers de l’Atlantique, et le lancement sur les rails en 2025 des trains Dolce Vita en Italie. Avant de réécrire l’histoire de l’Orient Express sur la ligne Paris-Istanbul à partir de voitures originelles repensées par l’architecte Maxime d’Angeac.

Pour aller plus loin, LVMH a conclu avec Accor un investissement stratégique – dont le montant n’a pas été dévoilé – dans la marque Orient Express, la société opérant les futurs hôtels et trains ainsi que dans l’entité propriétaire des deux voiliers. Pour cette dernière activité, un troisième partenaire est également recherché en parallèle. « Aujourd’hui, avec LVMH, Orient Express ouvre un nouveau chapitre de cette formidable aventure avec l’ambition d’explorer de nouveaux horizons et d’incarner, l’audace et la passion créative qui nous animent », a déclaré Sébastien Bazin, PDG du groupe Accor, Bernard Arnault, le patron de LVMH assurant de son côté que « chacun de nos groupes apportera le meilleur de ses savoir-faire pour porter Orient Express au sommet de l’art de recevoir ».

Outre des moyens financiers, LVMH apporte son savoir-faire unique dans les produits et services de haute qualité, notamment dans l’univers du voyage. Car LVMH dispose aussi d’une offre similaire depuis l’acquisition en 2018 du groupe Belmond, comptant des trains de luxe, notamment le Venise Simplon-Orient-Express et le Royal Scotsman, et une trentaine d’hôtels parmi les plus luxueux au monde tels le Cipriani à Venise ou le Copacabana Palace à Rio. Un groupe Belmond connu jusqu’en 2014 sous le nom… d’Orient Express ! Il disposait en effet d’un accord de licence de long terme avec la SNCF, avant que la compagnie ferroviaire ne reprenne ses droits, se tourne vers Accor en 2017 pour relancer la marque, qui sera définitivement rachetée par l’hôtelier français en 2022.

L’accélération du développement d’Orient Express passera-t-elle par le retour dans son giron d’hôtels qui ont autrefois arboré ce label prestigieux ? Visiblement non puisque, selon la communication de Accor, « les deux groupes continueront à développer leurs marques respectives, les deux entités étant gérées de manière indépendante ». Plus que vers le passé, LVMH et Accor regardent ensemble vers l’avenir. Pour de nouveaux horizons luxueux.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

L'Association internationale du transport aérien IATA estime que le nombre de passagers devrait flirter avec les 5 milliards tandis que les bénéfices nets devraient dépasser les 30 milliards de dollars. En parallèle, le prix moyen du billet est orienté à la baisse.

 

IATA, qui tient son assemblée générale à Dubaï, a revu à la hausse ses estimations de rentabilité et de trafic pour les compagnies aériennes en 2024. Dans son discours de présentation, le directeur général de IATA, Willie Walsh, analysait ainsi la situation :  « Dans un monde où les incertitudes sont nombreuses et croissantes, les compagnies aériennes continuent de consolider leur rentabilité. Le bénéfice net global attendu de 30,5 milliards de dollars en 2024 est une grande réussite après les pertes liées à la pandémie. Avec un nombre record de cinq milliards de voyageurs aériens attendus en 2024, le désir de voler n’a jamais été aussi fort » . Et d’ajouter à destination des détracteurs du transport aérien : « Il ne fait ainsi aucun doute que l’aviation est essentielle aux ambitions et à la prospérité des individus et des économies. Il est donc important de renforcer la rentabilité des compagnies aériennes et d’accroître leur résilience financière. Cette rentabilité permet d’investir dans des produits qui répondent aux besoins de nos clients et dans les solutions de durabilité dont nous aurons besoin pour parvenir à des émissions nettes nulles en carbone d’ici 2050 ».

Le coefficient d’occupation moyen des passagers devrait être de 82,5 % en 2024. Les bénéfices par passager restent cependant faibles. Selon Willie Walsh, il est en moyenne de seulement 6,14 dollars et il sera nécessaire d’améliorer les problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement afin de pouvoir déployer les flottes de manière efficace pour répondre à la demande. Les ruptures dans la chaîne d’approvisionnement avec la multiplication des problèmes de livraison d’avions et les récentes défaillances technologiques deviennent le principal frein à une croissance encore plus franche. Willie Walsh blâme bien évidemment aussi les réglementations et taxations onéreuses qui pénalisent le transport aérien. Une litanie que IATA répète à l’envi depuis des décennies…

 

Pourtant, selon l’association, les résultats financiers et de trafic devraient être supérieurs qu’aux estimations à la fin de l’année dernière. Les bénéfices d’exploitation devraient atteindre 59,9 milliards de dollars (+14,7 % par rapport aux 52,2 milliards de dollars estimés pour 2023). Les bénéfices nets, en revanche, devraient croître un peu plus lentement (+11,3 %), passant de 27,4 milliards de dollars estimés pour 2023 à 30,5 milliards de dollars estimés en 2024.

Les recettes passagers devraient atteindre 744 milliards de dollars en 2024, soit une hausse de 15,2 % par rapport à 2023. La croissance du nombre de passagers-kilomètres payants (RPK) devrait être de +11,6 % d’une année sur l’autre. La tendance de croissance à long terme sur 20 ans devrait voir la demande de passagers augmenter de 3,8 % par an pour la période 2023-2043. 2024 devrait ainsi battre un record absolu avec 4,6 milliards de voyageurs aériens dans le monde.

En Europe, IATA estime que les bénéfices nets des compagnies aériennes atteindront 9 milliards, contre 8,6 milliards de dollars en 2023. La demande devrait augmenter de 11,1% et les capacités offertes de 11,5%. Plus surprenante est l’évolution des tarifs selon IATA. Alors que la perception du voyageur est une augmentation toujours plus forte des tarifs aériens, IATA parle de baisse du prix moyen réel du billet aller-retour.

Un transport aérien bon marché selon IATA

Selon l’association, mesuré en dollars constants de 2018, le prix moyen réel d’un billet d’avion aller-retour en 2024 devrait être de 252 dollars, comparé à 306 dollars en 2019. Elle confirme la baisse constante du prix des voyages, même si les chiffres sont quelque peu faussés par des distances de voyage plus courtes en 2024. Ce tarif révélé par IATA n’intègre cependant pas les taxes et autres surtaxes.

Ainsi, selon les données du sondage d’avril 2024 de l’IATA, 77 % des personnes interrogées estiment que le voyage aérien représente un bon rapport qualité-prix. Le même sondage indique que 39 % des personnes interrogées prévoient de voyager davantage au cours des 12 prochains mois qu’au cours des 12 mois précédents. 54 % déclarent qu’ils s’attendent à voyager autant qu’au cours des 12 mois précédents. Seuls 6 % pensent voyager moins.

Quelque 46% des personnes interrogées prévoient de dépenser plus pour leurs voyages au cours des 12 prochains mois qu’au cours des 12 mois précédents. Une proportion presque égale (45%) s’attend à dépenser autant pour les voyages au cours des douze prochains mois, tandis que 9% s’attendent à dépenser moins. Ce résultat contredit donc quelque peu les affirmations de IATA sur une baisse moyenne des prix.

Source : https://www.voyages-d-affaires.com/

Afin d'améliorer votre expérience, nous utilisons des cookies pour conserver les informations de connexion et collecter les statistiques en vue d'optimiser les fonctionnalités du site. Cliquez sur "Accepter et continuer" pour accepter les cookies et poursuivre directement sur le site ou cliquez sur "En savoir plus" pour consulter en détail les descriptions des types de cookies. En savoir plus