Documents d'identité et visas - Attention pour information le délai moyen d'obtention est de 48 jours.
Vérifier les documents de voyage requis (carte nationale d’identité, passeport, visa) pour l’entrée et le séjour dans le pays de destination auprès de l’ambassade et du consulat de ce pays en France. S’agissant du passeport, certains pays exigent une validité minimum.
Au sein de l’Union européenne (UE), la carte nationale d’identité en cours de validité est suffisante pour voyager. Hors UE, la plupart des Etats exigent un passeport valide plusieurs mois après la date prévue de retour en France. S’adresser en temps utile à sa préfecture pour le renouvellement éventuel de son passeport.
Penser à conserver, à son domicile, la photocopie des documents emportés (en cas de perte ou de vol à l’étranger) et à se munir d’au moins 2 photos d’identité.
Pour plus de sécurité, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères recommande de stocker ces documents sur le site https://www.service-public.fr/P10016 (nouvelle fenêtre)">service-public.fr. Ce portail permet de créer en quelques clics un espace de stockage personnel, gratuit et confidentiel, accessible sur internet 24h/24. En cas de vol ou de perte de ses papiers d’identité, il sera possible de télécharger ces pièces et faciliter la preuve de son identité.
En cas de perte ou vol du passeport ou de la carte nationale d’identité lors d’un séjour à l’étranger, il convient, en tout premier lieu, d’en faire la déclaration aux autorités locales de police. A partir de cette déclaration, l’ambassade ou le consulat de France pourra établir, selon les cas, un laissez-passer ou un passeport d’urgence. Attention cette formalité est payante et nécessite un délai.
L’Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les performances de sécurité de 2021 dans l’industrie du transport aérien commercial, une année marquée par la réduction du nombre total d’accidents (26) et des décès (121). Avec pour la première fois depuis quinze ans, une absence totale d’accidents mortels liés aux sorties de piste.
Si comme pour l’année 2020 il faut relativiser les statistiques de 2021, vu le ralentissement du transport aérien pour cause de pandémie de Covid-19 (22,1 millions de vols contre 36,6 en moyenne entre 2017 et 2021), les données de l’IATA confirment une amélioration générale sur cinq ans. Le nombre d’accidents est tombé de 52 en 2019 à 38 en 2020 et 26 en 2021, sept de ces derniers ayant entrainé des pertes de vies humaines (contre cinq en 2020 et huit en 2019). L’IATA note aussi une baisse du taux d’accident, qui passe de 1,58 en 2020 à 1,01 en 2021, soit « un accident tous les 0,99 millions de vols ». Et elle souligne qu’aucune compagnie aérienne inscrite à l’IOSA (IATA Operational Safety Audit), soit 403 transporteurs dont 115 non-membres de l’association, n’a connu d’accident mortel l’année dernière, alors que leur taux d’accident était à 0,83 en 2019.
L’augmentation globale du risque de décès en 2021 à 0,23 contre 0,18 en 2020 est selon l’IATA due à l’augmentation des accidents mortels en turbopropulseurs. Il y a eu un seul accident mortel impliquant des avions à réaction l’année dernière, et le risque de décès en jet en 2021 était de 0,04 par million de secteurs, « une amélioration par rapport à la moyenne sur 5 ans de 0,06 ». Le résultat de l’année dernière signifie qu’en moyenne, « une personne devrait prendre un vol tous les jours pendant 10.078 ans pour être impliquée dans un accident faisant au moins un mort ».
L’autre indicateur négatif est celui du nombre d’avions turbopropulsés impliqués dans les accidents mortels : ils concernent six des sept crashes ayant fait des victimes. Leurs taux de destruction complète (hull loss) est passé de 1,59 à 1,77 (soit une destruction tous les 560.000 vols), quand celui des avions à réaction recule de 0,16 à 0,13 (soit une destruction tous les 7,7 millions de vols).
Deux régions en particulier ont retenu l’attention de l’IATA : les compagnies aériennes basées en Afrique subsaharienne ont connu quatre accidents en 2021, tous avec des avions à turbopropulseurs, dont trois ont fait 18 morts. Aucun des opérateurs ne figurait sur le registre IOSA. Il n’y a eu aucun accident de perte de coque de jet en 2021 ou 2020. Les compagnies aériennes basées dans la région de la CEI n’ont connu aucun accident d’avion mortel en 2021 pour la deuxième année consécutive. Cependant, il y a eu quatre accidents de turbopropulseurs. Trois d’entre eux ont entraîné 41 décès, ce qui représente plus d’un tiers des décès en 2021. Aucune des compagnies aériennes concernées ne figurait sur le registre IOSA.
La priorité pour l’Afrique est selon l’IATA « la mise en œuvre des normes et pratiques recommandées (SARPS) de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). À la fin de l’année 2021, quelque 28 pays africains (61% du total) avaient une mise en œuvre des SARP de 60 % ou plus. En outre, une approche multipartite ciblée sur des États spécifiques sera importante pour faire face aux événements répétés ».
« La sécurité est toujours notre priorité absolue. La forte réduction du nombre de vols l’an dernier par rapport à la moyenne sur 5 ans a amplifié l’impact de chaque accident lorsque nous calculons les taux. Pourtant, face à de nombreux défis opérationnels en 2021, l’industrie s’est améliorée dans plusieurs mesures de sécurité clés. Dans le même temps, il est clair que nous avons beaucoup de travail devant nous pour amener toutes les régions et tous les types d’opérations aux niveaux mondiaux de performance en matière de sécurité », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.
Taux de perte de coque de turbopropulseur par région de l’exploitant (pour 1 million de départs)
Cinq régions ont montré une amélioration ou aucune détérioration du taux de perte de coque de turbopropulseur en 2021 par rapport à la moyenne sur 5 ans. Les seules régions à avoir enregistré des augmentations par rapport à la moyenne quinquennale sont la CEI et l’Afrique. Alors que les secteurs pilotés par des turbopropulseurs ne représentaient que 10,99% du total des secteurs, les accidents impliquant des avions à turbopropulseurs représentaient 50% de tous les accidents, 86% des accidents mortels et 49% des décès en 2021. « L’exploitation des turbopropulseurs sera un domaine prioritaire pour identifier les voies et moyens de réduire le nombre d’incidents liés à certains types d’avions », a souligné le CEO Willie Walsh.
Taux de perte de coque de jet par région de l’opérateur (pour 1 million de départs)
Le taux moyen mondial de perte de coques à réaction a légèrement diminué en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq ans (2017-2021). Cinq régions ont connu des améliorations ou aucune détérioration par rapport à la moyenne quinquennale.
La compagnie aérienne low cost Transavia France lancera cet été des nouvelles liaisons saisonnières à Paris-Orly vers Bodrum et Ankara en Turquie, Larnaca à Chypre et Lamezia Terme en Italie, ainsi qu’au départ de Montpellier et Nantes vers Split en Croatie.
Alors que sa flotte passera en avril à 61 Boeing 737-800 de 189 sièges, la filiale du groupe Air France spécialisée dans le vol pas cher augmente encore son offre pour atteindre une croissance de 71% par rapport à l’été 2019, avant la pandémie de Covid-19. Pas moins de 31 nouvelles liaisons ont désormais été annoncées par Transavia pour la saison estivale sur l’ensemble de son réseau.
Dans sa base de Paris-Orly, Transavia à partir du 5 juin un vol tous les dimanches vers l’aéroport de Milas-Bodrum, à partir de 84 € TTC l’aller simple et en concurrence avec SunExpress (vers CDG). Elle proposera à compter du 10 juillet jusqu’à deux vols par semaine vers Ankara-Esenboga, les jeudi et dimanche à partir de 89 € TTC l’aller simple face à AnadoluJet (filiale régionale de Turkish Airlines).
A compter du 8 juillet, la low cost reliera Orly à Lamezia-Terme en Calabre, le lundi et le vendredi à partir de 39 € TTC l’aller simple sans concurrence directe ou indirecte. Enfin l’aéroport de Larnaca-Glafcos Clerides à Chypre sera desservi à partir du 9 juillet depuis Orly les mardi et samedi, à partir de 39 € TTC l’aller simple, face à easyJet (depuis CDG) et Wizz Air (vers Beauvais).
Ces nouvelles dessertes s’ajoutent à l’offre de vols de Transavia qui opérera cet été 100 routes vers 32 pays depuis Orly (et près de 200 sur l’ensemble de son réseau)
L’aéroport de Split en Croatie sera de son côté relié à Montpellier-Méditerranée le samedi à partir du 9 juillet à partir de 44€ TTC l’aller simple, sans concurrence ; puis dès le 10 juillet à Nantes-Atlantique le jeudi et le dimanche à partir de 39 euros TTC l’aller simple – face à Volotea. Transavia se pose déjà à Split en provenance d’Orly, Amsterdam et Rotterdam.
Cet été encore, Transavia renforce en outre son offre vers le bassin méditerranéen. Ainsi, la compagnie va doubler ses capacités de vols vers l’Espagne par rapport à l’été 2019, d’autres pays connaissant également une forte croissance comme le Portugal (+63% en sièges par rapport à l’été 2021), la Grèce (+60% par rapport à l’été 2021), le Maroc (+37% par rapport à l’été 2019).
Transavia continue d’autre part « d’innover dans son offre de vols », avec des dessertes vers de nouveaux pays comme la Russie, l’Arménie ou encore les Açores (Portugal). « Dans le but de proposer toujours plus de possibilités de voyages à ses clients », elle s’envolera cet été vers des destinations « moins connues du grand public » comme Skiathos, Podgorica et La Palma. Elle développe également son « offre citybreak » vers de nombreuses villes européennes : Glasgow, Ljubljana, Bilbao…
Enfin, Transavia poursuit le développement de son réseau domestique. La compagnie inaugurera cet été 6 nouvelles routes : Orly-Perpignan, Orly-Pau, Marseille-Lille, Marseille-Rennes, Toulouse-Rennes et Nantes-Figari. Ses capacités de vols vers la France augmenteront de 72% en sièges par rapport à l’été dernier.
« Nous sommes très heureux d’annoncer aujourd’hui ces 8 nouvelles routes. A l’image de nos 100 destinations au départ d’Orly, nous avons à cœur de proposer toujours plus de possibilités de voyages à prix abordables. Avec l’amélioration de la situation sanitaire et des tendances de réservations dynamiques depuis fin janvier, nous observons un fort engouement de nos clients désireux de partir en vacances et retrouver famille et amis », a déclaré dans un communiqué Nicolas Hénin, Directeur Général Adjoint Commercial et Marketing pour Transavia France.
Le programme de vols « reste encore très évolutif et sera soumis aux conditions sanitaires et restrictions imposées par les autorités des pays concernés », rappelle la low cost. Grâce à l’Assurance voyage, une couverture Covid-19 est incluse dans toutes les offres d’assurance proposées au moment de la réservation des billets sur Transavia, « afin de permettre aux passagers de voyager l’esprit tranquille ».
Dans le cadre de son programme été, Transavia France annonce l’ouverture de sa nouvelle liaison au départ de Montpellier à destination de Split en Croatie.
La filiale low-cost du groupe Air France-KLM propose des vols vers la ville croate pour des voyages entre le 09 juillet et le 03 septembre 2022. Les vols à destination de Split sont déjà disponibles à la réservation. Transavia France poursuit le développement de son offre au départ de sa base de Montpellier-Méditerranée, déjà constituée de 19 destinations (dans 11 pays) dont 2 nouvelles : Split et Mykonos.
La Croatie :
-Split (nouveauté) : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 44€ TTC l’aller simple –
premier vol le 09 juillet
La Grèce :
-Mykonos (nouveauté) : jusqu’à 1 vol par semaine (le mercredi), à partir de 54€ TTC l’aller simple – premier vol le 01/06/2021
-Santorin : jusqu’à 1 vol par semaine (le lundi), à partir de 49€ TTC l’aller simple
-Athènes : jusqu’à 2 vols par semaine (les mardi et samedi), à partir de 60€ TTC l’aller simple
-Héraklion : jusqu’à 2 vols par semaine (les lundi et vendredi), à partir de 70€ TTC l’aller simple
Le Portugal :
-Lisbonne : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
L’Italie :
-Rome : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 29€ TTC l’aller simple
L’Algérie :
-Alger : jusqu’à 1 vol par semaine (le mercredi)
L’Allemagne :
-Berlin : jusqu’à 2 vols par semaine (les vendredi et dimanche), à partir de 29€ TTC l’aller simple
L’Espagne :
-Séville : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
La Suède :
-Stockholm : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
La Tunisie :
-Tunis : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 59€ TTC l’aller simple
Le Maroc :
-Marrakech : jusqu’à 2 vols par semaine (les mardi et samedi), à partir de 54€ TTC l’aller simple
La France :
-Ajaccio : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 45€ TTC l’aller simple
-Paris-Orly : jusqu’à 4 vols par jour, à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Bastia : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Rennes : jusqu’à 2 vols par semaine, à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Brest : jusqu’à 2 vols par semaine (les vendredi et dimanche), à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Nantes : jusqu’à 5 vols par semaine (les lundi, mercredi, jeudi, vendredi et dimanche), à partir de 30€ TTC l’aller simple
La compagnie aérienne Air France, qui avait annoncé la suspension de tous ses vols vers la Russie et de certains vers l’Asie, a pu opérer hier quatre vols long-courriers vers Séoul, Pékin et Tokyo, en adaptant son plan de vol pour éviter le survol de la Sibérie.
Les clients concernés ont été « informés individuellement » a souligné Air France ; « le détail du programme de vols pour les jours suivants sera communiqué ultérieurement ». Ses vols vers Shanghai et Tianjin restent donc suspendus.
La compagnie aérienne rappelle dans son communiqué que « la sécurité de ses clients et de ses équipages est sa priorité absolue. Air France suit en permanence l’évolution de la situation géopolitique des territoires qu’elle dessert afin d’assurer le plus haut niveau de sécurité des vols ».
On retiendra aussi les derniers avertissements du Ministère des Affaires étrangères français, mis en ligne lundi : « La situation sécuritaire en Ukraine demeure volatile et pourrait se dégrader à Kiev prochainement. Néanmoins, d’après les informations communiquées par les Russes, il existerait une possibilité de quitter Kiev par l’autoroute Kiev Vasylkiv. Les Français encore présents à Kiev et dans sa région peuvent décider de quitter la capitale ukrainienne en guerre par la route ou le train, sur leur propre appréciation. La cellule de crise reste joignable pour leur fournir des informations régulièrement actualisées sur les points de passage. Une assistance consulaire pourra leur être apportée une fois la frontière franchie. L’espace aérien ukrainien est fermé jusqu’à nouvel ordre. Il reste formellement déconseillé de se rendre en Ukraine jusqu’à nouvel ordre ».