Perturbations dans les transports : suivi du trafic en temps réel
A ce jour, la grève n'est pas confirmée, ainsi, voici le lien SNCF vers les perturbations :
https://www.sncf-connect.com/aide/informations-situation-perturbee
Quand les trains ne circulent pas, certaines compagnies de train (TGV INOUI, INTERCITÉS, Eurostar...) peuvent vous contacter par e-mail, SMS ou téléphone pour vous informer des différentes possibilités.
Si vous n'avez pas été contacté : avant de vous rendre en gare, vérifiez si possible, que votre train circule et si l'horaire prévu de départ n'a pas été modifié, en raison de la perturbation.
Comment suivre le trafic en temps réel en vidéo ?
Consultez l'état du trafic en temps réel en France et retrouvez des informations sur les horaires et les éventuelles perturbations de votre trajet.
https://medias.cdn.vsct.fr/faq/linfo-trafic-page-greve_.mp4
https://medias.cdn.vsct.fr/faq/comment-etre-informe-sur-la-circulation-de-son-train.mp4
Votre agence UVET France habituelle reste à votre écoute.
Source : SNCF Connect
L’aéroport de Bordeaux verra easyJet inaugurer deux nouvelles destinations, deux capitales européennes qui devraient attirer la clientèle affaires.
L’annonce a eu lieu le 3 avril, et devrait intéresser les voyageurs d’affaires girondins. A la fin du mois d’octobre, easyJet ajoutera deux destinations européennes depuis l’aéroport de Bordeaux. A commencer par Budapest, où les opérations débuteront le 26 octobre à raison de deux vols par semaine (jeudi et dimanche). Cette ligne entre les deux métropoles sera exploitée en exclusivité par easyJet.
Autre nouveauté dévoilée par easyJet : le vol Bordeaux-Prague débutera lui le 27 octobre, toujours à raison de deux vols par semaine (lundi et vendredi). Au total, easyJet reliera ainsi l’aéroport de Bordeaux à 40 destinations. Soit le plus important catalogue des transporteurs présents à Mérignac.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Transavia France augmente ses capacités cet été avec 12 nouveaux appareils supplémentaires comparé à l'été 2024. Ce qui permettra d'offrir 19% de capacités en plus sur l'ensemble du réseau au départ de France.
Transavia comptabilisera 87 avions dans sa flotte à partir de juillet selon une annonce de sa direction. Ce qui représente 12 appareils Airbus A320neo supplémentaires par rapport à la saison d’été 2024. Une expansion qui va se traduire par davantage de fréquences ainsi qu’une dizaine de nouvelles lignes selon la direction de la compagnie.
Le programme représente ainsi 19% de capacités en plus. La compagnie estime que les nouvelles fréquences se traduiront par 2 à 3 millions de passagers supplémentaires par rapport aux 14 millions de clients transportés en 2024.
Transavia ajoute cet été des vols sur de grandes métropoles européennes et étoffe son réseau vers le bassin méditerranéen. Le transporteur relie de nouveau cet été Orly à Amsterdam (5 vols/semaine) et à Munich (3 vols par semaine). Elle lance également deux vols hebdomadaires de Bordeaux à Bruxelles.
Pour sa part, le trafic domestique de Transavia France ne devrait pas connaître de changements majeurs en 2025. La compagnie continue d’exploiter des vols vers quatre destinations depuis Orly (Perpignan, Toulon, Biarritz et Montpellier), ayant abandonné les lignes sur Brest et Pau.
En revanche, Transavia se prépare à la reprise dans le courant 2026 des vols de la Navette Air France vers Nice et Toulouse. Ainsi que des trois fréquences quotidiennes de la compagnie nationale sur Orly-Marseille. Sans certitude néanmoins qu’elle offrira la même densité de vols sur Nice et Toulouse. Au total, Transavia France dessert cet été plus de 120 destinations au départ de l’Hexagone.
Srouce : https://www.voyages-d-affaires.com/
La TMC renforce son offre d'hébergement corporate avec l'accès à 300.000 appartements meublés dans 85 marchés internationaux via la plateforme Apartool.
UVET France s'enrichit d'une nouvelle solution d'hébergement longue durée. La TMC vient de conclure un partenariat stratégique avec Apartool pour proposer à sa clientèle corporate une offre d'appartements meublés et équipés, adaptée aux séjours professionnels d'une semaine à un an.
Cette intégration répond aux nouveaux enjeux de la mobilité professionnelle. Elle permet aux travel managers d'accéder à un inventaire de 300.000 unités d'hébergement, réparties sur 85 marchés internationaux. Chaque appartement inclut des prestations essentielles au business travel : ménage hebdomadaire, maintenance, support 24/7 et facturation centralisée gérée directement par UVET France.
Le dispositif s'appuie sur une plateforme automatisée de réservation et de gestion, optimisant le processus de booking pour les entreprises. Cette approche permet une gestion optimisée des hébergements, une meilleure visibilité sur les coûts et une flexibilité accrue pour les collaborateurs en mobilité.
L'offre s'inscrit dans une tendance de fond du secteur du voyage d'affaires, avec une demande croissante pour des solutions d'hébergement alternatives à l'hôtellerie traditionnelle. Cette nouvelle brique technologique renforce le positionnement d'UVET France sur le segment des déplacements professionnels longue durée.
Source : https://www.deplacementspros.com/
A compter du 1er mai 2025 , tous les voyageurs n'ayant pas la nationalité thaïlandaise, doivent impérativement remplir le formulaire Thailand Digital Arrival Card (TDAC) au moins 3 jours avant leur arrivée dans le pays.
Nous vous invitons à remplir le TDAC en ligne : https://tdac.immigration.go.th/arrival-card/#/home
Lien video (anglais) : https://tdac.immigration.go.th/manual/en/files/aboutTDAC.mp4
La SNCF a repris le 31 Mars au matin ses liaisons entre la France et l'Italie. Son concurrent Trenitalia a suivi le lendemain, ce qui représente une offre globale de 5 allers-retours par jour.
C’est le matin du 31 Mars à 9h46 que s’est élancé le second TGV Inoui Paris-Milan, 19 mois après la suspension de la ligne ferroviaire en raison d’importants éboulements survenus le 27 août 2023 dans la vallée de la Maurienne. Pour l’occasion, le ministre des Transports Philippe Tabarot avait fait le déplacement sur les quais de la gare de Lyon aux côtés de Christophe Fanichet, le directeur général de SNCF Voyageurs. Avec trois allers-retours quotidiens, le transporteur propose ainsi 2 000 places par jour entre la France et l’Italie. « Depuis l’ouverture des ventes en décembre 2024, nous avons réalisé 11 000 réservations jusque fin août ce qui représente une hausse de 8% comparé à la même période en 2023. Et le taux d’occupation s’élève déjà à 70% », s’est félicité Christophe Fanichet en rappelant que la SNCF a transporté 7 millions de passager sur cette ligne depuis son lancement il y a 13 ans.
Compte tenu de la durée du voyage – de 6 à 7 heures selon la destination italienne -, la majorité des passagers se déplacent pour des motivations de loisir. « Depuis le Covid et la montée en puissance des préoccupations écologiques, le train est largement plébiscité y compris sur les longues distances », ajoute-t-il. La ligne Paris-Milan est en outre jugée cruciale pour les régions traversées (Bourgogne Franche-Comté, Auvergne Rhône-Alpes, Lombardie et Piémont), compte tenu de ses arrêts dans les gares de Mâcon, Chambéry, Saint-Jean de Maurienne, Modane, Oulx et Turin. Quelque 208 000 personnes ont d’ailleurs emprunté l’offre de substitution en autocar mis en place par SNCF Voyages Italia de janvier 2024 à fin mars 2025. La SNCF concède toutefois avoir perdu un trafic de 500 000 passagers suite à la suspension de la desserte ferroviaire directe.
Affichant des tarifs à partir de 29€ pour la totalité du trajet, les trois liaisons Paris-Milan de SNCF Voyages Italia sont programmés à 6h46, 9h46 et 14h48. Dans l’autre sens, les TGV partent de la gare de Milan-Port Garibaldi à 6h, 12h10 et 16h10. La compagnie entend par ailleurs séduire une clientèle locale italienne avec des tarifs à partir de 10€ pour circuler entre les villes de Oulx, Turin et Milan. Côté services à bord, elle promet un personnel franco-italien dans les rames, des prises électrique en 1ère comme en 2nde classe, un wifi gratuit efficace et une offre de restauration mettant à l’honneur les produits et les plats des deux pays.
La SNCF n’est toutefois pas la seule à se relancer sur le Paris-Milan puisque Trenitalia a repris du service dès le 1er avril via des liaisons proposées à 7h30 et 15h18 de la gare de Lyon, et à 6h25 et 15h53 de Milan avec des tarifs d’appel qui débutent à 35€. Ces rames Frecciarossa desservent l’aéroport Lyon Saint-Exupéry et désormais Saint-Jean de Maurienne et Oulx. La compagnie italienne qui estime, elle, avoir perdu 850 000 passagers durant les 19 mois d’arrêt mise aussi sur ces nouveaux arrêts pour capter des marchés intermédiaires. « Dans sa relance, la ligne bénéficiera en 2026 du déroulement des XXVe Jeux olympique d’hiver à Milan et Cortina d’Ampezzo », nous confiait récemment Fabrice Toledano, le directeur commercial et marketing de Trenitalia France. Sur les quais ce matin, le ministre des Transports Philippe Tabarot se félicitait grâce à « ces 5 liaisons par jour entre la SNCF et Trenitalia d’une ouverture à la concurrence ferroviaire saine, qui fonctionne bien et permet l’émulation ». Avec, au final, une hausse de trafic pour les deux transporteurs.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com
Confrontés à une faible demande pour les véhicules électriques, les loueurs espèrent inverser la tendance grâce aux entreprises, qui peuvent désormais intégrer leur utilisation dans le parcours de verdissement de leurs flottes.
Si le marché de la location courte durée a repris de belles couleurs depuis la sortie du Covid, celui-ci connait encore des ratés pour les véhicules 100% électriques, loin d’être demandés par les clients, affaires comme loisir. La faute à des peurs concernant l’autonomie, la durée et les tarifs de recharge… Les véhicules thermiques demeurent ainsi plébiscité pour les longues distances. « La demande n’est pas au rendez-vous par rapport au pourcentage d’électrification de nos flottes qui avoisine les 3% actuellement. Ce chiffre était précédemment supérieur, mais nous avons réduit nos achats en 2024 », confie Guirec Grand Clément, le président de la branche mobilité partagée de Mobilians et DG d’Enterprise Mobility France. Et de rappeler que les loueurs sont soumis depuis 2019 à la loi d’orientation des mobilités (LOM) qui impose une trajectoire de verdissement des flottes aux entreprises disposant de plus de 100 véhicules.
« Le taux d’utilisation d’un véhicule thermique s’élève à 75% alors qu’il tombe à 47,5% pour un véhicule électrique, ce qui n’est pas viable économiquement pour les loueurs », pointe-t-il. Il est à noter que les véhicules Tesla sont encore les plus faciles à mettre sur les routes. « Ses locataires sont à l’aise avec ce véhicule, car ils possèdent souvent une Tesla dans leur garage », justifie Agnès Parmentier, vice-présidente de la branche mobilité partagée et DG de Leriche Location.
Pour ces professionnels, la moindre utilisation des véhicules électriques est proche de la double peine puisqu’ils restent plus chers à l’achat et affichent une valeur résiduelle inférieure comparé aux modèles thermiques lorsqu’ils sont revendus, au bout de neuf mois environ. Ce sujet, comme la nécessité de stimuler la demande de véhicules électriques auprès des locataires, furent donc au cœur des Rencontres de la Mobilité Partagée qui se sont déroulées le 25 mars au Pavillon Royal à Paris.
Le projet de loi de finances 2025 devrait toutefois apporter un sérieux coup de pouce aux agences de location hexagonales. En effet, celui-ci prévoit que, depuis le 1er mars, la location courte durée de véhicules électriques (et d’hybrides rechargeables) peut désormais être comptabilisée dans le reporting annuel des entreprises en matière de verdissement de leur flotte. « C’était un combat de Mobilians et nous considérons cet amendement comme une petite victoire, se félicite Guirec Grand Clément. La location courte durée de véhicules électriques devient ainsi un levier pour permettre aux entreprises soumises à la taxe incitative d’accélérer le verdissement de leur flotte ».
Alors que les entreprises représentent 50% de la clientèle des loueurs, ces derniers entendent tout faire pour accroître l’utilisation de leurs voitures électriques. « Nous investissons dans la promotion marketing, l’équipement en bornes de recharge dans nos agences, la formation de nos collaborateurs…», détaille Jehan de Thé, vice-président de la branche mobilité partagée de Mobilians et directeur des Affaires publiques du groupe Europcar. Et d’ajouter : « Nous devons faire de la pédagogie auprès des entreprises et communiquer sur ces nouvelles règles via nos équipes et commerciaux. D’autant qu’il n’est pas rare que le responsable du business travel n’échange pas avec le responsable de la flotte au sein des sociétés, ce qui n’est pas fait pour nous aider » .
L’enjeu est d’autant plus important pour les loueurs qu’un voyageur d’affaires peut se faire imposer par son entreprise le choix d’un véhicule électrique dans le cadre de sa politique voyage, alors que cela n’est pas le cas pour un locataire loisir. « Heureusement, nous avons des entreprises très volontaires pour verdir leurs déplacements. Cette politique est directement impulsée par le management », se rassure-t-il. En travaillant également le segment loisir, les membres de la branche mobilité partagée de Mobilians espèrent ainsi atteindre un taux d’utilisation de ces véhicules de 60 à 65%.
D’autres éléments devraient par ailleurs améliorer le bilan avec des prix des véhicules en baisse et des temps de recharge optimisés. Pour que le marché redécolle, il faut également que davantage de visibilité et de transparence soient apportés dans les tarifs de recharge et plus particulièrement sur les autoroutes. Tarifs qui peuvent, de plus, varier en fonction des vitesses de recharge.
Ce marché de la location représente quelque 6 millions de clients par an, traités par les 4700 agences présentes en France métropolitaine et en Corse. Le marché se partage entre 53% des locations réalisées en gares et aéroports, les 47% restants provenant des autres agences implantées dans les centres-villes hors gare. Le chiffre d’affaires du secteur, qui emploie 12 000 personnes, s’élève à 4,3 milliards d’euros. Les loueurs assurent 10% des achats de véhicules neufs chaque année.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/