Air France a annoncé dans un communiqué que tous ses vols vers et à partir de l’ensemble de ses dessertes au Maroc –Marrakech, Casablanca et Rabat– sont assurés normalement au départ de Paris-CDG, les infrastructures aéroportuaires marocaines n’ont pas été touchées par le tremblement de terre survenu dans la nuit du 8 au 9 septembre, à 77 kilomètres au sud-ouest de Marrakech.
La compagnie tricolore a précisé qu’elle avait mis en place des mesures commerciales «permettant aux clients en possession d’une réservation pour un voyage de ou vers le Maroc dans les prochains jours de modifier ou reporter leur voyage sans frais». Elle a indiqué être en mesure d’organiser des vols supplémentaires ou utiliser des avions de plus grande capacité pour renforcer ses liaisons entre la France et le Maroc dans les prochains jours.
Marrakech, première destination touristique marocaine, est également desservie normalement par Royal Air Maroc, Transavia, TUI Air Belgium et Vueling au départ de Paris-Orly, et Royal Air Maroc et Easyjet au départ de Paris-CDG. Les autres liaisons au départ des villes françaises de province (Bordeaux, Lyon, Nantes, Marseille, Toulouse, etc.) sont également assurées selon les programmes de vols prévus.
Le personnel au sol de KLM menace de se mettre en grève si la direction ne répond pas à l’ultimatum lancé par le syndicat FNV concernant la nouvelle convention collective.
Les salariés réclament une augmentation des salaires de 14,3% pour compenser l’inflation sur 2023 et une compensation automatique pour 2024. L’ultimatum posé par le expirera syndicat FNV le 14 septembre.
La compagnie aérienne néerlandaise KLM, partenaire stratégique d’Air France, avait précédemment proposé au personnel au sol une augmentation de salaire de 9% sur deux ans, avec la possibilité d’une correction de l’inflation allant jusqu’à 2% d’ici le 1er janvier 2025.
Mais le syndicat FNV a rejeté cette proposition de nouvelle convention collective, estimant qu’elle « est tout à fait inadéquate » et « totalement insuffisante sur de nombreux points». Le syndicat exige à la place une augmentation des salaires de 14,3%, sans quoi il appellera ses adhérents à la grève.
Trois nouveaux scénarios de croissance ont été présentés par Eurocontrol, le médian prévoyant désormais pour 2025 le retour à un nombre de vols similaire à celui de 2019, avant la pandémie de Covid-19.
Remplaçant les prévisions de juin dernier et portant désormais sur sept ans, les derniers scénarios du gestionnaire européen du trafic aérien incluent une constatation : la forte demande de cet été a été freinée, « à la fois par la capacité du secteur à gérer la croissance rapide et aussi par l’impact de la guerre en Ukraine ».
Selon le directeur général d’Eurocontrol Eamonn Breannan, « nous nous attendons à voir environ 9,3 millions de vols cette année, soit 49% de plus qu’en 2021 mais toujours 16% de moins qu’en 2019 ». Il se dit « optimiste quant à la reprise du trafic à environ 92% des niveaux de 2019 l’année prochaine. Mais il existe encore d’importants risques baissiers qui pourraient affecter la reprise ».
Le scénario haut prévoit une croissance modérée du PIB, un impact limité de l’inflation sur la demande, une bonne confiance des passagers et des contraintes de capacité limitées en 2023 dans les aéroports et les compagnies aériennes.
Le scénario de référence est basé sur un PIB faible, une inflation (y compris le prix du carburéacteur) ayant un impact sur la demande, et une baisse de la confiance/propension des passagers à prendre l’avion.
Le scénario bas prend en compte l’impact de plusieurs risques à la baisse, y compris un certain nombre d’États en récession en 2023, une demande de voyages fortement impactée par des facteurs tels que l’inflation, la crise sanitaire, les alternatives aux voyages d’affaires ou les préoccupations environnementales) et des problèmes de personnel/de capacité dans les compagnies aériennes/aéroports en 2023.
EasyJet a inauguré ce vendredi sa liaison estivale entre les aéroports Rennes-Bretagne et Londres-Gatwick. La desserte londonienne, la 6ème avec easyJet depuis Rennes, vient compléter celles déjà opérées par la low cost depuis 2017 : Genève, Lyon, Porto, Toulouse et Nice.
La compagnie britannique propose 2 vols par semaine (lundi et vendredi) pendant la saison estivale, du 2 mai au 28 octobre 2022, et jusqu’à 5 vols par semaine de fin juin à début septembre.
Cette nouvelle liaison entre deux aéroports du réseau VINCI Airports favorisera la reprise des échanges entre la Bretagne et le Royaume-Uni, partenaire commercial de premier plan pour la région Bretagne, qui accueille près de 14 000 résidents Britanniques. Elle permettra également aux passagers rennais d’accéder à plus de 100 destinations à partir de l’aéroport londonien.
« Partenaire de long terme de la région Bretagne, VINCI Airports est très fier de contribuer à la reprise des échanges avec le Royaume-Uni. Cette nouvelle connexion entre deux aéroports de notre réseau est le fruit du travail commun de nos équipes à Rennes et à Londres-Gatwick, ainsi que de l’excellente relation que nous entretenons avec easyJet », indique Nicolas Notebaert, directeur général de VINCI Concessions et président de VINCI Airports.
La compagnie aérienne low cost Transavia France a inauguré deux nouvelles liaisons saisonnières internationales, entre Montpellier et Rome d’une part, et entre Bastia et Rotterdam de l’autre.
Reportée en raison de la pandémie de Covid-19, la route de la filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas cher entre Montpellier-Méditerranée et l’aéroport de Rome-Fiumicino Leonardo da Vinci est proposée jusqu’au 28 octobre avec deux vols par semaine opérés en Boeing 737-800 de 189 sièges. Les départs sont programmés jeudi à 12h55 (arrivée à 14h25) et dimanche à 7h50 (arrivée à 9h20), les vols retour décollant d’Italie jeudi à 15h20 (arrivée à 17h00).
Transavia est sans concurrence sur cette route, comme sur celle reliant Montpellier à Berlin-Brandebourg et qui a été relancée en même temps ; les vols vers la capitale allemande avaient été inaugurés en juillet dernier. Au total, elle propose 19 destinations dans 11 pays au départ de la ville.
La low cost du groupe Air France-KLM a d’autre part lancé la ligne entre Bastia-Poretta à l’aéroport de Rotterdam-La Haye : les rotations sans concurrence opérées par la compagnie-sœur néerlandaise sont proposées jusqu’au 31 octobre lundi à 20h25 (arrivée à 22h25) et vendredi à 20h15 (arrivée à 22h15), avec « retour » des Pays-Bas lundi à 17h35 (arrivée à 19h30) et vendredi à 17h45 (arrivée à 19h40).
« Nous rendons les Pays-Bas accessibles aux voyageurs en provenance ou à destination de la Corse et avec nous, les Néerlandais peuvent voyager vers cette superbe destination qu’est Bastia », a déclaré le CEO de Transavia Holland Marcel de Nooijer. Jean Dominici, président de la CCI de Corse, a ajouté dans Corse Net Infos : « Les efforts de développement de la desserte aérienne de la Corse de ces dernières années sur le réseau international, ne pouvaient pas durablement ignorer le marché néerlandais et son fort potentiel ». Et il se dit « entièrement engagé aux côtés de la compagnie Transavia pour pérenniser cette ligne, la développer dans le temps et l’étendre aux autres aéroports corses ».
La compagnie aérienne low cost easyJet a inauguré à Londres-Gatwick deux nouvelles liaisons vers Rennes et Limoges, portant à 16 le nombre de routes vers la France qui y sont proposées.
Depuis hier et jusqu’au 28 octobre 2022, la spécialiste britannique du vol pas cher propose de deux à cinq vols par semaine entre sa base à Londres-Gatwick et l’aéroport de Rennes-Bretagne, opérés en monocouloirs Airbus. Les départs sont initialement programmés lundi à 16h05 et vendredi à 16h00 (arrivées à 18h25 et 18h20), les vols retour quittant la France lundi à 19h15 et vendredi à 19h25 (arrivées à 19h30 et 19h35). De fin juin à début septembre, les rotations seront opérées tous les jours sauf mercredi et dimanche à des horaires plus tardifs.
EasyJet est sans concurrence directe ou indirecte sur cette route proposée à partir de 33 euros aller simple, sa sixième vers Rennes après celles au départ de Genève, Lyon, Porto, Toulouse et Nice.
A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 27 octobre, la low cost propose trois rotations hebdomadaires entre Londres-Gatwick et Limoges-Bellegarde, cette fois face à Ryanair depuis Stansted. Les départs d’easyJet sont programmés à mardi à 18h00 (arrivée à 18h50), jeudi à 19h30 (arrivée à 20h25) et dimanche à 19h30 (arrivée à 20h25) ; les vols « retour » quittent la capitale britannique respectivement à 14h35, 15h55 et 16h05 (arrivées à 17h15, 18h35 et 18h45). Il s’agit de sa seule route vers Limoges.
EasyJet, « deuxième compagnie aérienne en France et premier transporteur entre la France et le Royaume-Uni », propose désormais 22 routes entre Gatwick et l’hexagone. Elle rappelle son nouveau tarif : le Standard Plus. Il regroupe des avantages tels que le siège à l’avant, un grand bagage cabine et l’option Speedy Boarding (embarquement prioritaire). Cette nouveauté permet aux passagers d’avoir facilement accès à toutes les options disponibles afin de choisir celle qui leur convient le mieux.
La compagnie aérienne low cost easyJet relance ses opérations à Londres-Southend, 18 mois après y avoir fermé sa base en raison de la pandémie de Covid-19. Le programme y est pour l’instant limité à Malaga et Palma de Majorque en Espagne et Faro au Portugal.
Du 2 mai au 28 octobre, la spécialiste britannique du vol pas cher propose jusqu’à six vols par semaine (tous les jours sauf samedi) entre Londres-Southend et l’aéroport de Malaga-Costa del Sol, sans concurrence directe. La liaison d’easyJet vers Palma de Majorque-Son Sant Joan est proposée durant la même période lundi, mercredi, vendredi et dimanche (le 1er vol a eu lieu hier), tandis que celle vers Faro est opérée le lundi et le vendredi.
Ayant fermé sa base en septembre 2020 pour cause de crise sanitaire (ainsi que celles de Stansted et Newcastle), easyJet opère ces trois routes avec des Airbus et leurs équipages basés en Espagne et au Portugal. Rappelons que Southend a aussi vu partir la base de Ryanair fin octobre ; aucune ligne régulière n’y était proposée depuis, Wizz Air ayant annoncé son retour depuis Bucarest pour ce printemps.
Un porte-parole d’easyJet a déclaré à la presse locale à propos d’éventuelles routes supplémentaires : « Nous surveillons continuellement notre réseau, afin d’identifier les opportunités d’offrir plus de choix à nos clients ».
Glyn Jones, CEO de l’aéroport de Londres Southend, a déclaré être « ravi de la perspective d’un retour des vols easyJet vers l’aéroport de Londres Southend. Dans une enquête récente et complète de l’aéroport Southend auprès des personnes vivant à Londres et dans l’est de l’Angleterre, les destinations espagnoles sont en tête de liste des endroits vers lesquels les gens souhaitent le plus voyager ».
Documents d'identité et visas - Attention pour information le délai moyen d'obtention est de 48 jours.
Vérifier les documents de voyage requis (carte nationale d’identité, passeport, visa) pour l’entrée et le séjour dans le pays de destination auprès de l’ambassade et du consulat de ce pays en France. S’agissant du passeport, certains pays exigent une validité minimum.
Au sein de l’Union européenne (UE), la carte nationale d’identité en cours de validité est suffisante pour voyager. Hors UE, la plupart des Etats exigent un passeport valide plusieurs mois après la date prévue de retour en France. S’adresser en temps utile à sa préfecture pour le renouvellement éventuel de son passeport.
Penser à conserver, à son domicile, la photocopie des documents emportés (en cas de perte ou de vol à l’étranger) et à se munir d’au moins 2 photos d’identité.
Pour plus de sécurité, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères recommande de stocker ces documents sur le site https://www.service-public.fr/P10016 (nouvelle fenêtre)">service-public.fr. Ce portail permet de créer en quelques clics un espace de stockage personnel, gratuit et confidentiel, accessible sur internet 24h/24. En cas de vol ou de perte de ses papiers d’identité, il sera possible de télécharger ces pièces et faciliter la preuve de son identité.
En cas de perte ou vol du passeport ou de la carte nationale d’identité lors d’un séjour à l’étranger, il convient, en tout premier lieu, d’en faire la déclaration aux autorités locales de police. A partir de cette déclaration, l’ambassade ou le consulat de France pourra établir, selon les cas, un laissez-passer ou un passeport d’urgence. Attention cette formalité est payante et nécessite un délai.
L’Association du transport aérien international (IATA) a publié ses données sur les performances de sécurité de 2021 dans l’industrie du transport aérien commercial, une année marquée par la réduction du nombre total d’accidents (26) et des décès (121). Avec pour la première fois depuis quinze ans, une absence totale d’accidents mortels liés aux sorties de piste.
Si comme pour l’année 2020 il faut relativiser les statistiques de 2021, vu le ralentissement du transport aérien pour cause de pandémie de Covid-19 (22,1 millions de vols contre 36,6 en moyenne entre 2017 et 2021), les données de l’IATA confirment une amélioration générale sur cinq ans. Le nombre d’accidents est tombé de 52 en 2019 à 38 en 2020 et 26 en 2021, sept de ces derniers ayant entrainé des pertes de vies humaines (contre cinq en 2020 et huit en 2019). L’IATA note aussi une baisse du taux d’accident, qui passe de 1,58 en 2020 à 1,01 en 2021, soit « un accident tous les 0,99 millions de vols ». Et elle souligne qu’aucune compagnie aérienne inscrite à l’IOSA (IATA Operational Safety Audit), soit 403 transporteurs dont 115 non-membres de l’association, n’a connu d’accident mortel l’année dernière, alors que leur taux d’accident était à 0,83 en 2019.
L’augmentation globale du risque de décès en 2021 à 0,23 contre 0,18 en 2020 est selon l’IATA due à l’augmentation des accidents mortels en turbopropulseurs. Il y a eu un seul accident mortel impliquant des avions à réaction l’année dernière, et le risque de décès en jet en 2021 était de 0,04 par million de secteurs, « une amélioration par rapport à la moyenne sur 5 ans de 0,06 ». Le résultat de l’année dernière signifie qu’en moyenne, « une personne devrait prendre un vol tous les jours pendant 10.078 ans pour être impliquée dans un accident faisant au moins un mort ».
L’autre indicateur négatif est celui du nombre d’avions turbopropulsés impliqués dans les accidents mortels : ils concernent six des sept crashes ayant fait des victimes. Leurs taux de destruction complète (hull loss) est passé de 1,59 à 1,77 (soit une destruction tous les 560.000 vols), quand celui des avions à réaction recule de 0,16 à 0,13 (soit une destruction tous les 7,7 millions de vols).
Deux régions en particulier ont retenu l’attention de l’IATA : les compagnies aériennes basées en Afrique subsaharienne ont connu quatre accidents en 2021, tous avec des avions à turbopropulseurs, dont trois ont fait 18 morts. Aucun des opérateurs ne figurait sur le registre IOSA. Il n’y a eu aucun accident de perte de coque de jet en 2021 ou 2020. Les compagnies aériennes basées dans la région de la CEI n’ont connu aucun accident d’avion mortel en 2021 pour la deuxième année consécutive. Cependant, il y a eu quatre accidents de turbopropulseurs. Trois d’entre eux ont entraîné 41 décès, ce qui représente plus d’un tiers des décès en 2021. Aucune des compagnies aériennes concernées ne figurait sur le registre IOSA.
La priorité pour l’Afrique est selon l’IATA « la mise en œuvre des normes et pratiques recommandées (SARPS) de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI). À la fin de l’année 2021, quelque 28 pays africains (61% du total) avaient une mise en œuvre des SARP de 60 % ou plus. En outre, une approche multipartite ciblée sur des États spécifiques sera importante pour faire face aux événements répétés ».
« La sécurité est toujours notre priorité absolue. La forte réduction du nombre de vols l’an dernier par rapport à la moyenne sur 5 ans a amplifié l’impact de chaque accident lorsque nous calculons les taux. Pourtant, face à de nombreux défis opérationnels en 2021, l’industrie s’est améliorée dans plusieurs mesures de sécurité clés. Dans le même temps, il est clair que nous avons beaucoup de travail devant nous pour amener toutes les régions et tous les types d’opérations aux niveaux mondiaux de performance en matière de sécurité », a déclaré Willie Walsh, directeur général de l’IATA.
Taux de perte de coque de turbopropulseur par région de l’exploitant (pour 1 million de départs)
Cinq régions ont montré une amélioration ou aucune détérioration du taux de perte de coque de turbopropulseur en 2021 par rapport à la moyenne sur 5 ans. Les seules régions à avoir enregistré des augmentations par rapport à la moyenne quinquennale sont la CEI et l’Afrique. Alors que les secteurs pilotés par des turbopropulseurs ne représentaient que 10,99% du total des secteurs, les accidents impliquant des avions à turbopropulseurs représentaient 50% de tous les accidents, 86% des accidents mortels et 49% des décès en 2021. « L’exploitation des turbopropulseurs sera un domaine prioritaire pour identifier les voies et moyens de réduire le nombre d’incidents liés à certains types d’avions », a souligné le CEO Willie Walsh.
Taux de perte de coque de jet par région de l’opérateur (pour 1 million de départs)
Le taux moyen mondial de perte de coques à réaction a légèrement diminué en 2021 par rapport à la moyenne sur cinq ans (2017-2021). Cinq régions ont connu des améliorations ou aucune détérioration par rapport à la moyenne quinquennale.
La compagnie aérienne low cost Transavia France lancera cet été des nouvelles liaisons saisonnières à Paris-Orly vers Bodrum et Ankara en Turquie, Larnaca à Chypre et Lamezia Terme en Italie, ainsi qu’au départ de Montpellier et Nantes vers Split en Croatie.
Alors que sa flotte passera en avril à 61 Boeing 737-800 de 189 sièges, la filiale du groupe Air France spécialisée dans le vol pas cher augmente encore son offre pour atteindre une croissance de 71% par rapport à l’été 2019, avant la pandémie de Covid-19. Pas moins de 31 nouvelles liaisons ont désormais été annoncées par Transavia pour la saison estivale sur l’ensemble de son réseau.
Dans sa base de Paris-Orly, Transavia à partir du 5 juin un vol tous les dimanches vers l’aéroport de Milas-Bodrum, à partir de 84 € TTC l’aller simple et en concurrence avec SunExpress (vers CDG). Elle proposera à compter du 10 juillet jusqu’à deux vols par semaine vers Ankara-Esenboga, les jeudi et dimanche à partir de 89 € TTC l’aller simple face à AnadoluJet (filiale régionale de Turkish Airlines).
A compter du 8 juillet, la low cost reliera Orly à Lamezia-Terme en Calabre, le lundi et le vendredi à partir de 39 € TTC l’aller simple sans concurrence directe ou indirecte. Enfin l’aéroport de Larnaca-Glafcos Clerides à Chypre sera desservi à partir du 9 juillet depuis Orly les mardi et samedi, à partir de 39 € TTC l’aller simple, face à easyJet (depuis CDG) et Wizz Air (vers Beauvais).
Ces nouvelles dessertes s’ajoutent à l’offre de vols de Transavia qui opérera cet été 100 routes vers 32 pays depuis Orly (et près de 200 sur l’ensemble de son réseau)
L’aéroport de Split en Croatie sera de son côté relié à Montpellier-Méditerranée le samedi à partir du 9 juillet à partir de 44€ TTC l’aller simple, sans concurrence ; puis dès le 10 juillet à Nantes-Atlantique le jeudi et le dimanche à partir de 39 euros TTC l’aller simple – face à Volotea. Transavia se pose déjà à Split en provenance d’Orly, Amsterdam et Rotterdam.
Cet été encore, Transavia renforce en outre son offre vers le bassin méditerranéen. Ainsi, la compagnie va doubler ses capacités de vols vers l’Espagne par rapport à l’été 2019, d’autres pays connaissant également une forte croissance comme le Portugal (+63% en sièges par rapport à l’été 2021), la Grèce (+60% par rapport à l’été 2021), le Maroc (+37% par rapport à l’été 2019).
Transavia continue d’autre part « d’innover dans son offre de vols », avec des dessertes vers de nouveaux pays comme la Russie, l’Arménie ou encore les Açores (Portugal). « Dans le but de proposer toujours plus de possibilités de voyages à ses clients », elle s’envolera cet été vers des destinations « moins connues du grand public » comme Skiathos, Podgorica et La Palma. Elle développe également son « offre citybreak » vers de nombreuses villes européennes : Glasgow, Ljubljana, Bilbao…
Enfin, Transavia poursuit le développement de son réseau domestique. La compagnie inaugurera cet été 6 nouvelles routes : Orly-Perpignan, Orly-Pau, Marseille-Lille, Marseille-Rennes, Toulouse-Rennes et Nantes-Figari. Ses capacités de vols vers la France augmenteront de 72% en sièges par rapport à l’été dernier.
« Nous sommes très heureux d’annoncer aujourd’hui ces 8 nouvelles routes. A l’image de nos 100 destinations au départ d’Orly, nous avons à cœur de proposer toujours plus de possibilités de voyages à prix abordables. Avec l’amélioration de la situation sanitaire et des tendances de réservations dynamiques depuis fin janvier, nous observons un fort engouement de nos clients désireux de partir en vacances et retrouver famille et amis », a déclaré dans un communiqué Nicolas Hénin, Directeur Général Adjoint Commercial et Marketing pour Transavia France.
Le programme de vols « reste encore très évolutif et sera soumis aux conditions sanitaires et restrictions imposées par les autorités des pays concernés », rappelle la low cost. Grâce à l’Assurance voyage, une couverture Covid-19 est incluse dans toutes les offres d’assurance proposées au moment de la réservation des billets sur Transavia, « afin de permettre aux passagers de voyager l’esprit tranquille ».
Dans le cadre de son programme été, Transavia France annonce l’ouverture de sa nouvelle liaison au départ de Montpellier à destination de Split en Croatie.
La filiale low-cost du groupe Air France-KLM propose des vols vers la ville croate pour des voyages entre le 09 juillet et le 03 septembre 2022. Les vols à destination de Split sont déjà disponibles à la réservation. Transavia France poursuit le développement de son offre au départ de sa base de Montpellier-Méditerranée, déjà constituée de 19 destinations (dans 11 pays) dont 2 nouvelles : Split et Mykonos.
La Croatie :
-Split (nouveauté) : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 44€ TTC l’aller simple –
premier vol le 09 juillet
La Grèce :
-Mykonos (nouveauté) : jusqu’à 1 vol par semaine (le mercredi), à partir de 54€ TTC l’aller simple – premier vol le 01/06/2021
-Santorin : jusqu’à 1 vol par semaine (le lundi), à partir de 49€ TTC l’aller simple
-Athènes : jusqu’à 2 vols par semaine (les mardi et samedi), à partir de 60€ TTC l’aller simple
-Héraklion : jusqu’à 2 vols par semaine (les lundi et vendredi), à partir de 70€ TTC l’aller simple
Le Portugal :
-Lisbonne : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
L’Italie :
-Rome : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 29€ TTC l’aller simple
L’Algérie :
-Alger : jusqu’à 1 vol par semaine (le mercredi)
L’Allemagne :
-Berlin : jusqu’à 2 vols par semaine (les vendredi et dimanche), à partir de 29€ TTC l’aller simple
L’Espagne :
-Séville : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
La Suède :
-Stockholm : jusqu’à 2 vols par semaine (les jeudi et dimanche), à partir de 39€ TTC l’aller simple
La Tunisie :
-Tunis : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 59€ TTC l’aller simple
Le Maroc :
-Marrakech : jusqu’à 2 vols par semaine (les mardi et samedi), à partir de 54€ TTC l’aller simple
La France :
-Ajaccio : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 45€ TTC l’aller simple
-Paris-Orly : jusqu’à 4 vols par jour, à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Bastia : jusqu’à 1 vol par semaine (le samedi), à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Rennes : jusqu’à 2 vols par semaine, à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Brest : jusqu’à 2 vols par semaine (les vendredi et dimanche), à partir de 35€ TTC l’aller simple
-Nantes : jusqu’à 5 vols par semaine (les lundi, mercredi, jeudi, vendredi et dimanche), à partir de 30€ TTC l’aller simple
La compagnie aérienne Air France, qui avait annoncé la suspension de tous ses vols vers la Russie et de certains vers l’Asie, a pu opérer hier quatre vols long-courriers vers Séoul, Pékin et Tokyo, en adaptant son plan de vol pour éviter le survol de la Sibérie.
Les clients concernés ont été « informés individuellement » a souligné Air France ; « le détail du programme de vols pour les jours suivants sera communiqué ultérieurement ». Ses vols vers Shanghai et Tianjin restent donc suspendus.
La compagnie aérienne rappelle dans son communiqué que « la sécurité de ses clients et de ses équipages est sa priorité absolue. Air France suit en permanence l’évolution de la situation géopolitique des territoires qu’elle dessert afin d’assurer le plus haut niveau de sécurité des vols ».
On retiendra aussi les derniers avertissements du Ministère des Affaires étrangères français, mis en ligne lundi : « La situation sécuritaire en Ukraine demeure volatile et pourrait se dégrader à Kiev prochainement. Néanmoins, d’après les informations communiquées par les Russes, il existerait une possibilité de quitter Kiev par l’autoroute Kiev Vasylkiv. Les Français encore présents à Kiev et dans sa région peuvent décider de quitter la capitale ukrainienne en guerre par la route ou le train, sur leur propre appréciation. La cellule de crise reste joignable pour leur fournir des informations régulièrement actualisées sur les points de passage. Une assistance consulaire pourra leur être apportée une fois la frontière franchie. L’espace aérien ukrainien est fermé jusqu’à nouvel ordre. Il reste formellement déconseillé de se rendre en Ukraine jusqu’à nouvel ordre ».
En novembre 2021, les prix de billets d’avion au départ de France augmentent de 5,9% par rapport à novembre 2019. Au cumul depuis le début de l’année cependant, la baisse est de 1,7%.
Après le recul d’octobre, la tendance haussière du mois dernier « se retrouve sur la quasi-totalité du réseau », souligne la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) dans son indice mensuel ; seuls certains faisceaux touchant les départements d’outre-mer s’en démarquent.
Au départ de métropole, les prix sont orientés à la hausse. Par rapport à novembre 2019, le réseau intérieur s’apprécie de 1,5% (0,0% au cumul depuis le début de l’année) et le réseau international enregistre une hausse de 7,3% (-1,8% au cumul).
Sur le réseau intérieur, les prix des billets sur les liaisons intra-métropolitaines augmentent de 3,1% par rapport à novembre 2019 (+3,0% au cumul). Cette tendance est commune aux liaisons radiales et aux liaisons transversales. Vers l’outre-mer, les prix sont globalement orientés à la baisse et reculent de 3,7% par rapport à novembre 2019 (-7,3% au cumul). Le détail des chiffres montre que, « pour le dixième mois consécutif, cette baisse est entrainée par le prix des billets à destination de l’océan indien ». Les prix sont en revanche orientés à la hausse en Guadeloupe et en Guyane.
A l’international, les prix en novembre sont en nette augmentation. Cette hausse concerne le réseau long-courrier, dont les prix s’apprécient de 6,4% (-1,7% au cumul), et le réseau moyen-courrier dont les prix croissent de 5,4% (-2,9% au cumul). Pour les liaisons moyen-courriers, « l’offensive commerciale des transporteurs à bas-coûts se poursuit » mais l’écart entre leurs tarifs, orientés plus faiblement à la baisse que les mois précédents, et ceux des compagnies traditionnelles « tend à se réduire ».
Au global, au départ des départements d’outre-mer, le prix des billets d’avions repart à la hausse avec des tarifs qui augmentent de 1,6% entre novembre 2021 et novembre 2019 (-6,9% en cumul). Cette hausse concerne tous les départements, exception faite de la Réunion, où les prix continuent de « fortement diminuer ».