Nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture d'une nouvelle ligne InterCités à partir du SA2025.
L'ouverture des ventes sera le 2 octobre 2024 pour les circulations du 15 décembre 2024 au 08 janvier 2025 (en même temps que l’ouverture des ventes de la période A 2025).
La durée du parcours est de 4h30.
Jusqu'à fin 2025, il y aura 1 Aller/Retour par jour de Nancy à Lyon.
Puis, de 2026 à 2028, il y aura 2 Allers/Retours par jour de Nancy à Lyon avec un départ possible de Metz.
Et à partir de 2029, il y aura 4 Allers/Retours par jour de Metz/Nancy à Bordeaux (Prolongement jusqu'à Bordeaux).
Source : https://www.feria.sncf.com/
À partir du 16 décembre 2024, les deux capitales Paris et Berlin seront directement reliées de centre-ville à centre-ville, à grande vitesse et ce pour la première fois de l’histoire ferroviaire entre les deux pays.
Cette nouvelle ligne quotidienne exploitée en coopération par SNCF Voyageurs et DB sera assurée en ICE, le train à grande vitesse de DB. L’ICE 3, de la série 407, déjà en circulation entre la France et l’Allemagne, propose 444 places dont 111 en 1ère classe et atteint la vitesse de 320km/h sur la ligne à grande vitesse française.
Elle desservira Paris Gare de l’Est, Strasbourg, Karlsruhe, Francfort Sud et Berlin, en 8 heures environ.
Les billets seront mis en vente à partir de 59€ en 2nde classe et 69€ en 1ère classe.
La gamme tarifaire DB SNCF Voyageurs en coopération s'applique sur ces trains.
Les réservations ouvriront le 16 octobre.
UNE COOPÉRATION DEPUIS 2007
Cette ligne est une nouvelle étape dans l’histoire de la coopération entre SNCF Voyageurs et DB qui dure depuis 2007.
Ainsi, plus de 32 millions de clients internationaux ont déjà voyagé avec DB SNCF Voyageurs en coopération sur les lignes Paris-Stuttgart/Munich, Paris-Francfort, Francfort-Marseille. Par ailleurs, une ligne saisonnière estivale a également été lancée en 2023 le samedi entre Francfort et Bordeaux.
Avec cette nouvelle offre entre Paris et Berlin, le nombre de liaisons quotidiennes entre l'Allemagne et la France passe de 24 à 26, représentant plus de 320 000 places supplémentaires par an proposées aux clients.
Source : https://www.feria.sncf.com/
Le gouvernement britannique a annoncé cette semaine que les citoyens des pays européens devraient payer pour entrer au Royaume-Uni à partir du printemps 2025. Il devrait en coûter une douzaine d'euros aux voyageurs.
Les ressortissants de l'Union européenne pourront demander l'autorisation électronique de voyage à partir du 5 mars 2025 pour se rendre au Royaume-Uni avec cette autorisation, qui devient obligatoire à compter du 2 avril 2025.
Toute personne souhaitant se rendre au Royaume-Uni, à l'exception des citoyens britanniques et irlandais, devra obtenir une autorisation de voyage avant de venir ici. Cette autorisation pourra être délivrée par le biais d'une autorisation électronique ou d'un visa électronique.
L'ETA (Electronic travel authorisation) est un permis de voyage lié numériquement au passeport du voyageur et destiné aux personnes entrant ou transitant au Royaume-Uni et qui ne sont pas titulaires d'un visa. Ce dernier permet à un voyageur de se rendre plusieurs fois au Royaume-Uni pour des séjours allant jusqu'à six mois, sur une période de deux ans ou jusqu'à l'expiration du passeport du titulaire.
Sont concernées, les personnes qui viennent au Royaume-Uni pour faire du tourisme ou rendre visite à leur famille. La demande se fait en ligne. Elle coûte 10 £ soit 12 € approximativement.
Il faudra renseigner les motivations de son voyage, ses destinations et des informations de votre passeport. Votre enregistrement demandera entre 48 h et 72 heures de traitement donc, pensez à anticiper votre démarche. Cette mesure s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par le gouvernement britannique pour numériser son système de gestion des frontières. Le ministère de l'Intérieur affirme que cela garantira "des contrôles de sécurité plus robustes". La réforme est en partie une conséquence du Brexit, qui a mis fin à la liberté de circulation vers le Royaume-Uni des ressortissants européens.
L'Union européenne prévoit la mise en place, à la mi-2025, d'un système similaire baptisé ETIAS (European Travel Information and Authorisation System). Seront concernés une soixantaine de pays, dont les Etats-Unis, le Canada, le Brésil et le Royaume-Uni. Cette autorisation coûtera 7 euros et sera valable trois ans.
Avec AFP
Air France va inaugurer un vol Paris CDG-Manille. Une liaison qui devrait faciliter les déplacements professionnels sur un axe franco-asiatique qui se densifie.
L’Asie du Sud-Est a le vent en poupe sur le marché français. Et lors du salon IFTM qui approche à grands pas, les allées de la zone Asie pourraient bien vibrer encore davantage que lors des précédentes éditions, surfant sur des bonnes nouvelles qui se succèdent à la fois pour les voyageurs d’affaires et pour les acteurs du MICE. La dernière en date concerne les Philippines – un pavillon qui malheureusement ne sera pas hissé Porte de Versailles – avec l’annonce par Air France d’un nouveau vol Paris-Manille. Son inauguration est prévue pour le 7 décembre prochain. La compagnie tricolore assurera trois vols directs chaque semaine. Le départ de Paris-CDG (vol AF208) est fixé à 23h20 les lundis, mercredis et samedis, pour une arrivée à Manille à 19h30 le lendemain. Le vol retour (AF209) quittera Manille à 21h50 les mardis, jeudis et dimanches. Il ralliera le hub de CDG à 5h50 le lendemain matin. Air France assurera cette liaison en Airbus A350-900. L’appareil sera configuré en trois classes, avec 34 sièges en cabine Business, 24 en Premium et 266 en Economy.
Voilà deux décennies que la France et les Philippines n’étaient plus reliées par un vol direct. Les vols assurés par Air France vers Manille – via Bangkok en Boeing 747 -avaient cessé en 2004. L’annonce d’Air France devrait donc changer la donne, non seulement pour fluidifier les voyages d’affaires entre les deux marchés, mais aussi pour donner un nouvel argument de poids aux acteurs du MICE au sein de l’archipel.
« Une opportunité majeure pour booster non seulement le tourisme et les voyages d’affaires à destination des Philippines mais aussi pour renforcer les liens économiques et culturels entre la France et les Philippine » Dakila F. Gonzales, Philippine Department of Tourism
« Le lancement de ce vol direct entre Paris et Manille représente une opportunité majeure pour booster non seulement le tourisme et les voyages d’affaires à destination des Philippines mais aussi pour renforcer les liens économiques et culturels entre la France et les Philippines » se félicite Dakila F. Gonzales. L’attachée au tourisme au sein du Philippine Department of Tourism poursuit : « Nous sommes impatients de collaborer avec les professionnels du tourisme français pour offrir aux voyageurs des expériences uniques et immersives qui capturent la magie de notre archipel. Ce projet marque une nouvelle ère de collaboration entre nos deux pays ».
L’annonce d’Air France intervient quelques jours après celle de Malaysia Airlines, qui a officialisé début septembre son grand retour à Paris. La ligne Paris CDG-Kuala Lumpur, inaugurée en 1976 puis interrompue en 2016, va reprendre du service. A la fin du mois de mars, la compagnie malaisienne reliera quotidiennement Paris et Kuala Lumpur. Rapprochant encore davantage la France de l’Asie.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Transavia densifie encore son réseau de vols entre la France et l’Algérie, en dévoilant de nouvelles lignes depuis trois aéroports français : Toulouse, Nice et Marseille.
En cette rentrée 2024, les nouveautés se succèdent au sein du catalogue des compagnies aériennes. Et les destinations du Sud-Est asiatique n’ont pas le monopole des grandes annonces – même si le retour des vols directs depuis Paris vers Manille ou Kuala Lumpur a de quoi intéresser les voyageurs d’affaires… Ces derniers devraient être particulièrement sensibles aux récentes annonces de Transavia. Pendant que sa grande sœur Air France prépare son retour aux Philippines, la low-cost qui monte fait les yeux doux au marché algérien. Et notamment aux nombreux voyageurs d’affaires qui survolent la Méditerranée tout au long de l’année.
Plus de Méditerranée avec Transavia depuis les régions françaises
Nicolas Henin n’en fait d’ailleurs pas mystère : « L’Algérie est plus que jamais un marché clé pour Transavia ». Directeur Général Adjoint Commercial & Marketing de Transavia France, il poursuit : « La demande est très forte de la part de notre clientèle, c’est pourquoi nous sommes très heureux de proposer de nouvelles opportunités de voyages au départ de Toulouse, Nice et Marseille. Nous avons hâte d’accueillir nos premiers clients à bord ».
L’aéroport de Marseille est aux premières loges de cette montée en puissance de Transavia sur l’axe France-Algérie. La Cité Phocéenne sera reliée à Alger à compter du 21 octobre. Le programme Transavia prévoit cinq vols par semaine – des fréquences assez denses pour répondre aux besoins de la clientèle affaires – avec des vols chaque lundi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche. Transavia viendra concurrencer Air Algérie et Vueling sur cette liaison Marseille-Alger.
Autre nouvelle option entre la région Sud et la capitale algérienne : Transavia lancera le vol Nice-Alger le 27 octobre, à raison de deux vols par semaine, chaque jeudi et dimanche. Quant à Toulouse, Transavia fera même coup double. La filiale low-cost d’Air France inaugurera successivement le vol Toulouse-Oran le 23 octobre, puis Toulouse-Alger dès le lendemain. Les opérations vers Alger auront lieu les mercredis et samedis, celles vers Oran les lundis et vendredis.
A plus long terme, notons que Transavia prévoit également de s’élancer vers le Caire au départ de Marseille. A l’été 2025, la compagnie lancera un vol hebdomadaire chaque samedi. Le premier vol doit avoir lieu en avril 2025.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Easyjet fermera sa base de Toulouse au printemps prochain. Une annonce qui suit la fermeture programmée de la base Ryanair à Bordeaux... Et qui entraîne un préavis de grève nationale chez easyJet.
Après Ryanair à Bordeaux, voici qu’easyJet vient d’annoncer qu’elle allait fermer sa base de Toulouse au printemps prochain. Cependant, avec des motifs différents de sa concurrente. Le transporteur britannique ne blâme pas réellement les charges sur l’aéroport de Blagnac. Easyjet évoque plutôt une restructuration générale de ses activités en France due à un ralentissement marqué dans la reprise du trafic.
Les deux avions basés à Toulouse vont être réaffectés le printemps prochain à Nantes et Lyon. Easyjet continuera donc d’entretenir six bases en France, à Bordeaux, Lyon, Nantes, Nice, Paris Charles de Gaulle et Paris Orly.
Malgré la fermeture, easyJet affirme qu’elle poursuivra sa desserte de Toulouse à partir d’autres aéroports, ajoutant qu’elle «continuera de relier la ville aux principales destinations en France et à l’international ». Les 20 liaisons déjà prévues pour la saison d’hiver 2024-25 ne sont pas affectées par cette décision.
Easyjet propose actuellement 17 lignes depuis la métropole occitane vers six destinations domestiques et 11 destinations internationales. Dont des lignes en exclusivité comme Bâle-Mulhouse, Berlin, Bruxelles, Genève, Londres-Gatwick, Milan-Malpensa et Rhodes. La compagnie occupe la troisième place en nombre de sièges offerts derrière Air France et Ryanair. Soit un peu plus de 18% de l’offre sur l’aéroport.
Il est vraisemblable que l’aéroport ne sera que relativement peu affecté par la fermeture de cette base. Easyjet indique en effet qu’elle discute avec les autorités aéroportuaires pour maintenir un réseau « attractif ». Par exemple, il est probable que ce soit des avions des bases de Bâle, Berlin, Genève, Londres et Milan qui reprennent les lignes exploitées par les avions de la base de Toulouse.
Le ralentissement de la croissance aérienne se manifeste également par une réduction de l’offre à Roissy. Easyjet va en effet déplacer un des avions de cette base vers Orly. La compagnie prévoit néanmoins une croissance de 5% de ses capacités en sièges cet hiver.
Dans la foulée de cette annonce, l’Union des navigants de l’aviation civile (Unac) a déposé un préavis de grève, illimité et d’ampleur nationale. Le mouvement devrait débuter le 16 septembre. On ignore encore quel sera l’impact du mouvement sur les déplacements en France et au-delà pour les voyageurs.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
La DGAC souligne une accélération de la baisse des tarifs aériens en France en juillet. Seuls les prix sur les lignes domestiques métropole ont continué d'augmenter.
C’est toujours une bonne nouvelle pour les voyageurs d’affaires comme loisirs. Les tarifs aériens en France continuent de baisser, une tendance constatée depuis plusieurs mois. Elle s’est même accélérée pour le mois de juillet.
Alors que les tarifs aériens avaient augmenté de 8,6% en cumul sur l’année 2023, ils n’ont pas du tout bougé (0%) entre janvier et juillet 2024 pour l’ensemble du territoire français (métropole et DOM). Si l’on tient compte de la seule métropole, les prix sont en légère baisse (-0,3%).
L’accélération de la chute des tarifs est évidente selon la DGAC. En juillet, l’indice a enregistré un recul de -5,4% par rapport au même mois de 2023. Ce même indice s’établissait à -2,9% en juin et -1,4% en mai.
Au départ de métropole, la baisse est observée sur tous les faisceaux géographiques (- 5,5 %), mais reste plus accentuée sur le réseau international (- 6,2 %).
Sur le réseau domestique, les prix des billets d’avion baissent de 1,5 % entre juillet 2023 et juillet 2024. Mais cette chute des tarifs est trompeuse. En fait, elle tient exclusivement au recul des prix sur les lignes ultramarines. Sur le réseau intérieur métropole, les prix augmentent de 1,4 %, portés notamment par des hausses tarifaires des transporteurs à bas coûts. En 2023, les tarifs aériens intérieurs en métropole avaient bondi de 14,5% !
Sur le réseau international, les prix des billets diminuent de – 6,2 % en juillet, soit la plus forte diminution observée depuis le début de l’année. Cette baisse est plus soutenue sur le réseau international moyen-courrier (- 6,9 %) que pour le réseau international long-courrier (- 6,2 %). Cependant, les tarifs moyen-courrier ont progressé de 1,5% sur les sept premiers mois de l’année. La hausse reste particulièrement forte vers des destinations Europe hors UE (+4,6%) et sur l’Afrique du Nord/Proche-Orient (+3,1%).
Au sein du segment long-courrier, l’Asie-Pacifique enregistre la plus forte baisse des tarifs. Ces derniers sont en recul en cumul de 7,8% et même de 12,3% en juillet. Suit l’Amérique latine : le sous-continent affiche une baisse des prix de 5,7% sur sept mois et de 5,2% en juillet 2024. La baisse est plus modérée sur l’Amérique du Nord et le Moyen-Orient en cumul (respectivement -2,9% et -2,5%). Elle n’est que de -0,9% sur l’Afrique pour les sept premiers mois, une situation liée à une compétition moindre sur ce segment.
L’indice des prix du transport aérien passagers publié par la DGAC est construit sur une base de tarifs aériens relevés sur 535 lignes aériennes (origine, destination, transporteur) directes et indirectes, assurées par plus de 70 transporteurs. Tous les prix collectés concernent des voyages aller-retour au départ de France (métropole ou DOM). Ils incluent toutes les taxes, redevances et surcharges applicables.
La DGAC relève plus de 230 000 tarifs aériens chaque mois auprès du système de réservation Travelport et des sites Internet des compagnies aériennes.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
A Amsterdam, l’aéroport de Schiphol vient de dévoiler un investissement de 6 milliards d'euros sur cinq ans pour améliorer une expérience voyageurs jugée qualitativement insuffisante.
L’annonce d’un ambitieux plan de modernisation de Schiphol officialisée le 30 août par la direction de l’aéroport part d’un constat simple et honnête : le hub néerlandais n’est pas – ou plus – à la hauteur des attentes des voyageurs. « Chaque jour, nos collègues font tout leur possible pour les passagers. Ils font la différence, comme en témoignent les vacances de mai et d’été qui ont été couronnées de succès. Malheureusement, ils ne sont pas aidés par l’état de notre infrastructure. Notre infrastructure est la base de notre service, mais elle est actuellement loin de ce que nous voulons offrir à nos passagers en tant qu’aéroport de qualité aux Pays-Bas ». Tel est le message envoyé par Pieter van Oord, PDG de l’aéroport.
Il en coûtera donc six milliards d’euros aux responsables de Schiphol pour faire entrer l’infrastructure dans une nouvelle ère. Le plan de modernisation s’étalera de 2024 à 2029. Il a même déjà commencé avec l’ouverture de nouvelles boutiques et de restaurants au cours des derniers mois. Mais, comme le précise la direction de l’aéroport, « il reste encore beaucoup à faire ». La feuille de route concerne notamment la jetée C, le sous-sol bagages, les systèmes de contrôle climatique, les escaliers roulants, les postes de stationnement des avions et les voies de circulation.
« Bien qu’il soit encourageant de constater que nos résultats financiers s’améliorent et que notre bilan est solide, notre performance financière globale n’est pas encore satisfaisante », prévient Robert Carsouw, directeur financier de l’aéroport. « L’augmentation des coûts opérationnels et du portefeuille d’investissements pèse lourdement sur nos flux de trésorerie actuels et à long terme. Il est dans l’intérêt de tous que Schiphol redevienne un aéroport de grande qualité, doté d’une infrastructure solide et offrant d’excellents services aux passagers et aux compagnies aériennes. Nos plans d’investissement de 6 milliards d’euros pour les cinq prochaines années sont plus importants que jamais » précise Robert Carsouw.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
Nous vous informons qu'une mise à jour tarifaire a été faite le 02 septembre sur l'ensemble du réseau Court et Moyen-Courrier des vols Air France et KLM au départ du Marché France.
Cette nouvelle mise à jour concerne les notes tarifaires du "Minimum Stay" (durée minimum de séjour) avec l'introduction d'une nouvelle règle autorisant un aller-retour journée le samedi (SD).
> Conditions du "Minimum Stay" (MN) avant la mise à jour:
Durée minimum du séjour sur les tarifs de la gamme Stay :
> Conditions du "Minimum Stay" (MN) après la mise à jour:
Durée minimum du séjour sur les tarifs de la gamme Stay :
Auparavant, un client qui souhaitait faire un aller-retour dans la journée du samedi devait s’acquitter d’un tarif dans la gamme Time (tarif supérieur à la gamme Stay sans condition de minimum de séjour).
Désormais, le nouveau schéma permettra un assouplissement avec l’accès aux tarifs de la gamme Stay pour un aller-retour journée le samedi.
Aucune période de grâce n’est mise en place suite à cette mise à jour plus favorable pour nos clients: il n'y aura pas d’impact sur les dossiers non émis avant la mise à jour des systèmes.
Source : AIR FRANCE EQUIPE POLITIQUE DISTRIBUTION
Suite à la mise en place d'un nouvel outil informatique pour le Contrôle Aérien appelé "4Flight", la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) a demandé aux compagnies aériennes d’adapter leur programme de vols entre le 5 novembre et le 10 décembre 2024.
La compagnie Air France est donc contrainte d’annuler certains vols courts et moyen-courriers sur cette période.
Les clients concernés sont notifiés directement avec une proposition de report automatique sur un autre vol disponible.
Les consignes générales de modification de programme s'appliquent pour tous les clients dont le vol est annulé et dont la solution de report ne conviendrait pas.
Votre équipe UVET France habituelle est à votre disposition.
Source : AIR FRANCE EQUIPE POLITIQUE DISTRIBUTION
Une période de pédagogie et de tolérance a été mise en place jusqu'au 15 septembre 2024. Attention, à compter du 16 septembre 2024, les voyageurs avec un nombre de bagages supérieur et/ou non-conforme aux dimensions autorisées seront verbalisés.
Nous vous rappellons :
Les clients doivent être en mesure de porter et ranger seuls et en une seule fois, leurs sacs et valises dans les différents espaces bagages disponibles à bord
Poussette:
• Doit être pliée et étiquetée avant de
monter à bord, et rangée dans les espaces
bagages
Planche nautique ou snowboard :
• Doit être transporté dans une housse étiquetée prévue à cet effet et mesurer
au maximum 130 x 90 cm
Instrument de musique:
• Doit être transporté dans un étui étiqueté prévu à cet effet, de préférence rigide
• L’étui doit mesurer au maximum 130 x90 cm (violoncelle accepté ;contrebasse exclue)
Trottinette:
• Doit être pliée, étiquetée et rangée dans les espaces à bagages ou glissées sous le siège du client sans gêner les autres voyageurs ni
entraver le cheminement dans les couloirs de circulation.
• elle ne doit en aucun cas être rangée dans les compartiments bagages au-dessus des têtes
Skis:
• Doivent être transportés dans une housse étiquetée prévue à cet effet.
• Il n’y a pas de limite de taille pour les skis, toutefois chaque voyageur ne peut voyager qu’avec une seule paire de skis.
• Les clients doivent vigiler à ne pas entraver le cheminement dans les couloirs de circulation entre les rangées de sièges, et s'assurer de bien stabiliser leurs skis de façon à ne pas tomber et blesser un voyageur à bord.
Le bagage mesure plus de 130 x 90 cm ?
Cas spécifique des fauteuils roulants et autres matériels PSH. Pour les UFR transférables voyageant sur un siège TGV, leur fauteuil doit impérativement être plié et rangé dans les espaces à bagages. Il doit mesurer au maximum 130 x 90 cm une fois plié. Son étiquetage n’est pas obligatoire.
Si un passager voyage avec un fauteuil roulant non utilisé, il est considéré comme un bagage et doit être obligatoirement étiqueté (mise sous housse non obligatoire).
Certains matériels comme les béquilles, cane, matériel respiratoire, bouteille oxygène peuvent rester à proximité du client.
Le client est éligible à la prestation Assist'enGare ?
Le port d'un seul bagage de 15 kg maximum est inclus dans la prestation.
Le client peut emporter :
Tous les vélos ne sont pas acceptés à bord des trains TGV INOUI et INTERCITÉS. Les vélos couchés, tricycles, tandems, cargos et les remorques ne sont pas autorisés.
(Vélo ni pliant ni démontable)
La réservation d’une place pour le vélo est obligatoire au moment de l’achat du billet voyageur. Le coût est de 10€ par vélo et par segment/train proposant
l’espace vélo*.
Outre son vélo placé dans l’espace dédié réservé, le client peut emporter :
Une fois à bord, le vélo doit être rangé dans l’espace dédié (espace vélo dans la voiture indiquée sur le billet) et un siège à proximité du vélo est attribué au client lors de la réservation. Pour cette raison, les cyclistes ne peuvent pas voyager avec des non-cyclistes, ou alors il est nécessaire d’effectuer des réservations séparées.
*la réservation d’une place pour un vélo non démonté n’est disponible que sur certains trains. Si la recherche du client n’affiche aucun résultat au moment de la réservation, cela veut dire que le train choisi ne dispose pas d’espace vélo ou qu’il n’y a plus de places disponibles.
CONDITIONS GENERALES DE RANGEMENT DES BAGAGES À BORD
Sont concernés, tous les bagages :
Dangereux : Armes, explosifs, liquides inflammables ou tout produit dangereux (chimique, biologique, etc.)
Inhabituels : Comme des denrées périssables dégageant une odeur désagréable, des plantes ou des meubles
Proscrits : Produits proscrits par les douanes ou toute autre autorité administrative.
Destinés au commerce : Produits dont la quantité et/ou le conditionnement démontrent sans équivoque que le titre de transport voyageur est détourné dans un but de transport de marchandises qui aurait dû faire l'objet d'une prestation d'un opérateur spécialisé dans ce domaine
Source : https://www.feria.sncf.com/
Air Canada pourrait être confrontée à un mouvement de grève des pilotes en septembre. La compagnie anticipe en assouplissant ses conditions d’annulation et d’échange.
Il reste trois semaines à Air Canada pour trouver un accord avec la Air Line Pilots Association. Faute de quoi les pilotes de la compagnie canadienne pourraient bien mettre leur menace à exécution au travers d’un mouvement de grève à compter du 17 septembre prochain.
La période de réflexion de trois semaines laisse amplement de temps aux parties pour régler les questions en suspens
Pour autant, la direction d’Air Canada se veut optimiste : « Air Canada reste déterminée à conclure avec ses pilotes un accord équitable qui reconnaît leur professionnalisme et leur contribution à la société aérienne » indique-t-elle dans un communiqué publié le 27 août. « Des progrès importants ont été réalisés pendant les pourparlers, et la période de réflexion de trois semaines laisse amplement de temps aux parties pour régler les questions en suspens. Air Canada s’engage pleinement à mener des négociations fructueuses tout au long de cette période » assure la direction de la compagnie.
Reste que les voyageurs d’affaires et la clientèle loisirs ont besoin de garanties pendant cette période de turbulences. Air Canada vient donc de revoir sa politique d’annulation et d’échange. La compagnie évoque « une politique de bonne volonté qui offre plus de souplesse à tous les clients qui ont un voyage imminent ». Et de préciser : « À compter d’aujourd’hui [le 27 août, ndlr], les clients qui ont acheté un billet pour un voyage à bord d’un vol d’Air Canada devant être assuré immédiatement avant ou après la date de fin de la période de réflexion, le 17 septembre 2024, pourront apporter sans frais supplémentaires des modifications à tout voyage déjà acheté ».
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/
L'interdiction de survol de la Russie pour les compagnies d'Europe occidentale combinée à la faiblesse du tourisme émetteur chinois rendent l'exploitation de lignes aériennes vers la Chine de moins en moins attractive.
Quelque chose ne tourne pas rond pour les transporteurs aériens européens se rendant en Chine. Le coup de semonce est intervenu début août avec l’annonce par British Airways de la suspension de sa ligne Londres Heathrow-Pékin le 26 octobre. La compagnie avait repris cette ligne en juin 2023 à raison de quatre fréquences par semaine. Elle explique sa décision par des coûts d’exploitation trop élevés en raison de l’interdiction de survol du territoire russe. Ce qui rallonge en moyenne le temps de vol de deux heures. Avec pour conséquence évidente une hausse de consommation de carburant, estimée à 15%.
Le transporteur a indiqué que cette décision était certes « temporaire » et qu’elle sera réévaluée en 2025. British Airways conserve néanmoins ses lignes sur Shanghai et Hong Kong.
La compagnie nationale britannique n’est pas la seule à revoir son réseau vers la Chine. Ainsi, quelques semaines avant l’annonce de BA, Virgin Atlantic indiquait suspendre définitivement sa ligne Londres Heathrow-Shanghai, qu’elle exploitait depuis quelque 25 ans. Elle était la dernière ligne du transporteur en Chine après avoir fermé sa liaison sur Hong Kong en 2022.
Généralement, les programmes de vols des compagnies aériennes d’Europe de l’Ouest sur la Chine ont subi un véritable dégraissage par rapport à l’avant-Covid. Plusieurs facteurs affectent une reprise plus solide de l’axe aérien Europe-Chine. Outre l’interdiction russe, on peut citer la faible reprise du tourisme chinois vers l’Europe en raison de difficultés économiques. Ainsi qu’un climat de défiance entre l’occident et la Chine, qui se traduit par des courants d’affaires moindres. La simplification des visas pour se rendre en Chine pour les Occidentaux n’aura que peu influencé cette évolution.
Côté transport aérien, on s’aperçoit que la plupart des compagnies aériennes d’Europe de l’Ouest ont ainsi réduit leur réseau aux seules dessertes de Pékin et de Shanghai en Chine Populaire.
Finnair et Lufthansa exploitaient avant le Covid le plus grand nombre de lignes sur la Chine. La compagnie finlandaise se posait ainsi à Canton, Chongqing, Nanjing, Pékin, Shanghai et Xian. Elle n’exploite plus qu’une unique ligne vers Shanghai.
Lufthansa exploitait également un réseau d’une dizaine de lignes sur la Chine avant la pandémie de Covid. Le transporteur allemand desservait notamment des destinations uniques pour une compagnie européenne comme Shenyang ou Qingdao. Cet été, Lufthansa ne se pose plus qu’à Pékin et Shanghai. Même si elle offre la plus grande capacité en sièges de toutes les compagnies européennes, à raison de quatre vols quotidiens – deux au départ de Francfort comme au départ de Munich.
Le PDG de Lufthansa Carsten Spohr, a récemment évoqué davantage de liaisons à l’avenir. Mais elles n’ont aucune chance de se concrétiser aussi longtemps que l’espace aérien russe reste fermé.
Quant à Air France-KLM, le réseau s’est également réduit aux dessertes de Pékin et Shanghai. Le binôme n’a pour l’instant toujours pas repris ses lignes vers Canton, Chengdu, Hangzhou, Tianjin, Wuhan et Xian depuis la crise sanitaire.
La fermeture de l’espace aérien russe aux compagnies occidentales ne fait cependant pas que des malheureuses. Dans une récente étude parue début août, le consultant aérien OAG faisait une analyse de la situation aérienne entre la Chine et l’Europe. Avec ce constat que les compagnies chinoises avaient très fortement augmenté leur présence. OAG indique que les compagnies chinoises offraient ainsi en août plus de 7 millions de sièges à l’international, en hausse de 54% par rapport au même mois de 2023.
Sur un axe Chine/Europe occidentale, le nombre de fréquences sur la saison d’été est passée de 6 568 vols en 2023 à 11 317 vols en 2024. Soit une augmentation de 72,3% sur un an. Et une augmentation de 13,2% par rapport à l’été 2019 ( 9 997 vols).
Pour cette saison d’été, le nombre de fréquences des compagnies chinoises par destination est même supérieure de 120% à 2023 pour Istanbul, Madrid, Budapest et Paris. La capitale française bénéficie ainsi de 1 065 fréquences avec la Chine contre 482 sur la saison précédente.
Cependant, Paris n’a toujours pas retrouvé son niveau de 2019. Le nombre de fréquences reste en effet en retrait de 41,5% par rapport à 2019. La capitale française est ainsi la seule ville d’Europe à avoir moins de vols qu’en 2019.
Les transporteurs chinois avec la plus forte augmentation de vols cet été sont, selon OAG, Juneyao Airlines, Shanghai Airlines et Xiamen Airlines. Ces trois transporteurs enregistrent une augmentation de plus de 100% de leurs fréquences d’un été à l’autre. Et même proche de 200% pour Juneyao. OAG indique que cette dernière compagnie a lancé 254 vols vers de nouvelles destinations telles que Athènes, Bruxelles ou Manchester. Tandis que Shanghai Airlines s’est distinguée en devenant le premier transporteur chinois à se poser à Marseille.
OAG constate encore que les trois géants chinois, Air China, China Eastern et China Southern, ont également fortement augmenté le nombre de leurs vols. Air China offre cet été 5 011 fréquences sur l’Europe (+7,3% par rapport à 2019 et +63,7% par rapport à 2023). Avec 2 075 fréquences, China Eastern offre 14,3% de fréquences en plus qu’en 2019 et 83,6% en plus qu’en 2023. Avec notamment le lancement en septembre de vols entre Venise et Shanghai. Enfin, China Southern a stimulé son offre de 16,7% par rapport à 2019 et de 83,8% par rapport à 2023 avec un total de 1 917 fréquences.
Reste maintenant à savoir si le marché aura bien absorbé cette énorme capacité aérienne chinoise. Rien n’est moins sûr dans le contexte géopolitique et économique actuel.
Source : https://www.voyages-d-affaires.com/